AHAHAHAHAHAHAH

Mnt a écrit:

autant tyas tout compris... belle analyse....

On peut comprendre et ne pas admettre, quant à ceux qui disent que grâce à ce geste il a révélé son côté humain, je pense que c'est l'exact contraire, ce sont ceux qui ont du sang froid et qui savent se contrôler qui sont vraiment humain, savoir se contrôler est viril, les animaux eux réagissent avec leur instinct primaire.

tu vois Sittembre, il y a un jeu pour les gosses où le but c'est de leur faire apprendre les formes et les couleurs en les entraînant à faire rentrer le cube dans l'orifice carré et le cylindre dans le rond etc..
Ton raisonnement c'est celui d'un gars qui a décidé une fois pour toutes que le carré, il fallait qu'il rentre dans le rond.

Antone a écrit:

tu vois Sittembre, il y a un jeu pour les gosses où le but c'est de leur faire apprendre les formes et les couleurs en les entraînant à faire rentrer le cube dans l'orifice carré et le cylindre dans le rond etc..
Ton raisonnement c'est celui d'un gars qui a décidé une fois pour toutes que le carré, il fallait qu'il rentre dans le rond.

Evidemment j'attendais ce genre de réaction c'est normal, au lieu de m'attaquer j'aurai préféré que tu attaques l'argumentaire, personne n'est parfait et je peux me tromper, pas comme vous, à oui, je ne suis pas de ceux qui marche avec les meutes beuglantes.

désolé mais quand tu parles de délire nationaliste en France à propos de cet évènement, je cherche encore. Je n'ai pas entendu les supporters français siffler un seul hymne alors que les espagnols ne s'en sont pas privés.
La presse suisse, espagnole ou portugaise (pas la brésilienne, ce sont des seigneurs) ont attaqué les hommes. Je n'ai rien vu de tel dans la presse française et bien au contraire, en guise de délire nationaliste, j'ai vu des journalistes et des commentateurs très sévères envers l'équipe jusqu'au moment où elle a bien joué.
Zidane, du Figaro à Libé, les articles sont très sévères et le geste est condamné et personne ne conteste le bien-fondé de l'exclusion. On cherche une explication, ce qui n'est pas illogique mais tout le monde parle de sortie ratée. 80% des français excusent Zidane? Comme toi si je t'ai bien lu.
Le non à la constitution européenne? quel rapport? A part les pays où la représentation parlementaire a voté, le "non" l'a emporté et ce serait que la France seule qui emporterait la désagrégation de l'Europe?
Les communautés et la conclusion de ton message, désolé mais je ne comprends même pas ce que tu veux démontrer.
Pour le reste, j'ai vu des antillais, un guyanais, un chti, des enfants d'immigrés derrière lesquels il y avait, au moins pour un temps, une forme d'union et je préfère ça aux cris de singe à l'italienne entre autres.

Antone a écrit:

désolé mais quand tu parles de délire nationaliste en France à propos de cet évènement, je cherche encore. Je n'ai pas entendu les supporters français siffler un seul hymne alors que les espagnols ne s'en sont pas privés.
La presse suisse, espagnole ou portugaise (pas la brésilienne, ce sont des seigneurs) ont attaqué les hommes. Je n'ai rien vu de tel dans la presse française et bien au contraire, en guise de délire nationaliste, j'ai vu des journalistes et des commentateurs très sévères envers l'équipe jusqu'au moment où elle a bien joué.
Zidane, du Figaro à Libé, les articles sont très sévères et le geste est condamné et personne ne conteste le bien-fondé de l'exclusion. On cherche une explication, ce qui n'est pas illogique mais tout le monde parle de sortie ratée. 80% des français excusent Zidane? Comme toi si je t'ai bien lu.
Le non à la constitution européenne? quel rapport? A part les pays où la représentation parlementaire a voté, le "non" l'a emporté et ce serait que la France seule qui emporterait la désagrégation de l'Europe?
Les communautés et la conclusion de ton message, désolé mais je ne comprends même pas ce que tu veux démontrer.
Pour le reste, j'ai vu des antillais, un guyanais, un chti, des enfants d'immigrés derrière lesquels il y avait, au moins pour un temps, une forme d'union et je préfère ça aux cris de singe à l'italienne entre autres.

