la france en allemagne pour la coupe du monde!!!

on est en alemagne...
ça y est c est la qualification mais ça été chaud jusqu au bout car les suisses ont eu de belles occaz...
domage que cissé n est pas marqué pour sa confiance...

Sérieux.....Eire, Suisse, Israël, Chypre et les Feroe...et qualification limite.. ça va pas rigoler en Allemagne.

Ca veut rien dire...

Les bleus s'étaient qualifiés avec la même douleur en 99, en vue de l'Euro 2000, et on a vu la suite... En face y'avait la Russie, l'Ukraine et d'autres...

charlot2b a écrit:

on est en alemagne...
..

Moi ce serait plutot: ILS sont en Allemagne

Mais bon apres chacun ses gouts..........;


Ce qui me rassure, c'est qu'ils vont pas y rester ltps normalement.

Homo Erectus, ils avaient quelques années de moins. Sérieux, je les trouve au bout du rouleau.

Espérons qu'ils limogeront stu connu di Domech!!!! si on veut avoir une chance.....

pas l'impression qu'il ait mis une bonne ambiance le Domenech.

Domenech n'est pas à sa place, pour moi c'est sur
J'aurais voulu que l'entraineur de l'EDF soit Jean TIGANA, mais avant que ce soit un noir qui soit entraineur de cette équipe nous verrons encore de l'eau couler sous les ponts
En plus, Jean TIGANA a l'accent marseillais, et a de sérieux soucis avec les journalistes français alors, ça fait 3 bonnes raisons pour qu'il ne soit pas l'entraineur
Bon maintenant, hier soir je bossais mais j'ai tout de même réussi à voir la fin du match, après le boulot, et j'ai eu un résumé par des collègues
Certains joueurs sont vraiment fatigués, par contre j'ai aimé que Ludo GUILY marque un but et par contre l'entrée de Franck Jurietti, à 5 secondes de la fin, d'un ridicule . . .
FORZA BASTIA PER SEMPRE
FILIPPU

Au moins Jurietti il ne payera plus ses places de stade maintenant...

ouai puis comme on ne le verra surement pas a la coupe du monde c t pour lui dire tien voila TA selection tu est international maintenan !!!!!
c t le petit cado de domenech la dinde

deux anciens Bastiais quand même...et après on dira que le SCB n'est pas un club formateur

lesquels?? je vois pas à part Jurietti

Alou Diarra, il a pas été une saison à Bastia?

Difficile de comparer France 98 ou il y avait quand mème de sacrés manieurs de ballon, une génération à son apogée et un grand coach (malgré la campagne de dénigrements de l'Equipe et des médias) à France 2006 ou il n'y a aucune ame, aucun fond de jeu et un coach qui n'a de coach que le nom....
Depuis que Jacquet est parti c'est le néant, Lemerre a gagné l'Euro 2000 uniquement grace à ce que Jacquet avait construit, Santini et Domenech ce sont des antithèses du coaching...

Antone a écrit:

Alou Diarra, il a pas été une saison à Bastia?

Bingo Antone two points

oui mais bon il a pas été formé non plus à Bastia, il s'est révélé, peut etre mais pas formé.....

je rigolais Djjeck, tu t'en doutes

Ils sont qualifiés, c'est le minimum non?

Maintenant pour eux le principal reste à venir, c'est à dire se faire humilier en Allemagne

sittembre a écrit:

Ils sont qualifiés, c'est le minimum non?

Maintenant pour eux le principal reste à venir, c'est à dire se faire humilier en Allemagne

Bah ça sera difficile pour eux de faire pire qu'en Corée du Sud quoiqu'il y ait toujours une marge de régression non négligeable....

absolut bastia a écrit:

sittembre a écrit:

Ils sont qualifiés, c'est le minimum non?

Maintenant pour eux le principal reste à venir, c'est à dire se faire humilier en Allemagne

Bah ça sera difficile pour eux de faire pire qu'en Corée du Sud quoiqu'il y ait toujours une marge de régression non négligeable....

oui oui, l'être humain nous a souvent prouvé qu'il avait une formidable capacité a toujours pouvoir faire pire.

mais en même temps comme ça bisque pas mal chaque fois que la France gagne, voila t-y pas que je deviens supporter..

