Parlons de tactique

Citation :

Trois questions ont été posées à François Bayrou au début de notre entretien. Il souhaite modifier le code du travail, supprimer les contrats existants pour créer un CDI (contrat à durée indéterminée) unique à droits progressifs. Parmi les modifications, il veut introduire un allongement de la période d'essai, et la porter d'un à trois mois. Si possible, selon le candidat cette modification procédera d'un accord entre partenaires sociaux.
Les 35 heures. Il souhaite en "libéraliser" l'application, notamment en rémunérant davantage, 35% de bonus pour le salarié, les heures supplémentaires. Travailler pour gagner plus, est-il convenu au micro, constitue son approche de ce problème particulier.
Enfin, François Bayrou ne veut pas donner de coup de pouce au SMIC, s'il est élu. "Ce serait une augmentation artificielle", a-t-il dit ces jours derniers lors d'une interview à la presse écrite. Il l'a répété ce matin.

Sur ces trois points, François Bayrou est proche, parfois même en total accord, de Nicolas Sarkozy. Ce qui contredit sa volonté, qu'il redit ce matin dans un entretien au journal Le Parisien, de gouverner, s'il est élu à l'Élysée, avec la gauche. Sur un programme économique tel qu'il le dessine, il trouvera difficilement un responsable politique de l'actuelle gauche socialiste pour le mettre en œuvre à Matignon.

Nicolas Sarkozy. Depuis plusieurs jours, François Bayrou suggère que le candidat de l'UMP dérive vers l'extrême droite. La charge est rude et porte en elle des effets dévastateurs pour les relations futures entre l'UMP et l'UDF. On peut se demander ce qu'en pensent les députés de l'UDF, élus à chaque fois et depuis longtemps dans leurs circonscriptions grâce à une alliance des électorats des deux partis de la droite républicaine. Sont-ils vraiment prêts à faire différemment cette fois?
Difficultés avec la gauche, difficultés avec la droite: François Bayrou, qui souhaite réunir électeurs et dirigeants des deux bords, se coupe, involontairement par ses propositions, volontairement par ses propos, s'isole, tout autant qu'il réunit.
Son projet, son espoir, est de voir les urnes cimenter de force des états-majors rétifs autour de lui. Par hypothèse, il faut imaginer un ciment particulièrement solide, à la hauteur des contradictions que révèle la démarche.

Blog Aphatie

Moi je dis : hésitant de gauche prévoyez la vaseline au cas où !

je croyai que c'était une baudruche???

Il vous fait encore si peur que ça Bayrou, pour que vous en parliez à longueur de journée

gaffe à pas te chopper une intoxication O Pierfan

absolut bastia a écrit:

je croyai que c'était une baudruche???

Il vous fait encore si peur que ça Bayrou, pour que vous en parliez à longueur de journée

gaffe à pas te chopper une intoxication O Pierfan

Cool attitude Absolut

Oui Bayrou fait peur parce qu'il pique des voix à la gauche et que cela crèe un risque de second tour Sarko, Le pen

relax, take it easy

je suis totalement zen et serein moi pas comme d'autres...micca nomi

absolut bastia a écrit:

je croyai que c'était une baudruche???

Il vous fait encore si peur que ça Bayrou, pour que vous en parliez à longueur de journée

gaffe à pas te chopper une intoxication O Pierfan

Toute la suffisance et la victimisation des Bayrouistes résumez dans cette remarque...

Non je n'en ai pas peur mais j'essaie d'informer sur ce qu'il prétend ne pas être... Un homme de droite !

absolut bastia a écrit:

relax, take it easy

je suis totalement zen et serein moi pas comme d'autres...micca nomi

T'inquiète, il n'y a pas plus zen

vince a écrit:

Oui Bayrou fait peur parce qu'il pique des voix à la gauche et que cela crèe un risque de second tour Sarko, Le pen

Et alors ou est le problème??

les gens sont majeurs et vaccinés, ils ont une offre pléthorique de 12 candidats couvrant à 99% toutes les tendances (désolé s'il y a un supporter de Dupont Geignant ou de Miguet qui me lit et pardon aux royalistes aussi ) de la société.

