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Speranza
Reynald Pedros
Speranza


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MessageSujet: De mieux en mieux....   De mieux en mieux.... EmptyMar 19 Juin - 7:47

Ao basta il font pourtant pas le tour de france dans les collèges
Shocked

Citation :


Le dopage sportif au collège
Dès onze ans, le dopage sportif existe au collège selon une étude du Dr Patrick Laure sur plus de 3.500 élèves lorrains suivis pendant quatre ans.

NANCY - Plus d'un jeune collégien français de onze ans sur cent utilise des substances pour doper ses performances sportives. Voilà ce que révèle une étude orchestrée par le docteur nancéien et spécaliste du dopage Patrick Laure et publiée aujourd'hui par une revue spécialisée : « The British Journal of Sports Medicine ».
Les auteurs de l'étude ont interrogé sur quatre ans (2001-2005) 3.564 des collégiens du département des Vosges entrant en première année de l'école secondaire sur leur éventuelle utilisation de substances ou médicaments interdits par l'agence mondiale anti-dopage dans les compétitions.
Ces jeunes, dont le nombre a diminué à 2.199 pour diverses raisons (déménagement, etc. ) ont été ensuite suivis pendant les quatre années suivantes. Au début, 1,2 % ont indiqué avoir pris une ou plusieurs substances mais vers l'âge de 15 ans cette proportion avait atteint 3 %.
Le plus utilisé est un médicament contre l'asthme, le salbutamol, pris par 45 % de ceux déclarant se doper, suivi par les corticostéroïdes (10 %) et le cannabis (6 %) tandis que 38 % disent recourir à d'autres agents stimulants ou anabolisants.
Parmi ceux qui se dopaient, 4 % ont indiqué avoir eu un problème de santé comme le fait de devenir violent ou d'avoir une modification de la voix ou de s'évanouir (syncope), tandis que 44 % sont persuadés avoir gagné au moins une fois grâce à ce coup de fouet pharmaceutique. A signaler que les médicaments pris pour des raisons médicales ont été exclus de ce décompte.
On savait déjà que le dopage, quelle que soit la substance utilisée pourrait concerner 4,5 % des adolescents français qui effectuent dix heures de sport par semaine
comme l'ont démontré de précédentes études souligne le Dr Patrick Laure. On savait également que cette pratique est plus répandue chez les garçons.
L'étude conduite par ce spécialiste, médecin conseil à la Direction régionale de la Jeunesse et des sports de Lorraine, montre ainsi que chez les pré-adolescents le dopage existe, que le nombre d'usagers augmente avec l'âge et que le dopage, qui prédomine chez les garçons, est lié à une faible estime de soi et une forte anxiété.
L'étude confirme en outre que la probabilité de dopage est plus grande chez les jeunes qui ont déclaré six mois auparavant leur intention d'essayer un produit interdit.
Autant de signes qui doivent alerter les adultes responsables de l'éducation des jeunes.
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