La connerie de l'obscurantisme islamiste intégriste

ça fait trembler

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Soudan: manifestation pour réclamer l'exécution d'une enseignante britannique
AP


KHARTOUM - Plusieurs milliers de Soudanais manifestaient vendredi après-midi devant le palais présidentiel à Khartoum, réclamant l'exécution d'une enseignante britannique condamnée à 15 jours de prison pour avoir autorisé ses élèves à nommer un ours en peluche Mahomet.


De nombreux manifestants étaient armés de bâtons et de couteaux. Les protestataires se sont rassemblés à l'issue des prières du vendredi sur la Place des Martyrs, devant le palais présidentiel protégé par plusieurs centaines de policiers en tenue anti-émeute. "Honte, honte au Royaume uni", "Pas de tolérance, exécution", "Tuez-la, Tuez-la au poteau d'exécution!", scandaient les manifestants.

Selon un de ses avocats, l'enseignante âgée de 54 ans, Gillian Gibbons, a été reconnue coupable jeudi d'"insulte à la foi des musulmans au Soudan" et condamnée à 15 jours de prison. Elle sera ensuite expulsée. Initialement accusée d'incitation à la haine religieuse, elle encourait jusqu'à 40 coups de fouet, une amende et six mois de prison. AP

INSULTE A L'ISLAM

15 jours de prison pour une enseignante britannique au Soudan

NOUVELOBS.COM | 30.11.2007 | 11:43


Gillian Gibbons a été condamnée à 15 jours de prison et à l'expulsion pour "insulte aux croyances religieuses et sédition", après avoir permis à des élèves de 6 à 7 ans d'appeler leur ours en peluche Mahomet.



David Miliband, ministre britannique des Affaires étrangères, évoque un "malentendu en toute innocence" (Reuters).



La Grande-Bretagne s'est déclarée "extrêmement déçue", jeudi 29 novembre, par la condamnation à 15 jours de prison et à l'expulsion d'une enseignante britannique jugée au Soudan pour insulte à l'islam, selon une porte-parole du Foreign Office. "Nous sommes extrêmement déçus par ce verdict et nous allons convoquer l'ambassadeur soudanais pour s'expliquer sur la situation", a commenté la porte-parole. L'ambassadeur, qui avait déjà été reçu en milieu de journée par le ministre britannique des Affaires étrangères David Miliband, devrait être convoqué "en début de soirée ou vendredi matin", a-t-elle ajouté sans plus de précision.
L'enseignante britannique, Gillian Gibbons, 54 ans, originaire de Liverpool, avait été inculpée mercredi 28, en vertu de l'article 125 du code pénal, d'insulte aux croyances religieuses et sédition, parce qu'elle avait permis à des élèves de 6 à 7 ans de donner le nom de Mahomet à un ours en peluche, alors que toute représentation du prophète de l'islam est illicite. Elle était passible d'une peine de coups de fouet.
"Malentendu en toute innoncence"


Lors de sa rencontre de jeudi avec l'ambassadeur soudanais à Londres, Omer Siddig, David Miliband avait affirmé que l'institutrice avait agi "en toute innocence" et il avait souhaité que le "bon sens" finisse par prévaloir. "Il ne s'agit pas d'un manque de respect envers le Soudan, il faut dire très clairement qu'il s'agit d'un malentendu en toute innocence", a-t-il déclaré.
Le ministre britannique des Affaires étrangères avait estimé qu'en dépit des tensions entre Khartoum et plusieurs pays occidentaux sur la question du Darfour, il ne devait y avoir aucun "différend politique" autour de ce cas. "Il s'agit d'une personne apportant sa contribution à la société soudanaise", avait-il souligné.
Une condamnation pourtant "improbable"


Un porte-parole de Downing Street avait indiqué que le gouvernement de Gordon Brown "étudierait quelles mesures pourraient être nécessaires à la lumière de la rencontre avec l'ambassadeur" soudanais au Foreign Office."Nous devons comprendre ce qui justifie l'inculpation de Mme Gibbons", avait-il expliqué.
De son côté, le porte-parole de l'ambassade du Soudan à Londres avait jugé jeudi "improbable" une condamnation de l'enseignante britannique, lors d'une interview à la BBC. "Mme Gibbons bénéficie d'un soutien consulaire, l'ambassade de Grande-Bretagne a l'un des meilleurs avocats du pays, que je connais personnellement", avait déclaré Khalid al Mubarak.
"Le président pourrait intervenir"


"Il n'y a aucune inquiétude à avoir de ce côté, elle sera bien défendue et bien traitée", avait-il ajouté. "Au cas improbable où elle serait condamnée, il y a un processus d'appel, comme ici" en Grande-Bretagne. Le porte-parole avait confirmé que le président soudanais Omar el-Béchir était susceptible d'intervenir dans cette affaire au cas où l'institutrice serait condamnée.
"Lors d'une étape ultérieure [du processus judiciaire] le président pourrait intervenir mais je ne pense pas que nous atteindrons cette étape ultérieure", avait-t-il insisté.