Ils veulent voter utile ils voteront Bayrou euh Royal, ils veulent voter pour leurs idées au 1er tour ils voteront Besançenot ou Voynet ou autre je m'en tape.

Le vote reflètera l'expression de la majorité.


Si Sego va au second tour et gagne tant mieux pour elle, elle aura rassemblée sur son nom une majorité, les urnes auront parlé.

Si elle est éliminée au 1er tour et ben tant pis pour elle c'est pareil.

La majorité a toujours raison comme l'a dit un éminent gauchiste il y a quelques années

Si le vote final ne me convient pas, je financerai en sous main, la LLN en espérant que la France prenne son indépendance.

Pierfran a écrit:

absolut bastia a écrit:

relax, take it easy

je suis totalement zen et serein moi pas comme d'autres...micca nomi

T'inquiète, il n'y a pas plus zen

éteins moi ce tarpé s'il te plait, je te balance aux flics sinon

absolut bastia a écrit:

Si le vote final ne me convient pas, je financerai en sous main, la LLN en espérant que la France prenne son indépendance.

absolut bastia a écrit:

Pierfran a écrit:

absolut bastia a écrit:

relax, take it easy

je suis totalement zen et serein moi pas comme d'autres...micca nomi

T'inquiète, il n'y a pas plus zen

éteins moi ce tarpé s'il te plait, je te balance aux flics sinon

C'est mon père qui me fournit !

Tient en parlant de tactique, c'est assez énorme ça
la dernière de noeunoeil

Le borgne craint vraiment rien niveau drague, aprés les maghrébins et les noirs voila les juifs.
c'est pas du communautarisme non non.....

Citation :

Le Pen appelle les Juifs à voter pour lui


Dans un quotidien israélien, le candidat du FN affirme qu' "ils sentent sans doute mieux que moi les dangers qui pèsent sur notre pays à cause de la situation de la sécurité".


A trois jours du premier tour, Jean-Marie Le Pen appelle les juifs français à voter pour lui, dans un entretien au quotidien israélien Maariv publié jeudi. "Les juifs qui sont français et liés à la France, et dont les intérêts sont ceux de la France doivent voter en bloc pour moi", a déclaré le candidat du Front national à la présidentielle dont le premier tour doit avoir lieu dimanche. "J'ai des amis juifs et j'ai des juifs dans mon parti", a-t-il affirmé tout en estimant qu'il n'y a "pas de vote juif" et que "les juifs sont divisés en France selon leur statut social".

Le dirigeant du Front national n'est toutefois pas revenu sur ses déclarations qui avaient suscité une vive polémique en 1987 lorsqu'il avait qualifié l'existence des chambres à gaz de "point de détail de l'histoire de la Seconde guerre mondiale". "Je n'ai pas nié la Shoah. Je n'ai fait que dire tout simplement que les chambres à gaz ne constituent qu'un détail dans l'histoire de la deuxième guerre mondiale. Ce n'est pas quelque chose qui aurait du provoquer la colère", a redit J.M Le Pen au Maariv. "Le fait est que des juifs ont voté pour moi en 2002. Ils sentent sans doute mieux que moi les dangers qui pèsent sur notre pays à cause de la situation de la sécurité", a-t-il ajouté.

"Sarkozy cible de la même diabolisation que moi"

Selon lui, le candidat de l'UMP et favori dans la course à l'Elysée, Nicolas Sarkozy "est la cible de la même diabolisation que moi parce qu'il a parlé de racaille de la même façon que j'ai parlé de détail", en allusion à des propos tenus par le chef de la droite lorsqu'il était ministre de l'Intérieur à la suite d'émeutes dans des grandes villes françaises. A la question "pourquoi les juifs aiment Sarkozy ?" et pour quelle raison il le "haïssent", J.M Le Pen a répondu "Sarkozy est juif par sa mère. Cela joue un peu en sa faveur le fait qu'il soit juif du côté grec (sic), mais il n'est pas juif du côté hongrois". "Sarkozy est toujours en faveur des organisations juives et d'Israël. Il est pro-américain, très pro-américain, mais tous les juifs ne sont pas pour lui. Il a également permis l'immigration de centaines de milliers de personnes venant d'Afrique et d'Afrique musulmane", a conclu J.M Le Pen.