Le Second Tour

A vous

D'ou je vais dire pour qui je vais voter sur un site internet avec le flicage qui est train de se mettre en place

Voynet

vince a écrit:

D'ou je vais dire pour qui je vais voter sur un site internet avec le flicage qui est train de se mettre en place

toi tu votes Roswell j'en suis sur maintenant

abstention ! de toute facon je serais en corse pendant les élection donc ...

Sarkozy. La gauche mancu per ride.

Royal. Mes principes et mes valeurs m'interdisent Sarkozy.

J'ai besoin de peser ma couille gauche et ma couille droite avant de me décider... si ça s'trouve, je finirai par me les battre...

je me les tate

les isoloirs et les burnes garantissent le secret du scrutin

Antone a écrit:

les isoloirs et les burnes garantissent le secret du scrutin

ha ha ah... sur un mur à la trinité près de Nice y avait un slogan :
"Ras les burnes, tous aux urnes"...

Antone a écrit:

les isoloirs et les burnes garantissent le secret du scrutin

faut vraiment aimer la démocratie je te le dis, 45 minutes de file d'attente pour pouvoir déposer son bulletin dans l'isoloir dimanche

Antone a écrit:

les isoloirs et les burnes garantissent le secret du scrotum

:capello:

Sarko favori mais rien n'est vraiment et tout peut arriver

Citation :

Onze sondages donnent Sarkozy gagnant malgré de médiocres reports Bayrou


PARIS (AFP) - Les onze sondages publiés depuis dimanche soir donnent Nicolas Sarkozy vainqueur le 6 mai, gagnant même avec de médiocres reports de voix Bayrou, mais le comportement d'un bon tiers de l'électorat Bayrou est imprévisible, selon les sondeurs.
Toutes ces enquêtes donnent l'ancien ministre de l'Intérieur vainqueur, avec des scores allant de 51% à 54% (53-47 dans les trois derniers).

Les sondeurs relèvent que M. Sarkozy (31,18% le 22 avril) dispose d'une avance de plus de cinq points sur Mme Royal (25,87%) et que la gauche est à un très bas niveau historique (36,44%).

Le président de l'UMP leur semble bien placé pour gagner, même si "ce n'est plus lui qui mène le jeu", l'attention étant focalisée sur les relations Royal-Bayrou, selon Ipsos.

Le report de bon nombre de voix Bayrou (18,57%), qui n'a pas donné de consigne de vote tout en s'en prenant vivement au candidat UMP, reste une énigme. Mais quand bien même M. Sarkozy ne récupérerait que 25% de ses voix, il gagnerait encore, selon le dernier Sofres.

Selon le dernier Ipsos, 39% (=) des électeurs Bayrou se reporteraient sur Mme Royal, 32% (-3) sur M. Sarkozy et 29% (+3) n'expriment pas d'intentions de vote ou s'abstiendraient.

Selon BVA, sur 100 électeurs Bayrou, 41 voteraient Royal, 34 Sarkozy, 8 blanc ou nul, 2 s'abstiendraient, 14 ne sachant pas et 1 refusant de répondre.

"Arithmétiquement, ce sont forcément les électeurs de François Bayrou qui détiennent la clef du scrutin", souligne Emmanuel Rivière (Sofres).

Selon François Miquet-Marty (LH2), parmi eux il y a un tiers d'électeurs UDF traditionnels, 20% d'électeurs de gauche et 10% d'UMP. Mais il y a aussi plus d'un tiers, voire 40%, d'électeurs Bayrou "erratiques", parmi lesquels des ouvriers (17% ont voté Bayrou selon LH2), dont le "comportement est imprévisible".

"Il s'agit d'un électorat qui allait sur Bayrou par motivation anti-système. Qu'est-ce qu'ils deviennent au second tour, vont-ils voter Sarkozy, s'abstenir?", estime-t-il. Dans un contexte politique "où il y a beaucoup moins d'indécision qu'avant, un choix clarifié, simplifié, avec beaucoup d'antagonismes, l'électorat Bayrou, qui comportait une dose importante d'électeurs de gauche (un tiers), apparaît le plus incertain", renchérit M. Rivière.

"Si les électeurs Bayrou ne tranchent pas et se répartissent moitié- moitié, la qualité des reports à l'extrême-gauche et à l'extrême-droite jouera aussi", ajoute-t-il.

Selon BVA, un tiers des électeurs ayant voté pour les six candidats de gauche éliminés (9% + 1,57% Voynet) n'apporteraient pas leur suffrage à la candidate PS. La Sofres, elle, ne note pas de grosses déperditions.

A l'extrême-droite, réduite à 10,44%, certains électeurs peuvent "mal accepter que M. Sarkozy soit parvenu à affaiblir les scores de M. Le Pen et vouloir lui faire payer", selon M. Miquet-Marty.

D'autres, de milieux populaires, "peuvent ne pas être très à l'aise avec des thèses qu'ils peuvent estimer libérales", ajoute M. Rivière. "Les taux de report habituels de Le Pen sur la droite ne peuvent pas être aussi bons quand, dès le premier tour, le candidat de droite a capté une grande part des voix FN".

Selon Ipsos, sur 100 électeurs Le Pen, 65 (-6) choisiraient Sarkozy, 13 Royal (+3), 22 (+3) s'abstenant ou ne s'exprimant pas.

Mais "on ne peut pas dire aujourd'hui que tout est joué", estime Jean-François Doridot (Ipsos), qui énumère les conditions d'une victoire de Mme Royal "sur le fil", parmi lesquelles une "très faible mobilisation des électeurs Le Pen, un report Bayrou-Royal de plus de 50% avec au moins 25% d'abstention Bayrou et de très bons reports de voix à gauche".