4 ans pour meurtre

Citation :

Bertrand Cantat est un homme libre, mais sous conditions. Lundi matin, le juge d'application des peines a accepté la demande de libération conditionnelle du chanteur du groupe de rock Noir Désir, emprisonné depuis juillet 2003 après avoir provoqué la mort de sa compagne, l'actrice Marie Trintignant. "Je me réjouis de cette décision, qui permettra à Bertrand Cantat de reconstruire son avenir et de décider ce qu'il fera sur le plan artistique", a déclaré son avocat. "Il n'est pas sûr de reprendre la chanson", a-t-il précisé. Il devrait sortir de prison mardi.

Le chanteur avait été condamné en mars 2004 à huit ans de prison en Lituanie. D'abord emprisonné à Vilnius, il a été transféré en septembre 2004 à la prison de Muret, près de Toulouse. Il sera soumis à des mesures de contrôle et d'assistance psychologique pendant un an après sa libération et il devra s'abstenir d'évoquer l'affaire notamment sur scène ou dans toute oeuvre audiovisuelle.

"Détenu modèle"

Le parquet, les psychologues et l'administration pénitentiaire ne s'étaient pas opposés à sa libération. Seule Nadine Trintignant, mère de la victime, a tenté en vain de s'opposer à la sortie de celui qui a provoqué la mort de sa fille, en écrivant notamment au président Nicolas Sarkozy. Elle estimait qu'une libération qu'elle juge prématurée donnerait "un signal négatif" en matière de violences faites aux femmes. Après l'annonce de la prochain remise en liberté conditionnelle, Nadine Trintignant a déclaré ne pas vouloir réagir. "Je ne réagirai auprès de personne", a indiqué la mère de Marie Trintignant.

Ecroué sous le matricule 8274 dans l'aile "H" de la prison de Muret réservée aux détenus sans problèmes, considéré depuis comme "détenu modèle" par l'administration pénitentiaire, Bertrand Cantat aurait selon la presse déjà signé des engagements pour de nouveaux enregistrements du groupe-phare de la scène rock française des années 80 et 90, ce que dément l'entourage du chanteur.

Bravo, 4 ans de prison pour meurtre.....faudrait qu on m explique.

oui il n'est pas corse

c'est du grand n'importe quoi mais ce n'est que la traduction de la loi Française, un code pénal qui a grand besoin d'ètre totalement revu et remodeler.

Une aberration complète mais c'est l'application stricte de la loi avec la réduction de peine pour bonne conduite

4 ans

V a écrit:

oui il n'est pas corse

quel rapport?
Bon, il a pris 4 ans pour coups et blessures volontaires ayant entraîné la mort. Vous vouliez quoi? Qu'on lui coupe la tête? Le principe c'est celui de la personnalisation des peines et notamment celui du risque de récidive. Absent en l'espèce.
Il a fait quatre ans, a payé (y compris les sommes dues au titre du préjudice civil) sa maison a brûlé etc..
Vous êtes marrants des fois. La justice est toujours trop dure ou trop molle en fonction du moment ou des gens.

c'est cynique, être corse, c'est la dernière jurisprudence à la mode pour alourdir toute peine

Antone a écrit:

V a écrit:

oui il n'est pas corse

quel rapport?
Bon, il a pris 4 ans pour coups et blessures volontaires ayant entraîné la mort. Vous vouliez quoi? Qu'on lui coupe la tête? Le principe c'est celui de la personnalisation des peines et notamment celui du risque de récidive. Absent en l'espèce.
Il a fait quatre ans, a payé (y compris les sommes dues au titre du préjudice civil) sa maison a brûlé etc..
Vous êtes marrants des fois. La justice est toujours trop dure ou trop molle en fonction du moment ou des gens.

Il avait pas pris 8 ans à la base?

