ça va mieux en le lisant

macagnaman a écrit:

j'ai écris un poste de 20 lignes qui a disparu

merci forumactif
Tiens oh mac toi qui aime bien la fantasy, je te recommande chaudement "la horde du contrevent", un livre d'ors et déjà d'anthologie chez les amateurs tant il est riche scénaristiquement et au niveau du style.
21 personnages, 21 parlures, un systême de lecture (oui il y a un "systême pour le lire"), une profondeur hallucinante (j'ai relu bergson suite à ce roman ), des vrais moments d'anthologie digne des meilleures production cinématographique (et c'est pas Figa qui me contredire, hein?) et des recueils de poésie les plus farfelus (les deux en même temps mon colonel ) et surtout, surtout, UN UNIVERS UNIQUE.
7 ans d'écriture (dont qq années à Nonza ) qui n'auront pas été vain, je me demande tjs comment il a pu faire tout ça en SEULEMENT 7 ans...

un livre univers dont vous ne ressortirez pas entier à coup sûr.

je le note, ça a l'air bien, ce sera mon prochain bouquin, apres donc "le trone de fer" mais je reexplique pas.
Tapez "trone de fer" sur wikipedia, c'est un toc de livre si vous aimez le médieval.

macagnaman a écrit:

je le note, ça a l'air bien, ce sera mon prochain bouquin, apres donc "le trone de fer" mais je reexplique pas.
Tapez "trone de fer" sur wikipedia, c'est un toc de livre si vous aimez le médieval.

tu parles d'un résultat quand tu tapes "trône de fer " sur Google

La connaissance et l'action (Hatier): (Manuel de philosophie pour les terminales C, D, E)
Pierre Hadot - Qu'est ce que la philosophie antique ?

Swedish Tenimi a écrit:

macagnaman a écrit:

j'ai écris un poste de 20 lignes qui a disparu

merci forumactif
Tiens oh mac toi qui aime bien la fantasy, je te recommande chaudement "la horde du contrevent", un livre d'ors et déjà d'anthologie chez les amateurs tant il est riche scénaristiquement et au niveau du style.
21 personnages, 21 parlures, un systême de lecture (oui il y a un "systême pour le lire"), une profondeur hallucinante (j'ai relu bergson suite à ce roman ), des vrais moments d'anthologie digne des meilleures production cinématographique (et c'est pas Figa qui me contredire, hein?) et des recueils de poésie les plus farfelus (les deux en même temps mon colonel ) et surtout, surtout, UN UNIVERS UNIQUE.
7 ans d'écriture (dont qq années à Nonza ) qui n'auront pas été vain, je me demande tjs comment il a pu faire tout ça en SEULEMENT 7 ans...

un livre univers dont vous ne ressortirez pas entier à coup sûr.

Approuvé.

D'autant plus que je me remettais à peine à lire, c'était assez chaud à prendre en main mais après quel pied

Je suis dans une période SF et Fantasy. Je viens d'achever "I am Legend" de Richard Matheson, un excellent bouquin sur le thème du vampirisme. Il va d'ailleurs être adapté de nouveau avec Will Smith dans le role principal

J'ai lu le bouquin à l'origine de Starship Troopers (la traduction française étant "Etoiles! Garde à vous!). Le film est largement édulcoré par rapport au livre. L'auteur a des idées bien propres d'une société fasciste et ne s'en cache pas.

Sinon, faut que je finisse le cycle Fondation d'Asimov, j'ai terminé quelques Dick, et mon petit péché mignon du moment, les Annales du Disque Monde de Terry Pratchett, c'est simplement énorme et la traduction est vraiment pas mal.

Antone a écrit:

macagnaman a écrit:

je le note, ça a l'air bien, ce sera mon prochain bouquin, apres donc "le trone de fer" mais je reexplique pas.
Tapez "trone de fer" sur wikipedia, c'est un toc de livre si vous aimez le médieval.

tu parles d'un résultat quand tu tapes "trône de fer " sur Google

Vous nous faites chier avec ce livre



.

Douglas Coupland - Toutes les familles sont psychotiques.

Jouissif

L'Elégance du Herisson est un GRAND Livre

Une critique plus complête très bientôt

Journal d'un curé de campagne, G. Bernanos

Si j'en crois la 4e de couverture, c'est un chef-d'oeuvre de la littérature du XXe siècle. On va voir ça.

