Beau le PS...

[quote="vince"]

Je vais pas analyser le machin ce serait trop long, mais tu a vraiment tort.

En 1981 sans les nationalisations les nationalisé auraient pour la plupart fermés. Chose que l'on oublis souvent de rappeler dans le bilan socialiste.

A l'époque les entreprises françaises étaient à la rue faute d'investissement, c'est l'état qui a du une fois de plus relancer la machinee la même manière qu'un très grand nombre d'entreprises telles que BMW, Thyssen, Daimler-Benz, Krupp, IG Farben, Siemens exploitait de la main d'œuvre puisée parmi les déportés. Les détenus étaient utilisés jusqu'à épuisement total »[quote]e la même manière qu'un très grand nombre d'entreprises telles que BMW, Thyssen, Daimler-Benz, Krupp, IG Farben, Siemens exploitait de la main d'œuvre puisée parmi les déportés. Les détenus étaient utilisés jusqu'à épuisement total »[quote]

Je vais pas analyser le machin ce serait trop long, mais tu a vraiment tort.

En 1981 sans les nationalisations les nationalisé auraient pour la plupart fermés. Chose que l'on oublis souvent de rappeler dans le bilan socialiste.

A l'époque les entreprises françaises étaient à la rue faute d'investissement, c'est l'état qui a du une fois de plus relancer la machine la même manière qu'un très grand nombre d'entreprises telles que BMW, Thyssen, Daimler-Benz, Krupp, IG Farben, Siemens exploitait de la main d'œuvre puisée parmi les déportés. Les détenus étaient utilisés jusqu'à épuisement total »

Citation :

Je vais pas analyser le machin ce serait trop long, mais tu a vraiment tort.

En 1981 sans les nationalisations les nationalisé auraient pour la plupart fermés. Chose que l'on oublis souvent de rappeler dans le bilan socialiste.

A l'époque les entreprises françaises étaient à la rue faute d'investissement, c'est l'état qui a du une fois de plus relancer la machine

ça va ça va on a compris

c'est quoi les champignons que tu as mangé ce soir???

vince a écrit:

Je répondrais simplement qu'il n'y a pas qu'en France que l'on voit ça.

Je citerais l'exemple de Boeing, d'IBM , BP, british airways etc ... qui sont des entreprises qui se sont développé grâce à l'état.
Pour certains poids lourds industriels allemand c'est encore plus criant
quote]De la même manière qu'un très grand nombre d'entreprises telles que BMW, Thyssen, Daimler-Benz, Krupp, IG Farben, Siemens exploitait de la main d'œuvre puisée parmi les déportés. Les détenus étaient utilisés jusqu'à épuisement total »quote]de la même manière qu'un très grand nombre d'entreprises telles que BMW, Thyssen, Daimler-Benz, Krupp, IG Farben, Siemens exploitait de la main d'œuvre puisée parmi les déportés. Les détenus étaient utilisés jusqu'à épuisement total »quote]

Je vais pas analyser le machin ce serait trop long, mais tu a vraiment tort.

En 1981 sans les nationalisations les nationalisé auraient pour la plupart fermés. Chose que l'on oublis souvent de rappeler dans le bilan socialiste.

A l'époque les entreprises françaises étaient à la rue faute d'investissement, c'est l'état qui a du une fois de plus relancer la machinee la même manière qu'un très grand nombre d'entreprises telles que BMW, Thyssen, Daimler-Benz, Krupp, IG Farben, Siemens exploitait de la main d'œuvre puisée parmi les déportés. Les détenus étaient utilisés jusqu'à épuisement total »quote]de la même manière qu'un très grand nombre d'entreprises telles que BMW, Thyssen, Daimler-Benz, Krupp, IG Farben, Siemens exploitait de la main d'œuvre puisée parmi les déportés. Les détenus étaient utilisés jusqu'à épuisement total »quote]

Je vais pas analyser le machin ce serait trop long, mais tu a vraiment tort.

En 1981 sans les nationalisations les nationalisé auraient pour la plupart fermés. Chose que l'on oublis souvent de rappeler dans le bilan socialiste.