Antone a écrit:

Bon, il a pris 4 ans pour coups et blessures volontaires ayant entraîné la mort. Vous vouliez quoi? Qu'on lui coupe la tête? Le principe c'est celui de la personnalisation des peines et notamment celui du risque de récidive. Absent en l'espèce.
Il a fait quatre ans, a payé (y compris les sommes dues au titre du préjudice civil) sa maison a brûlé etc..
Vous êtes marrants des fois. La justice est toujours trop dure ou trop molle en fonction du moment ou des gens.

marrant? tu m excuseras mais sur ce coup là je ne vois pas ce qu il y a de marrant
y a mort d une personne Anto! d ou j ai dit qu il fallait lui couper la tete....si 4 ans de prison pour meurtre, car c est un meurtre c est payer!!!
ce n est pas d une gifle ou d une poussette dont on parle mais de plusieurs coups au visage et n a pas appelé les secours....
la justice n est ni trop molle ou trop dure en fonction du moment ou des gens mais elle est plutot inadaptée et inegale.

il a tué quelqu un merde!

Sur le site du Figaro, il y a la décision de justice:

http://www.lefigaro.fr/assets/pdf/cantat2.pdf

quand je le dis que ça pétinise ferme, l'ordre moral etc ....

Bientôt il va falloir rétablir la question et la torture en tant que peine,
les coups de fouets ...

vince a écrit:

quand je le dis que ça pétinise ferme, l'ordre moral etc ....

Bientôt il va falloir rétablir la question et la torture en tant que peine,
les coups de fouets ...

Le rapport stp?

vince a écrit:

quand je le dis que ça pétinise ferme, l'ordre moral etc ....

Bientôt il va falloir rétablir la question et la torture en tant que peine,
les coups de fouets ...

ça s adresse a qui le petinisme?

Mosquito a écrit:

Antone a écrit:

Bon, il a pris 4 ans pour coups et blessures volontaires ayant entraîné la mort. Vous vouliez quoi? Qu'on lui coupe la tête? Le principe c'est celui de la personnalisation des peines et notamment celui du risque de récidive. Absent en l'espèce.
Il a fait quatre ans, a payé (y compris les sommes dues au titre du préjudice civil) sa maison a brûlé etc..
Vous êtes marrants des fois. La justice est toujours trop dure ou trop molle en fonction du moment ou des gens.

marrant? tu m excuseras mais sur ce coup là je ne vois pas ce qu il y a de marrant
y a mort d une personne Anto! d ou j ai dit qu il fallait lui couper la tete....si 4 ans de prison pour meurtre, car c est un meurtre c est payer!!!
ce n est pas d une gifle ou d une poussette dont on parle mais de plusieurs coups au visage et n a pas appelé les secours....
la justice n est ni trop molle ou trop dure en fonction du moment ou des gens mais elle est plutot inadaptée et inegale.

il a tué quelqu un merde!

les mots ayant encore un sens, et heureusement, ce n'est pas un meurtre qui suppose l'intention délibérée de tuer.

Tiens, lis cet article de Libé Lyon

Citation :

La misère et la folie en procès
Une femme attardée mentale comparait devant la Cour d’assises du Rhône pour le meurtre de sa mère.

JUSTICE – Un soir de décembre 2005, Joelle Pitiot, 52 ans, considérée comme attardée mentale, a mis le feu au domicile de ses parents à Villeurbanne. Sa mère, grabataire de 78 ans, est morte dans l’incendie. Joelle Pitiot accuse d’abord son père, puis avoue avoir voulu se débarrasser de sa mère dont elle ne savait plus comment s’occuper. Elle comparait à partir de lundi devant la Cour d’Assises du Rhône pour meurtre. Elle encourt 30 ans de réclusion criminelle…