Antone a écrit:

mais en même temps comme ça bisque pas mal chaque fois que la France gagne, voila t-y pas que je deviens supporter..

En fait Antone c'est Clement d'Antibes et il n'a pas de chien mais un coq

devinette...où je suis sur la photo?

a écrit

Citation :

Le destin animé de Raymond Domenech

Retour sur quinze mois mouvementés du sélectionneur de l'équipe de France.

Par Grégory SCHNEIDER



A propos de sa désignation à la tête de l'équipe de France, Raymond Domenech affirme : «Ce coup-ci, je n'étais pas candidat.» Sauf qu'il est allé défendre le morceau devant Claude Simonet, alors président de la Fédération française de football (FFF). Et qu'il obtient le poste de sélectionneur des Bleus, le 12 juillet 2004. Six ans jour pour jour après le sacre mondial de l'équipe de France au Stade de France de Saint-Denis, Raymond Domenech est intronisé. Il dit : «C'est la fonction suprême.» Mais elle est maudite. Depuis son licenciement et jusqu'à ce jour, Roger Lemerre (1998-2002) a toujours refusé de s'exprimer sur sa fin de règne. Jacques Santini (2002-2004) s'est enfoncé dans la paranoïa jusqu'à la rupture. Raymond Domenech n'en a cure.

Nationalisation. Dans l'euphorie de sa nomination, celui qui vient de passer onze années à la tête des espoirs parle de Zinedine Zidane. Ce dernier se tâte quant à la poursuite de sa carrière en bleu, après un Euro 2004 qui a quand même vu Thierry Henry le dauber publiquement : «J'entérinerais. Il y a des joueurs qui, eu égard à leur passé, ont le droit de choisir. Mon objectif n'est pas de convaincre Zizou s'il n'a pas envie.» Zidane entend le message et ferme la porte. Lilian Thuram aussi. Domenech s'enfonce : «Je voulais le convaincre pour quatre matchs.» Frédéric Thiriez, le président de la Ligue : «L'équipe de France ne se fera plus à Londres (où jouent Thierry Henry, Claude Makelele, Patrick Vieira, Robert Pires, ndlr) ou à Madrid (où évolue Zidane).» Un membre de la FFF : «C'est Aimé Jacquet qui est derrière tout ça. La direction technique nationale prend la main. La sélection vient d'être nationalisée.»

Le 18 août 2004, les Bleus version Domenech disputent leur premier match face à la Bosnie-Herzégovine, à Rennes. Le sélectionneur convoque Robert Pires, hors de forme, et l'aligne en seconde mi-temps. Après la partie, il explique à la presse : «Vu le niveau, j'aurai dû le sortir du terrain immédiatement.» Le milieu a des règles. Ce genre de chose ne se dit pas. Les Bleus rongent leur frein. Domenech est décalé. Il impose à ses hommes d'étranges rituels : débriefings postmatch (mais les avions privés des clubs, qui attendent de récupérer leurs hommes sur le tarmac le plus proche, n'ont pas cinq minutes à perdre), entraînements avec protège-tibias... Un joueur : «On n'est pas des enfants.» Le France-Israël du 4 septembre, où le coach impose une défense à cinq éléments dont personne ne veut, est sabordé (0-0).

Le meilleur se déroule cinq jours plus tard, dans un petit stade battu par les vents de Torshavn, aux îles Féroé. Certains îliens, vrais amateurs ou faux professionnels, viennent expliquer à un auditoire sidéré que, oui, ils ont vu la peur dans les yeux des Bleus (qui l'emportent finalement 2-0). Domenech sur son équipe : «Pourtant, j'ai raclé les fonds de tiroir.» Là, il parle trop haut. Même s'il n'a pas tout à fait tort. Pendant dix mois, la jeune génération (Gaël Givet, Sébastien Squillaci, Benoît Pedretti, Rio Mavuba, Camel Meriem) va enfiler les matchs nuls à domicile : contre l'Eire ou la Suisse en éliminatoires du Mondial 2006, contre la Pologne ou la Suède en amical.