A l'époque les entreprises françaises étaient à la rue faute d'investissement, c'est l'état qui a du une fois de plus relancer la machine la même manière qu'un très grand nombre d'entreprises telles que BMW, Thyssen, Daimler-Benz, Krupp, IG Farben, Siemens exploitait de la main d'œuvre puisée parmi les déportés. Les détenus étaient utilisés jusqu'à épuisement total »quote]

Je vais pas analyser le machin ce serait trop long, mais tu a vraiment tort.

En 1981 sans les nationalisations les nationalisé auraient pour la plupart fermés. Chose que l'on oublis souvent de rappeler dans le bilan socialiste.

A l'époque les entreprises françaises étaient à la rue faute d'investissement, c'est l'état qui a du une fois de plus relancer la machine

hey coco, change ton disque il est rayé...
ben tu viens de le dire toi même... on a plus les moyens de mettre la main à la poche chéri... si tu as pas compris ça, c'est pas la peine de continuer...

vince a écrit:

Pour certains poids lourds industriels allemand c'est encore plus criant

Citation :

"De la même manière qu'un très grand nombre d'entreprises telles que BMW, Thyssen, Daimler-Benz, Krupp, IG Farben, Siemens exploitait de la main d'œuvre puisée parmi les déportés. Les détenus étaient utilisés jusqu'à épuisement total "

Je vais pas analyser le machin ce serait trop long, mais je pense que tu as tort

tiens, maintenant que j'ai l'esprit clair, je me demande si ton exemple est bien choisi...
c'est ce que tu prones : les goulags et l'exploitation des détenus ???

Mnt a écrit:

vince a écrit:

Pour certains poids lourds industriels allemand c'est encore plus criant

Citation :

"De la même manière qu'un très grand nombre d'entreprises telles que BMW, Thyssen, Daimler-Benz, Krupp, IG Farben, Siemens exploitait de la main d'œuvre puisée parmi les déportés. Les détenus étaient utilisés jusqu'à épuisement total "

Je vais pas analyser le machin ce serait trop long, mais je pense que tu as tort

tiens, maintenant que j'ai l'esprit clair, je me demande si ton exemple est bien choisi...
c'est ce que tu prones : les goulags et l'exploitation des détenus ???

Ne rigole dans beaucoup d'entreprise en France, des salariés sont utilisés jusqu'à ce qu'ils soient complètement lessivés

vince a écrit:

Mnt a écrit:

vince a écrit:

Pour certains poids lourds industriels allemand c'est encore plus criant

Citation :

"De la même manière qu'un très grand nombre d'entreprises telles que BMW, Thyssen, Daimler-Benz, Krupp, IG Farben, Siemens exploitait de la main d'œuvre puisée parmi les déportés. Les détenus étaient utilisés jusqu'à épuisement total "

Je vais pas analyser le machin ce serait trop long, mais je pense que tu as tort

tiens, maintenant que j'ai l'esprit clair, je me demande si ton exemple est bien choisi...
c'est ce que tu prones : les goulags et l'exploitation des détenus ???

Ne rigole dans beaucoup d'entreprise en France, des salariés sont utilisés jusqu'à ce qu'ils soient complètement lessivés

babin, tu tiens des discours aussi approximatifs que pernicieux pour te convaincre toi-même que ce que tu dis c'est valable dans la majorité des cas...

d'autant plus que la référence au nazisme discrédite ton discours plus qu'autre chose...

Je reste dans la théorie, l'exploitation de l'homme par l'homme etc ... tu vois ?

La bataille est engagée, Valls est monté au front hier soir, les hostilités vont pouvoir commencer

Citation :

DSK - Royal : la bataille stratégique a commencé

« François Hollande est à la tête du Parti socialiste depuis dix ans, nous avons perdu deux élections présidentielles, donc de toutes façons à un moment ou l'autre, il l'avait annoncé, il devra céder la place ».
Cette déclaration hier soir de Manuel Valls député-maire socialiste d'Evry, donne le ton.

La bataille s'est engagée pour conduire la rénovation du PS après la défaite du 6 mai à l'élection présidentielle, avec Ségolène Royal et Dominique Strauss-Kahn pour le moment seuls en première ligne.

La candidate malheureuse qui ne se représentera pas à la députation (lire ci-dessous) a néanmoins pris soin de réaffirmer qu'elle était « disponible » pour mener les combats à venir.

Dominique Strauss-Kahn, battu par Mme Royal dans la compétition interne pour l'Elysée, s'est placé jeudi soir en champion de la rénovation de la gauche, disputant ce statut à la présidente du Poitou-Charentes.