On peut difficilement voir quelque chose de l'extérieur lorsque l'on est dedant,
Ce que je veux dire c'est que seule l'exaltation de la nation française (et tu le sais très bien) permet de rassembler des gens complétement différents, oui je pense que l'europe en fera les frais, et je précise bien qu'il y a une possibilité de recroquevillement des vieilles nations sur elles mêmes, ça m'inquiète.

Maintenant lorsque je vois que l'actualité mondiale et nationale est complétement occultée par un évenement sportif je dis que c'est du délire nationaliste, peut être que je me trompe mais je ne pense pas être loin de la réalité.

ne pas confondre chauvinisme et nationalisme...
Ce qui est clair c'est que si la France avait gagné, on aurait eu droit à 50 reportage à l'usu comment Zidane il lace ses chaussures, comment il se torche le matin ou comment il ouvre les bouteilles de volvic...
On aurait eu droit au discours grandiloquent de Chirac sur le parvis de l'Elysée avec toute l'équipe derrière... mais en aucun cas, ça n'aurait voulu dire que la France pisse au cul des autres nations européennes... faut pas tout mélanger...

sittembre a écrit:

Antone a écrit:

Le non à la constitution européenne? quel rapport? A part les pays où la représentation parlementaire a voté, le "non" l'a emporté et ce serait que la France seule qui emporterait la désagrégation de l'Europe?
Les communautés et la conclusion de ton message, désolé mais je ne comprends même pas ce que tu veux démontrer.
Pour le reste, j'ai vu des antillais, un guyanais, un chti, des enfants d'immigrés derrière lesquels il y avait, au moins pour un temps, une forme d'union et je préfère ça aux cris de singe à l'italienne entre autres.

très bien et puis ??

Mnt a écrit:

ne pas confondre chauvinisme et nationalisme...
Ce qui est clair c'est que si la France avait gagné, on aurait eu droit à 50 reportage à l'usu comment Zidane il lace ses chaussures, comment il se torche le matin ou comment il ouvre les bouteilles de volvic...
On aurait eu droit au discours grandiloquent de Chirac sur le parvis de l'Elysée avec toute l'équipe derrière... mais en aucun cas, ça n'aurait voulu dire que la France pisse au cul des autres nations européennes... faut pas tout mélanger...

J'ai pas dis cela, je dis que l'europe est désormais perçue comme trop dissolvante de la nation française, alors que celle ci a besoin de mythes communs pour unir toutes les populations qu'y s'y trouvent et ne s'y retrouvent pas. Le football étant un de ces mythe.

rien si ce n'est qu'en Allemagne par exemple c'est le parlement qui a voté et qu'un scrutin populaire aurait sans doute donné un résultat différent. C'est ce que j'ai écrit...Ah c'est vrai le Luxembourg vient contrarier ma théorie

Mnt a écrit:

sittembre a écrit:

Antone a écrit:

Le non à la constitution européenne? quel rapport? A part les pays où la représentation parlementaire a voté, le "non" l'a emporté et ce serait que la France seule qui emporterait la désagrégation de l'Europe?
Les communautés et la conclusion de ton message, désolé mais je ne comprends même pas ce que tu veux démontrer.
Pour le reste, j'ai vu des antillais, un guyanais, un chti, des enfants d'immigrés derrière lesquels il y avait, au moins pour un temps, une forme d'union et je préfère ça aux cris de singe à l'italienne entre autres.

très bien et puis ??

bé tu ouvre les yeux.