Quarante présélectionnés. Sur le terrain, il ne se passe rien. Les Bleus ne prennent pas de but, signe qu'ils serrent les rangs ; ils ne marquent donc pas non plus. En dehors, c'est plus mouvementé. Robert Pires finit par craquer dans France Football : «J'ai l'impression d'être à l'école. Bon, je n'ai pas envie de mouiller mes potes, mais c'est pareil pour eux. Et là, je ne parle pas uniquement des gars d'Arsenal.» On ne le reverra plus en équipe de France. Mais ça n'empêche pas Domenech de lui envoyer une présélection (une quarantaine de joueurs y ont droit) avant chaque partie. La fédération n'oubliera pas non plus d'infliger à Robert Pires 50 000 euros d'amende pour s'être présenté lors d'un rassemblement des Bleus avec son sponsor personnel (Puma) en lieu et place de celui de l'équipe de France (Adidas).

Fabien Barthez, lui, faisait toujours partie du groupe appelé à disputer les deux parties de mars, contre la Suisse et en Israël. Trois mois plus tôt, il a pourtant craché sur un arbitre marocain lors d'une rencontre amicale de l'OM. Les images tournent en boucle sur les télés. Domenech en dit : «J'ai une position sur le sujet. Mais je ne vous dirai pas quoi.» Il aligne Barthez contre la Suisse, ce qui est moralement indéfendable. Barthez sort un grand match, plus un autre à Tel-Aviv contre Israël, où les Bleus sont rejoints sur le fil (1-1).

Du crapaud au diamant. L'élimination prend forme. Le 4 août, Zidane annonce son retour en bleu. Domenech : «On y a travaillé.» Zidane : «Si on m'avait posé la question plus tôt, j'aurai réfléchi plus tôt.» L'ombre d'Adidas plane. Le jour de l'annonce du retour du Madrilène, la marque allemande (qui équipe Zidane) a racheté Reebok pour 3,1 milliards d'euros. Le président du comité d'organisation du Mondial 2006, Franz Beckenbauer, est aussi celui du Bayern Munich, dont Adidas possède 10 %. Beckenbauer est également salarié d'Adidas depuis 1995. Zidane explique que les raisons de son retour sont «intimes», évoque une mystérieuse conversation nocturne et transforme, avec Lilian Thuram et Claude Makelele, qui lui ont emboîté le pas, le crapaud en diamant 24 carats.

Le 15 août à Montpellier, Zidane marque le troisième et dernier but d'une victoire claire et nette (3-0) devant la Côte-d'Ivoire en match amical. Florent Malouda résume : «L'engouement revient. Faire partie de cette équipe devient important.» En première mi-temps, Raymond Domenech se pointe chaussé en Converse Nike. Parmi ses proches, certains plaident l'erreur. D'autres l'acte manqué. En seconde période, il porte bel et bien les Adidas réglementaires. A chacune de ses apparitions estivales ­ cela continue depuis ­, le sélectionneur est mal à l'aise, agressif, un peu forcé. En septembre, l'équipe de France s'impose (1-0) à Lansdowne Road face à une excellente sélection irlandaise. Henry a mis le but vainqueur. Mais les trois revenants sont les rois du pétrole. Non pas qu'ils fassent bien jouer les Bleus : c'est encore plus fort, ils les font gagner. Raymond Domenech souffre. Cette équipe n'est plus vraiment la sienne.

absolut bastia a écrit:

Difficile de comparer France 98 ou il y avait quand mème de sacrés manieurs de ballon, une génération à son apogée et un grand coach (malgré la campagne de dénigrements de l'Equipe et des médias) à France 2006 ou il n'y a aucune ame, aucun fond de jeu et un coach qui n'a de coach que le nom....
Depuis que Jacquet est parti c'est le néant, Lemerre a gagné l'Euro 2000 uniquement grace à ce que Jacquet avait construit, Santini et Domenech ce sont des antithèses du coaching...

Je dirais plutôt que la génération avait atteint son apogée en 2000. Ca jouait vraiment mieux qu'en 98...