Ces prises de position interviennent à la veille d'un Conseil national du PS qui doit tirer les premières leçons de la sévère défaite de la gauche à la présidentielle et préparer la campagne des législatives. Affirmant au soir de sa défaite que « quelque chose s'est passé qui ne s'arrêtera pas » avec la fin de la campagne présidentielle, Mme Royal s'était fait fort d'« approfondir la rénovation de la gauche ». Elle reste dans cet état d'esprit et « entend être au premier rang de la rénovation », a assuré hier l'un de ses proches.

La candidate a justifié sa non-candidature aux législatives par le souci de « s'appliquer à elle-même le non-cumul des mandats » dont elle avait défendu le principe lors de la campagne.

Nombre de socialistes estiment que n'être pas députée signifie plus ou moins être à l'écart de la vie politique, quand bien même Mme Royal resterait présidente d'une région. Ils estiment que Mme Royal s'est piégée en renonçant il y a un an à concourir aux législatives.

A l'inverse, d'autres affirment qu'elle n'a pas besoin de cela pour continuer d'exister et que ce n'est pas en jouant de son statut de députée qu'elle a conquis l'investiture des militants pour la présidentielle. D'ailleurs, Mme Royal n'est pas membre des instances dirigeantes du PS.

Pour sa part, Dominique Strauss-Kahn continue de disputer à l'ex-candidate le terrain de « la rénovation ». Jeudi soir, il s'est attaché à « redresser le message » qu'il avait envoyé dimanche en commentant sans détour l'échec des socialistes et qui avait été compris comme une critique de la candidate.

Lui rendant hommage pour avoir « fait bouger les lignes », il a concentré ses attaques sur le premier secrétaire François Hollande. Pour le député du Val-d'Oise, les sources de la défaite sont à rechercher dans « l'unanimisme comme stratégie et l'habileté comme méthode » au sein de la direction du PS.

DSK affirme que « tout doit être remis à plat, tout doit être reconsidéré », et sans « tabou », pour reconstruire la gauche, qui se trouve selon lui dans la situation de 1969, avant la refondation du PS et après l'élimination du socialiste Gaston Defferre au 1er tour de la présidentielle.

Appelant ses amis à appeler un chat, un chat, et une défaite, une défaite, DSK entend dès maintenant travailler pour bâtir « une gauche efficace, une gauche crédible, une gauche concrète ».

Et Sego qui veut que le candidat aux présidentielles 2012 soit désigné des la fin des législatives dans un mois

Citation :

Présidentielle 2012: Royal veut que le PS choisisse son candidat "après les législatives"


PARIS (AP) - Ségolène Royal pousse son avantage. Se positionnant implicitement pour 2012, la présidente de la région Poitou-Charentes a demandé samedi que le candidat du PS pour la prochaine présidentielle soit désigné "rapidement" après les législatives de juin à l'occasion du prochain congrès du parti, afin d'éviter un processus de primaire "destructeur".

Tirant les premières leçons de sa "défaite" à la présidentielle -mot qu'elle a prononcé pour la première fois depuis dimanche-, Ségolène Royal a critiqué un processus de primaire interne trop tardif et "destructeur" et le manque de "discipline" au PS.

"A droite, la discipline a été sans faille. De mon côté, tous les matins, en ouvrant le journal, je me demandais quel était le socialiste qui allait porter une critique sur ce que je disais", a-t-elle regretté, pointant "des critiques, si ce n'est des trahisons". "Les attaques internes ont ensuite été reprises par la droite dans le combat principal", a-t-elle relevé.

Pour éviter cela, "il faudra réformer le calendrier de désignation", a-t-elle plaidé. "Il faut que le candidat ou la candidate soit désigné beaucoup plus tôt, qu'il ne soit pas épuisé dans des querelles et dans des conflits internes" et que la primaire ne "soit pas aussi près du combat principal pour pas ne laisser un certain nombre de séquelles", a-t-elle jugé.

Alors qu'on lui demandait quelle date elle envisageait pour cette désignation, la candidate malheureuse à l'Elysée a répondu: "rapidement", "après les législatives" de juin, "dès le prochain congrès" du parti. Le PS doit théoriquement réunir son congrès après les municipales de mars 2008 ou à l'automne. Elle ne s'est pas prononcée sur sa date. Son ancien directeur de campagne Jean-Louis Bianco a toutefois plaidé pour un congrès "assez rapide" en "septembre ou après les municipales".