Antone a écrit:

rien si ce n'est qu'en Allemagne par exemple c'est le parlement qui a voté et qu'un scrutin populaire aurait sans doute donné un résultat différent. C'est ce que j'ai écrit...Ah c'est vrai le Luxembourg vient contrarier ma théorie

13 oui 2 non ,on ne peut pas dire que la responsabilité des "non" soit dissoute dans celle des autres pays noniste, enfin de l'autre pays.

tu as regardé le cartouche en haut à droite?Il n'y a qu'en Pologne et en Slovaquie que le scrutin populaire s'est prononcé pour le "oui"
Ailleurs ce sont les parlements...et le parlement français aurait voté oui sans doute. Je n'ai rien dit d'autre.

Citation :

A part les pays où la représentation parlementaire a voté, le "non" l'a emporté et ce serait que la France seule qui emporterait la désagrégation de l'Europe?

Antone a écrit:

tu as regardé le cartouche en haut à droite?Il n'y a qu'en Pologne et en Slovaquie que le scrutin populaire s'est prononcé pour le "oui"
Ailleurs ce sont les parlements...et le parlement français aurait voté oui sans doute. Je n'ai rien dit d'autre.

Citation :

A part les pays où la représentation parlementaire a voté, le "non" l'a emporté et ce serait que la France seule qui emporterait la désagrégation de l'Europe?

C'est vrai, mais le résultat est là
(Il y a eu un référendum en Espagne gagné par le Oui.)

le comble c'est que si tu relis les messages à ce propos, mais ils sont anciens, j'ai milité pour le "oui" et j'étais loin d'être en majorité ici il y avait un front "disparate" mais efficace.

Je crois que tu confonds quelques points o Sittembre... je pense pas que le non en France soit uniquement porté par les nationalistes style de Villiers et consorts... c'est surtout au niveau social que ça s'est joué...

C'est pas pour foutre le bordel, mais le non n'était-il pas motivé, du moins à gauche par des raisons de solidarités et de refus du libéralisme.
Donc pour le replis nationaliste, tu repasseras.

A mon avis, la majorité des politiques qui votaient non voulaient se démarquer des dirigeants des grands partis afin de préparer la prochaine présidentielle.

sittembre a écrit:

l'idole des indignés sélectifs français (ISF)

...Il y a des indignations selectives...

Alors que la finale de CdM ait fini par tourner en confrontation Pro/anti français sur le Web corse, même si ne m'a pas vraiment enchanté, c'était inévitable.
Mais que maintenant on en vienne à parler d'un replis nationaliste pour le soutien de l'EdF et qu'on remette le référendum sur le tapis, là franchement ça me laisse pantois

Le foot internationale, c'est fini pour 2 ans là, la politique c'est tout le temps, alors si on pouvait laisser l'amalgame tranquille...

les rois du mélange-tout

je suis bourrin, et je maintiens, le foot c'est bien, mais ne pas se laisser emmerder, c'est mieux. Forza Zidane !! Zidane au RCT !!!!!!!!!!!

scelta para a écrit:

les rois du mélange-tout

je suis bourrin, et je maintiens, le foot c'est bien, mais ne pas se laisser emmerder, c'est mieux. Forza Zidane !! Zidane au RCT !!!!!!!!!!!

MDR

Citation :