Réagir...
Une à une, elle craque les allumettes. En décembre 2005, au moment des faits, les volets de la famille Pitiot n’ont pas été ouverts depuis six mois. Depuis que la police est intervenu parce que Clément, le père âgé de 89 ans, avait entrepris de tirer par la fenêtre au pistolet pour éloigner les pigeons. Jeanine, la mère, est sortie d’une nouvelle période d’hospitalisation depuis quelques semaines. Totalement grabataire, elle est installée sur un lit médicalisé au milieu du salon. Des infirmières sont censées venir lui procurer ses soins à domicile. Mais le père, ne supportant aucune visite, les met régulièrement dehors sous une pluie d’insultes et de reproches incohérents. Alors, Joelle prend le relais. Avec une lassitude qui, peu à peu, vire à la psychose. La nuit du 26 au 27 décembre, Jeanine réclame une bassine pour uriner. Joelle se lève, prend une boîte d’allumettes et commence à les craquer une par une en les lançant sur un rideau. Elle regarde le feu prendre doucement. Puis appelle les secours. Le père s’en sort. La mère, prisonnière de son lit, meurt asphyxiée et brûlée. Au début, Joëlle accuse son père, se disant qu’il était trop vieux pour être arrêté. Examiné par un psychiatre, le vieil homme, présentant des signes de démences, est interné d’office. Joelle avoue. Ses explications sont confuses. Elle disent la fatigue, la peur de devoir assumer sa mère lorsque son père serait mort…

Pas d’irresponsabilité pénale. Joelle Pitiot ne sortait quasiment plus de chez ses parents depuis 1977, date à laquelle elle avait été licenciée de son emploi d’ouvrière chez Paris-Rhin-Rhône. Handicapée à 80% pour des problèmes de dos et présentant un important retard mental, elle n’avait pas d’amis, et une vie sociale se résumant à un huis clos familial fait de misère, de maladie et de folie. Joelle Pitiot est la troisième d’une fratrie de quatre enfants. Le premier, né malformé (la mère avait attrapé la siphilis pendant sa grossesse) est mort dans des circonstances inconnues. La seconde, handicapée mentale vit en structure psychiatrique depuis 1970. Le dernier s’est suicidé en 1989. Joelle, n’a jamais été réellement suivi sur le plan psychiatrique. Les experts psychiatres qui l’ont examiné ont établi qu’elle était atteinte de troubles psychiatriques ayant altéré son discernement au moment des faits. Sans toutefois l’abolir. La nuance est en droit fondamentale. Joëlle Pitiot ne peut bénéficier de l’irresponsabilité pénale. Elle sera donc jugée.Verdict mardi soir.

Là aussi, il y a mort d'homme. Tu lui donnes combien? Peu sans doute parce que tu prends en compte tout le contexte y compris sa débilité. C'est ça la justice quand elle fonctionne normalement. Elle juge ce qui signifie qu'elle ne venge pas mais qu'elle punit. Dans le cas de Cantat, c'est huit ans (peine prononcée ailleurs qu'en France d'ailleurs ce qui exclut l'idée que sa notoriété ait pu lui rendre service)


PS pour Swedish: il n'a pas purgé toute sa peine, mais la moitié donc il pouvait demander la conditionnelle.

Mosquito a écrit:

vince a écrit:

quand je le dis que ça pétinise ferme, l'ordre moral etc ....

Bientôt il va falloir rétablir la question et la torture en tant que peine,
les coups de fouets ...

ça s adresse a qui le petinisme?

aux français de base

Antone a écrit:

Mosquito a écrit:

Antone a écrit:

Bon, il a pris 4 ans pour coups et blessures volontaires ayant entraîné la mort. Vous vouliez quoi? Qu'on lui coupe la tête? Le principe c'est celui de la personnalisation des peines et notamment celui du risque de récidive. Absent en l'espèce.
Il a fait quatre ans, a payé (y compris les sommes dues au titre du préjudice civil) sa maison a brûlé etc..
Vous êtes marrants des fois. La justice est toujours trop dure ou trop molle en fonction du moment ou des gens.

marrant? tu m excuseras mais sur ce coup là je ne vois pas ce qu il y a de marrant
y a mort d une personne Anto! d ou j ai dit qu il fallait lui couper la tete....si 4 ans de prison pour meurtre, car c est un meurtre c est payer!!!
ce n est pas d une gifle ou d une poussette dont on parle mais de plusieurs coups au visage et n a pas appelé les secours....
la justice n est ni trop molle ou trop dure en fonction du moment ou des gens mais elle est plutot inadaptée et inegale.

il a tué quelqu un merde!

les mots ayant encore un sens, et heureusement, ce n'est pas un meurtre qui suppose l'intention délibérée de tuer.

j ai pesé mes mots, il l a frappé violement plusieurs fois au visage et l a laissé sur son lit pres de 10h00 avant d appeler les secours....mais je ne suis ni juge ni procureur. Mets toi a la place des parents 1 minute.