De même, elle a souhaité que le projet présidentiel soit élaboré "avec le ou la candidate et pas avant" pour éviter un télescopage entre le projet du PS et celui de son champion. Ensuite, il faut "que le parti fasse totalement bloc derrière".

Le soir de la défaite, Ségolène Royal s'était clairement posée comme le nouveau leader de l'opposition, prenant date pour 2012. Elle entretient toutefois le flou sur ses projets et certains au PS la soupçonnent de briguer le poste de Premier secrétaire du PS. Alors qu'on lui demandait samedi si elle estimait que le candidat pour l'Elysée devait être le patron du parti, elle est restée floue. "C'est la solution la plus cohérente", mais "ce n'est pas forcément la même personne", a-t-elle répondu. "Il faut que le leader du parti soit le candidat ou la candidate", a néanmoins jugé Jean-Louis Bianco à titre personnel.

L'ancienne candidate s'est en revanche gardée de tout mea culpa sur son échec, sortant même les griffes contre Dominique Strauss-Kahn, qui avait parlé dimanche soir de "très grave défaite". "J'entends ici ou là des interprétations de la défaite. Certaines justes bien sûr, d'autres dérisoires et d'autres inutilement blessantes", s'est-elle désolée. "Le temps n'est pas aux polémiques" et "je dirai pour ma part de ce que j'en pense après les élections législatives", a-t-elle averti.

A moins d'un mois des législatives, elle a appelé les socialistes au rassemblement. "Nous devons rester unis et nous avons entre les mains ce talisman de la fierté et de la volonté des 17 millions d'électeurs" qui ont voté PS au second tour. "La campagne sera conduite par le Premier secrétaire" François Hollande et "j'y prendrai évidemment toute ma part", a-t-elle conclu, avant de quitter le Palais de la Mutualité. "Je suis disponible pour venir faire des réunions". AP

Citation :

Une semaine après la défaite présidentielle, le Conseil national du Parti socialiste a débuté à Paris avec un seul mot d'ordre, le jeu collectif, afin de ne pas hypothéquer les législatives.

"Aujourd'hui les enjeux ne sont pas des enjeux personnels", a déclaré Ségolène Royal qui est arrivée côte à côte avec François Hollande à la salle de la Mutualité, dans le centre de Paris.


"Je pense qu'il faut une mobilisation collective donc c'est le premier secrétaire qui va conduire cette campagne", a ajouté l'ex-candidate à la présidentielle.

"Moi je suis disponible pour m'engager pleinement dans cette campagne pour défendre les valeurs auxquelles je crois, auxquelles 17 millions de Français ont adhéré pendant cette campagne", a-t-elle poursuivi, seule devant les caméras.

Ségolène Royal devait ensuite s'exprimer à la tribune devant les délégués du Conseil national et les principaux responsables du PS. La réunion a pour but d'entériner le programme socialiste pour les législatives et les listes électorales.

Dominique Strauss-Kahn, qui s'est posé cette semaine en chef de file des rénovateurs sociaux-démocrates au sein du PS, ne s'est pas exprimé à son arrivée.
"Aujourd'hui, la priorité c'est à la fois les législatives et cette tâche qui est à la fois une tâche de rassemblement, on a absolument besoin de rassemblement", a déclaré de son côté Laurent Fabius, renouvelant ses critiques voilées à l'égard de la campagne très personnalisée de la candidate présidentielle.
"Il faut que l'on pratique un peu plus le 'nous' et un peu moins le 'je'", a expliqué l'ancien Premier ministre avant de mettre en garde les tenants d'une ouverture du PS au centre.

"Nous devons rassembler la gauche et les Verts et puis nous devons évidemment être ouverts à tous ceux qui veulent nous rejoindre mais si vous appuyez à la fois dans une voiture sur la pédale droite et sur la pédale gauche, en général ça donne peu de résultats", a-t-il prévenu.

A leur arrivée à La Mutualité, haut lieu de la gauche parisienne, les "éléphants" ont découvert une mini-manifestation de soutien à Ségolène Royal.
Sur des nappes blanches à petites fleurs roses, des militants de la Ségosphère et de Désirs d'avenir avaient inscrit: "Gloire à nos dirigeants qui font bloc avec Ségolène".