Quand les Bleus sont en finale, on n'échappe pas au tube de l'été. En 1998, Universal Music avait vendu 900 000 exemplaires d' I Will Survive , devenu LA chanson des champions du monde tricolores. Cette année, la France n'a pas gagné, mais la défaite a peut-être accouché d'un morceau appelé à cartonner : Coup de boule, tout simplement.
Ecrite par les trois responsables du label Plage Records (1), spécialisé dans la musique de pub et l'identité musicale, la chanson emboîte le pas au refrain entonné par Cauet, l'animateur de Fun radio, et son équipe pendant le premier tour, alors qu'on désespérait encore de l'équipe de France : Zidane y va marquer . En quelques heures, cette chanson avait fait le tour du Net. Puis TF1, flairant le bon coup, s'en est servi pour lancer ses écrans publicitaires. Et Universal Music (toujours elle) a acheté les droits afin que le titre soit disponible dans les bacs à l'heure de la finale.
«Pourquoi pas nous ?» Les trois compères de Plage Records pourraient faire encore plus fort. Dimanche soir, Emmanuel et Sébastien Lipszyc, deux frères, patrons de la boîte, et Franck Lascombes, le compositeur, regardent le match chacun dans leur coin. Furieux de la défaite, ils se retrouvent le lundi matin au studio. Bluffés par le nombre de réactions que suscite le coup de tête de l'idole (montages d'images d'archives, photos bricolées, création à la va-vite de jeux vidéo comme celui où un Zidane numérique distribue des têtes à une tripotée de Materazzi), Franck se dit : «Pourquoi pas nous ?» Les autres embrayent, prennent calepin et stylos et retranscrivent le match. Aussitôt collées sur «une musique qu'on avait en stock», les paroles donnent naissance à une chanson qui décline le refrain de celle de Cauet en un entêtant : «Zidane il a tapé.»
Pour eux, ce qui est désormais appelé à devenir un coup commercial, n'était qu'une forme de thérapie. «On était dégoûtés, alors on a voulu dédramatiser, raconte Sébastien. On a d'abord écrit un clip de trente secondes, puis le reste est venu tout seul en suivant la chronologie du match.» En musique, ça donne : «Attention, c'est la danse du coup de boule. Coup de boule à droite, coup de boule à gauche, allez les Bleus, Zidane il a frappé, Zidane il a tapé [...], l'arbitre l'a vu à la télé [...] mais la coupe on l'a raté, on a quand même bien rigolé.» S'ensuit un récit fendard quoiqu'un peu longuet de la fin de la rencontre.
La suite ? Un mode de diffusion viral en passe de faire d'une rigolade de copains une sacrée bonne affaire. Envoyé par mail à 50 contacts, le morceau arrive entre les mains d'un animateur de Skyrock. Le lundi soir, il est à l'antenne. Depuis, c'est la folie. « Trois grosses maisons de disques nous ont contactés hier. Ils n'ont pas émis une seule critique, ils voulaient juste savoir combien coûtaient les droits du morceau. On devrait signer très vite.»
«Buzz». Ensuite, ce sont les vendeurs de sonneries de téléphones portables qui ont fait le forcing pour avoir le morceau dans leur catalogue dès aujourd'hui. «Il y a un buzz énorme autour de ce morceau, constate Cyrille Rossetto, de Media Plazza, distributeur de contenu pour mobiles. L'idée est de surfer là-dessus.» Montant du deal passé hier soir : «moins de 10 000 euros», lâche Sébastien. Pour les majors, ce pourra être jusqu'à 100 000 euros. Dès samedi, un clip doit être tourné au Stade Charlety. «C'est hallucinant de voir comment des boîtes aussi difficiles à joindre habituellement se jettent là-dessus, s'amuse Sébastien. Ça fait dix ans qu'on bosse dans le milieu et on ne vit heureusement pas de ça. Mais, si on peut faire danser tout le monde cet été, ça nous fait marrer.»

Coupe du Monde : la nuit où la Corse a basculé du bleu vers l'azzuro ?



Aux manifestations d'allégresse qui ont animé les rues de Corse à mesure que l'équipe de France de football se rapprochait d'une finale en Coupe du Monde a succédé, la nuit du 9 juillet une liesse plus importante encore pour saluer la consécration de l'équipe d'Italie. Bleus, d'accord, azzuri d'abord ?



