Pourquoi 2 poids 2 mesures?

Entre ça dont tout le monde parle les agresseurs sont de sinistres abrutis nazillons du K.O.B

https://www.youtube.com/watch?v=728aMT-Ssf0

Et ça dont personne ne parle alors que les agresseurs sont clairement identifiés comme des types du front de gauche

https://www.dailymotion.com/video/xonrgb_nda-reagit-a-son-agression_news

Faut il ètre bobo de la gauche caviar pour que les médias traitent votre cas?

Citation :

BAYONNE, Pyrénées-Atlantiques (Reuters) - Des CRS sont
intervenus jeudi à Bayonne pour dégager les accès d'un café où Nicolas
Sarkozy était en réunion à huis clos avec des habitants, un incident
dans lequel le président a vu une collusion entre militants socialistes
et nationalistes basques.

Des centaines de manifestants ont été repoussés à
distance par les forces de l'ordre, a constaté un journaliste de
Reuters.

En campagne au Pays basque, Nicolas Sarkozy est arrivé
peu avant 16h00 dans le centre historique de Bayonne, où il a été
immédiatement chahuté.

Il a été accueilli par des sifflets et des lâchers de
bulletins de vote factices en forme de "oui" à la création d'une
collectivité territoriale basque. Des militants du Parti socialiste
s'étaient aussi mêlés à la foule, où les sympathisants UMP ont eu du mal
à se faire entendre.

Nicolas Sarkozy n'a eu le temps que de visiter un seul
commerce dans la cohue avant de gagner le café où, comme à Annecy pour
sa première sortie de campagne, il s'est entretenu avec des habitants et
des commerçants.

Avant de partir, il a dénoncé les manifestants,
déclarant à des journalistes : "Je n'accepterai pas qu'une minorité
saccage une ville".

"J'ajoute que je suis désolé de voir que des militants
socialistes de M. Hollande s'associent à des indépendantistes dans des
manifestations de violence pour terroriser des braves gens", a-t-il
indiqué.

"35 HECTARES, CE N'EST PAS RIEN"

"Si c'est ça leur conception de la démocratie, si c'est
ça la République qu'ils préparent, et bien ça ne donne pas envie qu'ils
arrivent", a-t-il ajouté.

Michel Sapin, chargé du projet de François Hollande, a
repoussé les accusations insinuant que le PS serait derrière ces
troubles.

"Quand on est candidat on n'est plus président de la
République, on n'est plus protégé par des centaines et des centaines de
CRS qui évacuent toute population à plusieurs kilomètres à la ronde", a
dit l'ancien ministre sur i>Télé.

"Quand on est candidat (...), on prend le risque de ne
pas être aimé, d'être salué comme n'étant pas un bon candidat", a-t-il
ajouté en direct de Lyon, où François Hollande est en meeting.

La gauche file un mauvais coton, ils ne seront jamais pire que l'ump (quoi que) mais ils sont bien loin de l'esprit du conseil national de la résistance. Quand j'entend Hollande prôner l'interventionnisme en Syrie contre un état souverain et qu'il se permet de critiquer la Chine et la Russie qui ont depuis longtemps pour principe de ne jamais intervenir dans les affaires intérieur d'un pays. Je crois rêver, aucune remise en question de l'intégration de la France dans une otan dirigé par les usa qui se trouve être la nation la plus belliqueux de la planète. La catastrophique intervention en Libye n'a toujours elle donc pas servi de leçon? On en parle plus dans les médias dominant mais la situation en Libye est désastreuse... Les informations existent pourtant....

Consultez le site mondialisation.ça ou le blog de serge adam vous aurez des informations non bidonnés.

Un exemple, la ligue syrienne des droits de l'homme est basé a londre elle est composé de deux personnes un islamiste radical et un gérant de snack bar inculte, ce sont leurs propos que les média tels le monde ou libé (les autres aussi d'ailleur) reprennent a longueur de colonne sans aucune vérification ni investigation sérieuse. Voila ou en est la presse française

absolut bastia a écrit:

Citation :

BAYONNE, Pyrénées-Atlantiques (Reuters) - Des CRS sont
intervenus jeudi à Bayonne pour dégager les accès d'un café où Nicolas
Sarkozy était en réunion à huis clos avec des habitants, un incident
dans lequel le président a vu une collusion entre militants socialistes
et nationalistes basques.

Des centaines de manifestants ont été repoussés à
distance par les forces de l'ordre, a constaté un journaliste de
Reuters.

En campagne au Pays basque, Nicolas Sarkozy est arrivé
peu avant 16h00 dans le centre historique de Bayonne, où il a été
immédiatement chahuté.

Il a été accueilli par des sifflets et des lâchers de
bulletins de vote factices en forme de "oui" à la création d'une
collectivité territoriale basque. Des militants du Parti socialiste
s'étaient aussi mêlés à la foule, où les sympathisants UMP ont eu du mal
à se faire entendre.

Nicolas Sarkozy n'a eu le temps que de visiter un seul
commerce dans la cohue avant de gagner le café où, comme à Annecy pour
sa première sortie de campagne, il s'est entretenu avec des habitants et
des commerçants.

Avant de partir, il a dénoncé les manifestants,
déclarant à des journalistes : "Je n'accepterai pas qu'une minorité
saccage une ville".

"J'ajoute que je suis désolé de voir que des militants
socialistes de M. Hollande s'associent à des indépendantistes dans des
manifestations de violence pour terroriser des braves gens", a-t-il
indiqué.

"35 HECTARES, CE N'EST PAS RIEN"

"Si c'est ça leur conception de la démocratie, si c'est
ça la République qu'ils préparent, et bien ça ne donne pas envie qu'ils
arrivent", a-t-il ajouté.

Michel Sapin, chargé du projet de François Hollande, a
repoussé les accusations insinuant que le PS serait derrière ces
troubles.

"Quand on est candidat on n'est plus président de la
République, on n'est plus protégé par des centaines et des centaines de
CRS qui évacuent toute population à plusieurs kilomètres à la ronde", a
dit l'ancien ministre sur i>Télé.

"Quand on est candidat (...), on prend le risque de ne
pas être aimé, d'être salué comme n'étant pas un bon candidat", a-t-il
ajouté en direct de Lyon, où François Hollande est en meeting.

Oh oui ! Quel scandale !

l'agression physique dans un pays où on peut voter (à peu près librement) est condamnable.

S'agissant de NDA, son poids médiatique est à peu près nul. En plus, l'UMP n'a pas intérêt à ce qu'il prenne des voix. C'est le Taubira de NS. On parle peu de lui. C'est le sens de mon "à peu près librement".

Quant à Montebourg et Pulvar, ce sont des icones médiatiques très bankables.

Pour Bayonne, c'est une manifestation qui devait arriver. Sarko (et j'en ai été témoin deux fois à Toulon) a transformé ses tournées en visite de villages Potemkine avec un déploiement de forces policières tout simplement hallucinant avec interpellations préventives et quelques matraquages en règle dont on a fort peu parlé.

Antone a écrit:

l'agression physique dans un pays où on peut voter (à peu près librement) est condamnable.

Si le vote suffit alors, il ne nous reste plus qu'à sortir du lit tous les 5 ans.