Le MJS et Razzie H sentent le paté Rancuniere Segolene

Remarque que les jeunes ont ete representés par MiniMoi (Thomas Hollande) et les incontornables Segophere et D.A

Des tensions dans le couple?? étonnant non?

Citation :

Royal part déjà sur 2012, Hollande veut attendre



Devant le conseil national du PS, elle a souhaité une désignation très rapide du futur candidat PS. Le "moment n'est pas venu" rétorque son compagnon.

Royal a jeté samedi quelques pavés dans la mare, parmi lesquels : "la droite a été disciplinée", tandis que "tous les matins, je me demandais quel était le socialiste qui allait porter une critique sur ce que je disais".


Ségolène Royal et François Hollande ont affiché leur déifférence samedi lors du congrès national du PS, censé tirer un premier bilan de la présidentielle et adopter une plate-forme programmatique pour les législatives. Pourtant, la candidate malheureuse à l'Elysée avait pris soin, en ouvrant ce conseil devant le parlement du parti, qui compte plus de 300 membres, de préciser que la campgane pour les législatives est "conduite par le Premier secrétaire François Hollande"v mais que "j'y prendrai évidemment toute ma place en tant que candidate à l'élection présidentielle".

Estimant qu'il y avait échec commun au sein du PS à la présidentielle 2007, elle a toutefois affirmé que le temps ne devait pas être aux "polémiques" et aux "interprétations de la défaite", "certaines justes, d'autres dérisoires, d'autres inutilement blessantes". En résumé, il faut attendre après les législatives pour en reparler... mais tout de même : "ce qui s'est passé au sein du PS" n'a pas eu lieu à droite car "la droite a été disciplinée", a-t-elle lancé fermement à la presse après avoir quitté le conseil samedi en fin de matinée.

La priorité de Royal : réformer le calendrier interne du PS

D'où sa volonté "pour l'avenir" de "réformer (le) calendrier" socialiste pour la présidentielle, qu'il soit "bien structuré, musclé". Ses propositions pour 2012 : désigner le ou la prochain(e) candidat(e) socialiste à l'Elysée dès "après les législatives" pour ensuite pouvoir élaborer le projet présidentiel "avec celui qui sera chargé de le porter". Par exemple lors du prochain congrès du PS à l'automne 2008, et non pas lors de primaires quelques mois avant l'élection, comme cela avait été son cas, en novembre dernier. Pas non plus au congrès suivant, trois ans plus tard. Car "il faut que le candidat soit désigné beaucoup plus tôt, qu'il ne soit pas épuisé dans des querelles et des conflits internes", a argumenté Ségolène Royal, qui avait elle-même été désignée en novembre dernier, soit bien après l'adoption du projet politique du PS, qui avait eu lieu en juin.

"A droite, la discipline a été sans faille", a-t-elle répété, tandis que "de mon côté, tous les matins, en ouvrant le journal, je me demandais quel était le socialiste qui allait porter une critique sur ce que je disais, y compris sur des fondamentaux très importants comme la valeur travail, qui est une réalité dont j'ai été la première à parler", a-t-elle dit. Ségolène Royal a par ailleurs dit sa "fierté" d'avoir conduit la campagne présidentielle, estimant que les 17 millions de voix obtenues contenaient "des perspectives d'avenir, un élan, une fierté". "Je ne sais pas s'il faut être plus ou moins à gauche, il faut être à gauche, ne faisons pas de débats inutiles sur cette question", a-t-elle conclu, souhaitant "incarner le socialisme du réel".

Pas encore, répond Hollande

Un peu plus tard, François Hollande répondait à la proposition de sa compagne. En finir avec les primaires, pourquoi pas, mais désigner le candidat en congrès, on verra plus tard si c'est la bonne solution. Une désignation anticipée, d'accord, mais pas si tôt. "Le moment n'est pas venu", a-t-il lancé.

Car le moment est aux législatives. Hollande a été très ferme sur les candidatures dissidentes : "je ne laisserai pas se défaire ce que avons construit et des comportements individuels mettre en cause le collectif". Il a souhaité qu'on "en termine une fois pour toutes" avec la question du désistement avec le Mouvement démocrate de Bayrou. "Ne nous posons pas la question à nous-mêmes alors que (François) Bayrou ne nous apporte pas de réponse", a-t-il dit.

