Sarko l'idole de Chavez

Putain le con, aprés les Bulgares il va nous faire le coup de Betancour la

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Bogota et les FARC évoquent un rôle à jouer pour Nicolas Sarkozy
Reuters


BOGOTA/PARIS (Reuters) - Le président Nicolas Sarkozy s'est entretenu samedi avec son homologue colombien, Alvaro Uribe, pour lui demander de parvenir rapidement à un accord humanitaire en faveur des otages détenus en Colombie.


L'appel du chef de l'Etat intervient au lendemain de la diffusion par le gouvernement colombien d'images prouvant pour la première fois depuis 2003 que la Franco-Colombienne Ingrid Betancourt et 15 autres otages des Force armées révolutionnaires de Colombie (FARC) sont en vie.

En Colombie, le gouvernement mais aussi les FARC ont laissé entendre qu'ils souhaitaient voir le président français jouer un rôle accru dans le processus en cours concernant le sort des otages de la guérilla.

"J'ai eu ce (samedi) matin une nouvelle conversation avec le président français Sarkozy pour mettre en oeuvre une nouvelle initiative en vue de la libération des otages, voyons ce qui pourra être fait en explorant cette voie avec le président Sarkozy", a déclaré à Bogota le président Uribe.

Les FARC, qui réclament notamment un échange entre leurs otages et plusieurs centaines de leurs membres emprisonnés par les autorités colombiennes, ont estimé de leur côté que le président français pouvait jouer un "rôle crucial" dans cette affaire.

"Le président Sarkozy peut jouer un rôle crucial pour que le processus d'échange reprenne son cours initial qui produisait les meilleurs résultats avec Chavez", a déclaré Ivan Marquez, l'un des principaux commandants de la guérilla, cité par l'Agence bolivarienne de presse.

Uribe, qui avait mandaté en août son homologue vénézuélien Hugo Chavez pour une médiation avec les FARC, y a brutalement mis un terme il y a dix jours en accusant son homologue vénézuélien d'avoir outrepassé le cadre de sa mission et d'avoir dévoilé publiquement des éléments de discussions privées.

SARKOZY VEUT "REDOUBLER D'EFFORTS"

Dans un communiqué, l'Elysée précise que Nicolas Sarkozy a fait part à Alvaro Uribe de "son soulagement, mais aussi son inquiétude, celle de la famille et du peuple français dans son ensemble devant la précarité évidente de l'état de santé de notre compatriote Ingrid Betancourt et de son désespoir".

"Il a souligné auprès de son homologue colombien qu'il y avait urgence à agir, qu'il entendait lui-même redoubler d'efforts pour que soit mis fin au calvaire des otages, et qu'il comptait sur l'aide du gouvernement colombien pour parvenir rapidement à un échange humanitaire", poursuit le communiqué.

Nicolas Sarkozy a également renouvelé son appel aux FARC à libérer les otages sans délai.

Dans une lettre à sa famille, dont des extraits ont été diffusés samedi par des proches, Ingrid Betancourt explique qu'elle et les autres otages détenus dans la jungle vivent "comme des morts".

"Je vais mal physiquement. Je ne me suis pas réalimentée, j'ai l'appétit bloqué, les cheveux me tombent en grandes quantités", explique l'ancienne candidate à l'élection présidentielle colombienne.

Selon Ingrid Betancourt, "la vie ici n'est pas la vie, c'est un gaspillage lugubre de temps".

"Je n'ai envie de rien car ici, dans cette jungle, l'unique réponse à tout est 'non'. Il vaut mieux donc, n'avoir envie de rien pour demeurer au moins libre de désirs", ajoute-t-elle. /JBV/HPA

si il y en a un qui peut la sortir de là c'est chavez tout le monde l'a fait passer pour un con en attendant la vidéo et la lettre sont arrivés, reste a savoir qui les à bloqué pour que que le résultat ne soient pas attribué a chavez.

vince a écrit:

si il y en a un qui peut la sortir de là c'est chavez tout le monde l'a fait passer pour un con en attendant la vidéo et la lettre sont arrivés, reste a savoir qui les à bloqué pour que que le résultat ne soient pas attribué a chavez.

qui l'a fait passer pour un con???

c'est Uribe qui a arbitrairement décidé d'arréter avec Chavez, Sarko l'a reçu à l'Elysée.

Ah si c'est vrai: Juan Carlos l'a fait passer pour un con

En même temps, si le PP espagnol n'a pas une filiation claire avec Franco..

On verra s'il fait la même chose avec le bel Alain toujours retenu par un groupement de machines à sous du côté de Barcelone

Serep i molot a écrit:

En même temps, si le PP espagnol n'a pas une filiation claire avec Franco..

arrètes de raconter n'importe quoi, si l'Espagne est aujourd'hui une démocratie et un pays de libertés c'est grace à Juan Carlos et le PP a plusieurs fois été au pouvoir sans que ça cause aucun problème faut arrèter le délire O Pastis, tu vois des fachos partout

absolut bastia a écrit:

Serep i molot a écrit:

En même temps, si le PP espagnol n'a pas une filiation claire avec Franco..

arrètes de raconter n'importe quoi, si l'Espagne est aujourd'hui une démocratie et un pays de libertés c'est grace à Juan Carlos et le PP a plusieurs fois été au pouvoir sans que ça cause aucun problème faut arrèter le délire O Pastis, tu vois des fachos partout

Le PP a servi de recyclage à des franquistes c'est un fait

Comme FI a recyclé du MSI ou le RPR du FN, le PS des maoistes ....rien de neuf sous le soleil

sinon Chavez a perdu un référendum..pendant que Poutine raflait tout y compris ses opposants.
Tiens il a perdu la main Chavez ou ce n'est pas tout à fait un despote

Analyse de cette défaite :

Il y a l'inconvénient : le Vénézuela n'a pas pu faire la révolution par un référendum parce qu'il donnait trop de pouvoir à un seul homme et on peut comprendre qu'il n'ait pas voulu courir un tel risque.

Mais il y a l'avantage : l'homme en question a accepté facilement la défaite, et n'a donc pas du tout tenté de truquer le vote. Prouvant ainsi qu'il n'était absolument pas un dictateur, et qu'en fait on aurait pu momentanément lui donner tout le pouvoir afin qu'il fasse la révolution. Finalement, les risques étaient bien moins grands qu'on aurait pu l'imaginer, les Vénézuéliens qui ont voté NON le voient bien aujourd'hui, et un grand nombre d'entre eux doivent regretter de ne pas avoir voté oui !

Car ils n'ont pas voté NON à la révolution, mais NON à donner tout le pouvoir à un seul homme.

Si Chavez avait mal réagi, cela aurait voulu dire qu'ils avaient eu raison de refuser de lui donner tout le pouvoir, mais comme il a très bien réagi, cela prouve qu'ils auraient pu voter oui.

Paradoxe de l'histoire.

si ma tante en avait ce serait mon oncle

ce qu'écrit Serep est logique sauf sa conclusion de sophiste

Antone a écrit:

ce qu'écrit Serep est logique sauf sa conclusion de sophiste

Mais heu, pourquoi les autres ils ont le droit et pas moi ?