Swedish Tenimi a écrit:

L'Elégance du Herisson est un GRAND Livre

Un livre qui a du piquant



.

Par contre là, j'arrête de lire "Au-delà de cette limite votre ticket n'est plus valable".
Jusque là, c'est le pire livre que j'ai jamais lu...

Oups


Erreur de manip ... j'ai effacé le post de l'ami Mac.


Désolé



.

Il disait quoi en substance?

fabrice a écrit:

Oups


Erreur de manip ... j'ai effacé le post de l'ami Mac.


Désolé



.

pas grave, je disais, "t'as jamais lu houelbeck alors" !

Si si, et c'est largement mieux.
Comment Gary a-t-il pu pondre une pareille merde ?

Ma théorie c'est qu'il s'agit d'un faux bouquin, d'un leurre, quand on sait que la même année, au même moment, il sortait "La Vie Devant Soi" sous le pseudo d'Emile Ajar.

C'est O-B-L-I-G-E

Sérieusement Mac, t'as trouvé qq chose à sauver dans ce livre?

Swedish Tenimi a écrit:

Si si, et c'est largement mieux.
Comment Gary a-t-il pu pondre une pareille merde ?

Ma théorie c'est qu'il s'agit d'un faux bouquin, d'un leurre, quand on sait que la même année, au même moment, il sortait "La Vie Devant Soi" sous le pseudo d'Emile Ajar.

C'est O-B-L-I-G-E

Sérieusement Mac, t'as trouvé qq chose à sauver dans ce livre?

pas lu mais j'adore romain gary; ceci dit s'il est mauvais je vais pas le lire ça m'évitera de ternir l'image que j'ai de lui, c'est un de mes auteurs preférés.

Ben c'est ça qui me tue, on dirait même pas du Gary.
Ca ferait une très bonne dissert d'élèves médiocres de 5e...

une horreur quoi.

L'artichjoccu a écrit:

Journal d'un curé de campagne, G. Bernanos

Si j'en crois la 4e de couverture, c'est un chef-d'oeuvre de la littérature du XXe siècle. On va voir ça.

50 premières pages d'un ennui profond. Adieu.

L'artichjoccu a écrit:

L'artichjoccu a écrit:

Journal d'un curé de campagne, G. Bernanos

Si j'en crois la 4e de couverture, c'est un chef-d'oeuvre de la littérature du XXe siècle. On va voir ça.

50 premières pages d'un ennui profond. Adieu.

ça c'est de l'analyse !

C'est pas une analyse, c'est un sentiment personnel.

Antone, à propos de "L'Elégance du Hérisson", j'ai lu et entendu la critique suivante:
"Etalage de culture pour faire riche, aucun intérêt sinon".
N'ayant pas assez de recul sur le livre, je peux juste dire que je ne suis pas d'accord et que ça m'énerve ENORMEMENT (au point de méchamment me facher avec qq que j'apprécie beaucoup...), mais toi avec le temps, que peux-tu dire de cette critique?

Certes il y a une certaine tentation à la "Monsieur Teste" de Valery (98 pages, à lire, mais surtout pour la culture), mais de là à dire que le bouquin de Barbery est une merde...

Edit:
http://www.lire.fr/critique.asp/idC=31477&idTC=3&idR=212&idG=9
une critique de "Monsieur Teste" pour les curieux.

Je n'ai aucune prétention à être un critique littéraire éclairé. En matière de livres comme de vins, je ne boude pas mon plaisir. Si c'est bon, gouleyant et original, je me fiche de savoir si celui qui a écrit a voulu épater la galerie pour peu que la qualité soit au rendez-vous.
L'élégance du hérisson est un livre dont la thématique me plait.
L'amour de la culture, le goût des autres (une concierge en héroïne érudite), un coté Perec dans le choix du lieu (l'immeuble) comme révélateur des classes, le goût évident pour la culture japonaise (j'ai adoré le passage sur les portes coulissantes) et ce subtil équilibre qu'on retrouve dans l'ouvrage entre les deux voix qui peut se rejoignent, se rencontrent.
L'arrivée de Ozu est féérique et cette idée de connivence à travers les phrases du roman russe est émouvante car elle sous-tend de manière utopique sans doute que la culture est une passerelle qui transcende les différences de statut social. Et la fin n'est pas mièvre comme on pouvait à la fois l'espérer (un mariage aurait eu de la gueule) et le craindre (love story improbable).
C'est une ode au beau, au bon (les repas japonais), au gai (l'épisode des toilettes m'a bien fait rigoler) et à la tolérance.
Que demander de plus?
Reprocher à l'auteur d'avoir disserté sur Husserl pour faire joli et étalage de son savoir? Ce n'était pas incongru et d'ailleurs la concierge avoue qu'à l'épreuve des faits, la question de la conscience et la compréhension de cette thématique n'a que peu d'importance. Les personnages revivent, aiment et acceptent leur condition de manière réfléchie y compris dans l'accomplissement d'un destin assez cruel en définitive.
j'ai adoré ce bouquin.