Sterpalu !!!!

Citation :

Pour Vincent Peillon, le Conseil national, « c'est apparatchik's land » !
Le député européen est sorti furieux du conseil national et a dénoncé l'« incompétence » de François Hollande dans l'organisation des débats.


Vincent Peillon est apparu furieux, ce matin, au sortir du Conseil national du PS. « Ca, on va pas vers la rénovation, je peux vous l'assurer ! » s'est exclamé le leader du NPS dans les couloirs. A la tribune, il n'a fait qu'une très courte intervention de trois petites minutes, invitant au « silence ». Le mot d'ordre selon lui : « Chut ! Mais bientôt nous aurons des débats », sous-entendu après les législatives. Cet « impératif » n'a apparemment pas été entendu… : l'orateur s'est fait huer à son arrivée. En marge de cette prestation, il s'est emporté contre un parti « qui va vers l'épuisement ». Il a fustigé l'organisation de cette réunion par François Hollande, dénonçant le fait qu'en lieu et place d'un débat sur les législatives le conseil s'est transformé en bilan de la campagne présidentielle dans une salle où le public « c'était apparatchik's land ». Pour Vincent Peillon, c'est l'œuvre de l'« incompétence », du « verrouillage » ou même de la « malveillance » du Premier secrétaire.

Bella squadra. Et dire que ça veut diriger la France...

L'artichjoccu a écrit:

Bella squadra. Et dire que ça veut diriger la France...

C'est clair qu'il pouvait pas gagner cette election, toutes les conditions étaient réunis pour une défaite.

D'un coté un candidat dynamique avec une équipe de communication très compétente, les médias dans sa poche, un candidat en campagne depuis plusieurs années avec un projet ficelé, un démagogie incroyable, un budget de campagne extravagant

De l'autre une candidate sans charisme désignée au dernier moment, un projet interressant mais non finalisé, une équipe de tocard à la communication , des éléphants que plus personne ne peut voir en peinture, et le comble, des croques en jambe fait à la candidates par "ses amis " son compagnons en tête, qui l'a mise en difficulté à plusieurs reprises avec des propositions et des propos déplacés ....

La machine à perdre à gagné

Pour dire que

Et DSK qui a assassiné en direct ce matin Hollande sur RMC infos dans le talk show de Bourdin.

Le PS implose ACTUELLEMENT

(O Pierfan qui avait raison )

Je trouve beaucoup de qualité à DSK mais pas celle de la dignité. Il ne s'est toujours pas remis de sa défaite en Novembre et pour cela il en veut à la terre entière.

Je vais dire haut et clair ce que je pense d'Hollande : QUEL CONNARD !!!
Voilà, ça c'est fait. Au delà de sa volonté de rassembler il n'a fait que diviser !

Concernant DSK, il sait que son leitmotiv était la sociale démocratie. Or, Ségolène Royal l'a devancé et à opérer un virage que personne ne peut lui contester. D'ailleurs, DSK à trés bien compris que pour son avenir il fallait changer de cible, de fait, Hollande va prendre pour Royal !

Je pense qu'Hollande doit être hanter la nuit par décision de faire un réferendum interne sur la constitution...

Quant à Ségolène Royal, si elle gère bien, forte de sa campagne, elle sait désormais ce qui lui reste à faire. Le cortège de gens nouveaux c'est elle qui l'entraine pas les autres.

C'est simple, je pense que Sarkozy et Royal ont ringardisé tous les barons et les éléphants...

Maintenant, si DSK ne veut pas se vautrer (ce qui serait dommage étant donné ses qualités) il ferait mieux d'attendre l'aprés legislative. Mais, sa volonté ne serait-elle pas : une branlée monumentale au législative pour enterrer en grande pompe le premier secrétaire ?

Rejoignez le MODEM

macagnaman a écrit:

Rejoignez le MODEM

On dit connectez vous !

Ok, je

Sinon, en voilà un autre qui dit ni gauche ni droite mais qui va poster le centre en opposant... Comment le centre peut-il être opposant ?