Citation :

Tiens, lis cet article de Libé Lyon

Citation :

La misère et la folie en procès
Une femme attardée mentale comparait devant la Cour d’assises du Rhône pour le meurtre de sa mère.

JUSTICE – Un soir de décembre 2005, Joelle Pitiot, 52 ans, considérée comme attardée mentale, a mis le feu au domicile de ses parents à Villeurbanne. Sa mère, grabataire de 78 ans, est morte dans l’incendie. Joelle Pitiot accuse d’abord son père, puis avoue avoir voulu se débarrasser de sa mère dont elle ne savait plus comment s’occuper. Elle comparait à partir de lundi devant la Cour d’Assises du Rhône pour meurtre. Elle encourt 30 ans de réclusion criminelle…



Réagir...
Une à une, elle craque les allumettes. En décembre 2005, au moment des faits, les volets de la famille Pitiot n’ont pas été ouverts depuis six mois. Depuis que la police est intervenu parce que Clément, le père âgé de 89 ans, avait entrepris de tirer par la fenêtre au pistolet pour éloigner les pigeons. Jeanine, la mère, est sortie d’une nouvelle période d’hospitalisation depuis quelques semaines. Totalement grabataire, elle est installée sur un lit médicalisé au milieu du salon. Des infirmières sont censées venir lui procurer ses soins à domicile. Mais le père, ne supportant aucune visite, les met régulièrement dehors sous une pluie d’insultes et de reproches incohérents. Alors, Joelle prend le relais. Avec une lassitude qui, peu à peu, vire à la psychose. La nuit du 26 au 27 décembre, Jeanine réclame une bassine pour uriner. Joelle se lève, prend une boîte d’allumettes et commence à les craquer une par une en les lançant sur un rideau. Elle regarde le feu prendre doucement. Puis appelle les secours. Le père s’en sort. La mère, prisonnière de son lit, meurt asphyxiée et brûlée. Au début, Joëlle accuse son père, se disant qu’il était trop vieux pour être arrêté. Examiné par un psychiatre, le vieil homme, présentant des signes de démences, est interné d’office. Joelle avoue. Ses explications sont confuses. Elle disent la fatigue, la peur de devoir assumer sa mère lorsque son père serait mort…

Pas d’irresponsabilité pénale. Joelle Pitiot ne sortait quasiment plus de chez ses parents depuis 1977, date à laquelle elle avait été licenciée de son emploi d’ouvrière chez Paris-Rhin-Rhône. Handicapée à 80% pour des problèmes de dos et présentant un important retard mental, elle n’avait pas d’amis, et une vie sociale se résumant à un huis clos familial fait de misère, de maladie et de folie. Joelle Pitiot est la troisième d’une fratrie de quatre enfants. Le premier, né malformé (la mère avait attrapé la siphilis pendant sa grossesse) est mort dans des circonstances inconnues. La seconde, handicapée mentale vit en structure psychiatrique depuis 1970. Le dernier s’est suicidé en 1989. Joelle, n’a jamais été réellement suivi sur le plan psychiatrique. Les experts psychiatres qui l’ont examiné ont établi qu’elle était atteinte de troubles psychiatriques ayant altéré son discernement au moment des faits. Sans toutefois l’abolir. La nuance est en droit fondamentale. Joëlle Pitiot ne peut bénéficier de l’irresponsabilité pénale. Elle sera donc jugée.Verdict mardi soir.