Et l'on dira que les Corses passent leur temps à râler ? On se souvient qu'en 1998 la victoire de l'équipe française avait été fêtée toute la nuit dans les villes insulaires. Une liesse qui rappelait celle de 1978 et de l'épopée bastiaise en coupe d'Europe. Et bien, dans la nuit du 9 juillet, l'île était probablement la région française où l'issue de la Coupe du Monde a fait le plus d'heureux. La victoire de l'équipe d'Italie y a en effet donné lieu à des scènes de liesse, certes pas totalement unanimes, mais on ne peut plus massives. A Ajaccio, dès le coup de sifflet final de l'arbitre, mettant un terme définitif aux espoirs des Bleus et de leurs supporters, a démarré sur le cours Napoléon ainsi que sur le Boulevard Paoli à Bastia, un important défilé de voitures pavoisées au couleurs de l'Italie, ponctué de coups de klaxon, de cornes de brume et de cris de joie. Très vite, la place de Gaulle, à Ajaccio, devenait le théâtre d'une grande fête improvisée qui s'est prolongée jusqu'aux premières heures de la matinée : danses, embrassades, feux de bengale, cris de louange à l'égard de la Squadra azzura... et relativement peu de commentaires désobligeants à l'encontre des Bleus. Trop, déjà, cependant, au goût de leurs quelques supporters égarés dans cette foule vert-blanc-rouge. Même scénario à Bastia. Témoins décontenancés, éberlués, parfois dépités voire courroucés, de cette allégresse quasi générale, quelques touristes, dont certains agitant bravement mais plutôt vainement - car dans une indifférence ambiante un brin teintée d'ironie et plus propice à la pratique de la macagna qu'à l'affrontement entre supporters- un drapeau bleu-blanc-rouge. Question dépaysement dans la plus proche des îles lointaines, c'était un franc -si l'on ose dire- succès ! Combien étaient à même de se remémorer ce vers de Charles d'Orléans « En étrange pays dans mon pays lui-même » ? Leur perplexité était d'autant plus grande que rien ne laissait prévoir une telle joie : les jours précédents, si l'on avait assisté à des scènes similaires quoique d'ampleur moindre, c'était pour célébrer l'ascension des Bleus, tous avertisseurs hurlants, le drapeau français largement déployé sur le toit du véhicule, sans pour autant parvenir à recouvrir le macaron à l'effigie du clandestin qui ornait parfois le pare-brise dudit véhicule... Le même qui dans certains cas, s'est trouvé arborer tout soudain, en cette nuit du 9 juillet, les couleurs de l'Italie... Arrivederci Francia ! Evviva Italia ! Combien ont, pour cette finale, jeté prestement aux orties le maillot des Bleus pour revêtir celui « raide de neuf » des Azzuri ? Allez savoir... Toujours est-il que, cette nuit-là, tout en restant fidèles au tricolore, un grand nombre d'insulaires ont affiché leur préférence marquée pour le vert au détriment du bleu. Un certain goût pour l'espoir ? Une certaine façon de signifier que, qui que soit le perdant, de l'actuel ou de l'ancien « proprio », peu importe au fond, pourvu qu'il y ait matière à se divertir d'une déconfiture résultant de leur affrontement ? Façon de dire que, somme toute, l'Histoire, tour à tour à tour italienne et française de la Corse, permet de ces volte-face qui autorisent à choisir, sans trop s'embarrasser de scrupules et à tout moment, avec qui l'on veut gagner ? En effet, la victoire de l'équipe française en 1998 avait été fêtée toute la nuit dans les villes insulaires. Une liesse qui rappelait celle de 78 et de l'épopée bastiaise en coupe d'Europe. Ou tout simplement stricte observance du « et que le meilleur gagne » ? Ma chi lo sà ? Et puis, de toute façon, bleue ou azzura, la Corse reste vouée à la couleur de la Vierge, sa vraie grande patronne. Allez, un petit Dio vi Salvi ?

va falloir que je touve l'opportuniste de Dutronc en mp3 pour un fond sonore, on dirait.