Pierfran a écrit:

Je trouve beaucoup de qualité à DSK mais pas celle de la dignité. Il ne s'est toujours pas remis de sa défaite en Novembre et pour cela il en veut à la terre entière.

Je vais dire haut et clair ce que je pense d'Hollande : QUEL CONNARD !!!
Voilà, ça c'est fait. Au delà de sa volonté de rassembler il n'a fait que diviser !

Concernant DSK, il sait que son leitmotiv était la sociale démocratie. Or, Ségolène Royal l'a devancé et à opérer un virage que personne ne peut lui contester. D'ailleurs, DSK à trés bien compris que pour son avenir il fallait changer de cible, de fait, Hollande va prendre pour Royal !

Je pense qu'Hollande doit être hanter la nuit par décision de faire un réferendum interne sur la constitution...

Quant à Ségolène Royal, si elle gère bien, forte de sa campagne, elle sait désormais ce qui lui reste à faire. Le cortège de gens nouveaux c'est elle qui l'entraine pas les autres.

C'est simple, je pense que Sarkozy et Royal ont ringardisé tous les barons et les éléphants...

Maintenant, si DSK ne veut pas se vautrer (ce qui serait dommage étant donné ses qualités) il ferait mieux d'attendre l'aprés legislative. Mais, sa volonté ne serait-elle pas : une branlée monumentale au législative pour enterrer en grande pompe le premier secrétaire ?

ahè... Hollande s'il agit comme un connard c'est peut être parce qu'il est cocu... faut le comprendre ce brave homme... il se fait cocuffier dans la vie et en politique...

pauvre Flamby, DLUO dépassé

aw rewoir et à jamais

Citation :

Maintenant, si DSK ne veut pas se vautrer (ce qui serait dommage étant donné ses qualités)

Quelles qualités ? Quand il a été ministre des finances c'était vraiment pas terrible. Tu a la mémoire courte Pierfan.

DSK il faut qu'il dégage, ce sont ces gars là qui ont désespéré l'électorat de gauche. Cet électorat qui c'est dit "quitte à avoir une politique de droite autant voter à droite".
En suivant DSK ils vont perdre ce qui reste d'électorat de gauche.

Il faut refonder vers la gauche si ils suivent la voie social démocrate le Ps est mort

Mnt a écrit:

Pierfran a écrit:

Je trouve beaucoup de qualité à DSK mais pas celle de la dignité. Il ne s'est toujours pas remis de sa défaite en Novembre et pour cela il en veut à la terre entière.

Je vais dire haut et clair ce que je pense d'Hollande : QUEL CONNARD !!!
Voilà, ça c'est fait. Au delà de sa volonté de rassembler il n'a fait que diviser !

Concernant DSK, il sait que son leitmotiv était la sociale démocratie. Or, Ségolène Royal l'a devancé et à opérer un virage que personne ne peut lui contester. D'ailleurs, DSK à trés bien compris que pour son avenir il fallait changer de cible, de fait, Hollande va prendre pour Royal !

Je pense qu'Hollande doit être hanter la nuit par décision de faire un réferendum interne sur la constitution...

Quant à Ségolène Royal, si elle gère bien, forte de sa campagne, elle sait désormais ce qui lui reste à faire. Le cortège de gens nouveaux c'est elle qui l'entraine pas les autres.

C'est simple, je pense que Sarkozy et Royal ont ringardisé tous les barons et les éléphants...

Maintenant, si DSK ne veut pas se vautrer (ce qui serait dommage étant donné ses qualités) il ferait mieux d'attendre l'aprés legislative. Mais, sa volonté ne serait-elle pas : une branlée monumentale au législative pour enterrer en grande pompe le premier secrétaire ?

ahè... Hollande s'il agit comme un connard c'est peut être parce qu'il est cocu... faut le comprendre ce brave homme... il se fait cocuffier dans la vie et en politique...

s'il est cocu, il a une chance d'être président!

d'après ce qui ce dit c'est plutot elle qui l'est

Antone a écrit:

Mnt a écrit:

ahè... Hollande s'il agit comme un connard c'est peut être parce qu'il est cocu... faut le comprendre ce brave homme... il se fait cocuffier dans la vie et en politique...

s'il est cocu, il a une chance d'être président!

yep...

vince a écrit:

d'après ce qui ce dit c'est plutot elle qui l'est

Oui, c'est ce que j'ai cru comprendre !