Ces cons là ils seraient capables de mettre les 40 coups de fouet au nounours.

Speranza a écrit:

Ces cons là ils seraient capables de mettre les 40 coups de fouet au nounours.

Liberta per Teddy Mohamed Bear

Et la non plus niveau bande de gros cons y a rien

Citation :

Campagne contre les pantalons féminins serrés en Iran
Reuters


TEHERAN (Reuters) - La police iranienne va s'en prendre aux femmes qui, à Téhéran, violent le code vestimentaire islamique en portant des habits jugés trop révélateurs, tels que les pantalons serrés portés dans des bottes, a déclaré samedi un policier, cité par l'agence IRNA.


"Avec le début de l'hiver et l'apparition de vêtements spécifiques à cette période, la police va commencer, au début de la semaine prochaine, une campagne visant les femmes qui portent des vêtements inappropriés", a déclaré le chef de la police de Téhéran, Ahmad Reza Radan, cité par l'agence de presse officielle.

"Les pantalons serrés portés avec de grandes bottes et des manteaux courts sont contraires aux règles islamiques", a-t-il ajouté. "Porter un chapeau ou une casquette sous un voile est également contraire aux règles vestimentaires islamiques."

Aucun responsable de la police n'a pu être joint dans l'immédiat. La semaine débute le samedi en Iran.

La police iranienne mène régulièrement, l'été, des campagnes contre les vêtements "légers" et le port inadéquat du voile. Elles durent en général quelques semaines seulement mais cette année la police a continué à sévir jusqu'en automne.

La surveillance du respect des règles vestimentaires islamiques pour les femmes est devenue plus stricte depuis que le président Mahmoud Ahmadinejad est arrivé au pouvoir en 2005.

Les femmes dont l'habillement est jugé inapproprié peuvent faire l'objet d'avertissements ou, dans le cas de personnes déjà réprimandées par le passé, être conduites dans un commissariat et sommées de payer une amende. La police s'en est également prise cette année à des coiffures masculines jugées "occidentales", telles que les cheveux courts ébouriffés au gel.

En octobre, un journal écrivait que 122.000 personnes, des femmes pour la plupart, avaient reçu des avertissements concernant leur habillement et que près de 7.000 d'entre elles avaient dû assister à des cours sur le respect de ces règles.

L'Iran a balayé les critiques formulées à ce sujet par des organisations de défense des droits de l'homme en expliquant qu'il voulait "combattre les gens moralement corrompus".

Ils feraient mieux de les interdire aux hommes les slim !
Ca oui ça viole le code de l'éthique et tout ce que tu veux.
Libertà pè u treillis.

Il n'y a pas si longtemps que ça vivait un homme qui s'appelait Ehsan Jami :

Citation :

Ehsan Jami works on film on Islam


30 November 2007
AMSTERDAM - Ehsan Jami, founder of the Committee for Former
Muslims, has followed Ayaan Hirsi Ali's example and made a short film
about radical Islam, the Telegraaf reports.
The film entitled The life of Mohammed should be ready in
February or March of next year and will cause more of a commotion than
the Danish cartoons of Mohammed, the former Labour PvdA member says.
"I show how violent and tyrannical Mohammed was. This man murdered
three Jewish tribes, killed people who left the faith, and married a
6-year-old girl, with whom he had sex when she was 9," Jami says in
comment on the contents of the 10-minute film.
The politician, who is still under heavy protection, says the film
only shows the facts and does not aim to polarise the situation. "I
will give EUR 50,000 to anyone who can refute these facts."

Jami says that the film "is a small step for a man, but a big step for humanity and freedom."
The television station that plans to broadcast the film will not be
announced until the last moment. News programme Netwerk has had contact
with Jami for some time and has shown interest. The programme will wait
until the film is finished before deciding if and how to broadcast it
however.
Jami says he has also had contact with CNN, which may decide to air highlights from the film.
Jami says it is a coincidence that Freedom Party PVV leader Geert Wilders is also working on a film on Islam at the moment.
[Copyright Expatica News 2007]