Là aussi, il y a mort d'homme. Tu lui donnes combien? Peu sans doute parce que tu prends en compte tout le contexte y compris sa débilité. C'est ça la justice quand elle fonctionne normalement. Elle juge ce qui signifie qu'elle ne venge pas mais qu'elle punit. Dans le cas de Cantat, c'est huit ans (peine prononcée ailleurs qu'en France d'ailleurs ce qui exclut l'idée que sa notoriété ait pu lui rendre service)


PS pour Swedish: il n'a pas purgé toute sa peine, mais la moitié donc il pouvait demander la conditionnelle.

bien sur qu il faut prendre en compte le contexte et ne pas punir pour punir...concernant Canta je reste persuadé qu il etait conscient de ce qu il faisait (il avait bu mais pas au point d etre dans le comanon plus).
si on tue un de mes enfants dans ces circonstances j aurai bien du mal a accepter que 4 ans apres son meurtrier se ballade dans la rue....

vince a écrit:

Mosquito a écrit:

vince a écrit:

quand je le dis que ça pétinise ferme, l'ordre moral etc ....

Bientôt il va falloir rétablir la question et la torture en tant que peine,
les coups de fouets ...

ça s adresse a qui le petinisme?

aux français de base

il dit qu'il voit tjs pas le rapport...

La justice n'a pas pour fonction de venger les familles des victimes

Mosquito, si on tue l'enfant de n'importe qui, l'idée de vengeance est normale. C'est bien pour ça que dans une société civilisée, la justice n'est pas confiée aux victimes.
Je comprends parfaitement la douleur des parents de la victime de Cantat (dont je n'approuve pas le geste bien entendu).

mais qui parle de vengeance? moi je parle de justice tout simplement....

(@ Vince.... au risque de paraitre lourd, est ce que c est a moi que s adressait ton message employant les termes "petiniser" et "français moyens"?)

Antone a écrit:

Mosquito, si on tue l'enfant de n'importe qui, l'idée de vengeance est normale. C'est bien pour ça que dans une société civilisée, la justice n'est pas confiée aux victimes.
Je comprends parfaitement la douleur des parents de la victime de Cantat (dont je n'approuve pas le geste bien entendu).

tu fais bien de le préciser, parce que certain pourrait le croire

aspettu sempre a to risposta sgio Vince....

Mosquito a écrit:

mais qui parle de vengeance? moi je parle de justice tout simplement....

(@ Vince.... au risque de paraitre lourd, est ce que c est a moi que s adressait ton message employant les termes "petiniser" et "français moyens"?)

non ,

Si je le pensais je citerais ton nom avec le qualificatif

vince a écrit:

Mosquito a écrit:

mais qui parle de vengeance? moi je parle de justice tout simplement....

(@ Vince.... au risque de paraitre lourd, est ce que c est a moi que s adressait ton message employant les termes "petiniser" et "français moyens"?)

non ,

Si je le pensais je citerais ton nom avec le qualificatif

j avais cru....autant pour moi.

Mosquito a écrit:

vince a écrit:

Mosquito a écrit:

mais qui parle de vengeance? moi je parle de justice tout simplement....

(@ Vince.... au risque de paraitre lourd, est ce que c est a moi que s adressait ton message employant les termes "petiniser" et "français moyens"?)

non ,

Si je le pensais je citerais ton nom avec le qualificatif

j avais cru....autant pour moi.

En fait ce que je voulais dire c'est qu' insidieusement, nous nous mettons (nous les français) a développer des réflexes qui peuvent faire penser à une certaine époque tragique de triste mémoire.

Je m'inclus aussi, parce qu'il m'arrive de raisonner de façon pétainiste par chance il y a encore des vieux autour de moi pour me rappeler à l'ordre.

Citation :

nous les français

vince a écrit:

Mosquito a écrit:

vince a écrit:

Mosquito a écrit:

mais qui parle de vengeance? moi je parle de justice tout simplement....

(@ Vince.... au risque de paraitre lourd, est ce que c est a moi que s adressait ton message employant les termes "petiniser" et "français moyens"?)

non ,

Si je le pensais je citerais ton nom avec le qualificatif

j avais cru....autant pour moi.

En fait ce que je voulais dire c'est qu' insidieusement, nous nous mettons (nous les français) a développer des réflexes qui peuvent faire penser à une certaine époque tragique de triste mémoire.

Je m'inclus aussi, parce qu'il m'arrive de raisonner de façon pétainiste par chance il y a encore des vieux autour de moi pour me rappeler à l'ordre.

Il est toujours temps pour que tu révises tes classiques

http://fr.youtube.com/watch?v=pugkQOvCxcs