Antone a écrit:

Je n'ai aucune prétention à être un critique littéraire éclairé. En matière de livres comme de vins, je ne boude pas mon plaisir. Si c'est bon, gouleyant et original, je me fiche de savoir si celui qui a écrit a voulu épater la galerie pour peu que la qualité soit au rendez-vous.
L'élégance du hérisson est un livre dont la thématique me plait.
L'amour de la culture, le goût des autres (une concierge en héroïne érudite), un coté Perec dans le choix du lieu (l'immeuble) comme révélateur des classes, le goût évident pour la culture japonaise (j'ai adoré le passage sur les portes coulissantes) et ce subtil équilibre qu'on retrouve dans l'ouvrage entre les deux voix qui peut se rejoignent, se rencontrent.
L'arrivée de Ozu est féérique et cette idée de connivence à travers les phrases du roman russe est émouvante car elle sous-tend de manière utopique sans doute que la culture est une passerelle qui transcende les différences de statut social. Et la fin n'est pas mièvre comme on pouvait à la fois l'espérer (un mariage aurait eu de la gueule) et le craindre (love story improbable).
C'est une ode au beau, au bon (les repas japonais), au gai (l'épisode des toilettes m'a bien fait rigoler) et à la tolérance.
Que demander de plus?
Reprocher à l'auteur d'avoir disserté sur Husserl pour faire joli et étalage de son savoir? Ce n'était pas incongru et d'ailleurs la concierge avoue qu'à l'épreuve des faits, la question de la conscience et la compréhension de cette thématique n'a que peu d'importance. Les personnages revivent, aiment et acceptent leur condition de manière réfléchie y compris dans l'accomplissement d'un destin assez cruel en définitive.
j'ai adoré ce bouquin.

bon ben voilà, je jette la critique que j'avais écrite pour mon blog, je donnerai le lien vers la tienne pour les personnes à qui je souhaite faire découvrir le livre.

Pour ma part, j'ai préféré cette petite peste de Paloma, tellement sûr de sa maturité alors que fondamentalement elle est une morveuse de 12 ans réjouissante.
L'anti-thêse de Renée au début, sauf dans sa volonté de rester incognito: Renée plonge en elle-même par sa culture, Paloma voit l'extérieur (et donc la culture) à partir de sa conscience. Elle est l'échec vivant de la théorie lue par Renée et à l'épreuve des faits (le passage sur le joueur de rugby est hilarant), elle sort de l'expérience pour passer au mouvement et à l'ouverture vers l'extérieur, elle songe même à sauver sa soeur, à qui on a envie de coller des baffes avec des parpaings.

Alors, il y a qq poncifs (les petites gens sont de coeur, les hautes-sphêres n'ont en fait aucune liberté), Ozu (ah les gyoza et le zalu lamen... l'horreur m'a envahi lors du passage du repas chez lui, car ce sont mes plats japonais favoris...hein, figa ?) fait un peu Deux Ex Machina (et conforte Paloma dans sa japon(i)aiserie), je le répête il y a un côté "Monsieur Teste" qui peut paraître désagréable, mais je me suis régalé, je l'ai dévoré en 4 jours. Alors peut-être que les tâches de sauce faites en mangeant comme un porcu persu me marque encore un peu, mais j'avoue ne pas avoir compris la critique reprochant en fait l'érudition de l'auteur...

Bon je viens de finir le dernier Nothomb...
Ca remonte un peu le niveau, ça se laisse lire (en 2h vous le finissez).
Par contre les phrases de 10-12 mots, je m'y ferais jamais, je sais pas si c'est censé créer un rythme particulier, mais moi ça me laisse l'inpression d'un EECG plat...

macagnaman a écrit:

"t'as jamais lu houelbeck alors" !

Où est le bègue


Pou...pou...pourquoi tu...tu me p...p...poses cette que...que...ques...question



Et j'ai même pas honte




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