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Pierfran
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Pierfran


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MessageSujet: Banquons maintenant !   Banquons maintenant ! EmptyMer 13 Fév - 12:37

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Loi bancaire : moins de frais pour les consommateurs
Par Les Echos | 12/02 | 07:00 | mis à jour à 07:52
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Le projet de loi de séparation et de régulation des activités bancaires est examiné cet après-midi en séance à l'Assemblée nationale.


Aujourd'hui débutera à l'Assemblée nationale l'examen du projet de loi bancaire. - Photo Denis Allard/REA
Les députés ont sensiblement fait évoluer le projet de loi bancaire du gouvernement en commission des Finances, notamment sur la filialisation des activités spéculatives. D'autres amendements feront bouger les lignes lors de l'examen du texte en hémicycle, qui débute cet après-midi.
Moins de frais bancaires pour les consommateurs
Dans le texte initial, le gouvernement prévoyait de plafonner les commissions d'intervention facturées par les banques aux populations les plus fragiles. Ces frais sont prélevés lors d'un paiement, si la provision sur le compte est insuffisante (découvert non autorisé ou dépassement de découvert). Ils rémunèrent le service rendu par la banque, qui examine la situation financière du client avant d'accepter ou non le paiement. En séance, les députés devraient aller plus loin et généraliser à tous les ménages ce plafonnement des commissions d'intervention. Un amendement prévoit une double limite : un plafond par opération et un plafond mensuel total. « Après l'encadrement de la tenue de marché et les paradis fiscaux, c'est le troisième pilier de l'intervention du groupe PS dans le projet de loi », commente le député Laurent Baumel, chef de file des orateurs socialistes sur ce projet de loi. Les seuils ne seront pas fixés dans la loi, mais par voie réglementaire, et ils pourraient être progressifs. « Il faudrait pouvoir adapter ce plafond de manière pragmatique, par exemple que son niveau soit lié aux revenus des clients, explique Karine Berger, rapporteure du projet de loi à l'Assemblée, qui soutiendra cet amendement. Notre objectif, c'est de cibler les classes moyennes et populaires qui connaissent un coup dur. Mais nous serons très prudents : il faut éviter que les banques n'aient plus intérêt à intervenir. » Jean-Paul Chifflet, président de la Fédération bancaire française, a précisé hier qu'au Crédit Agricole, son groupe, les conseillers devaient examiner chaque année 200 millions d'opérations de paiement, soit « 100 arbitrages rendus par jour et par agence ». En cas de plafonnement de la rémunération de ce service, les banques préviennent qu'elles pourraient automatiser le traitement de ces dépassements. Ce qui provoquerait une hausse des incidents de paiement et menacerait l'emploi dans les réseaux d'agences bancaires. « Si on réduit les frais, les banques devront rééquilibrer avec plus de marges sur les crédits », ajoute Jean-Paul Chifflet.

Sécuriser davantage les crédits aux « hedge funds »
Le projet de loi prévoit qu'un groupe bancaire pourra poursuivre son activité de prêt aux « hedge funds » si l'exposition est sécurisée par un collatéral, un actif qui sert de sûreté. Mais que vaut cette garantie si la valeur du collatéral baisse ? Sans changer la nature du texte, on envisage donc à Bercy de demander à la future Autorité de contrôle prudentiel et de résolution (ACPR) de se montrer vigilante sur le collatéral.
Protéger les collectivités des emprunts toxiques
En commission des Finances de l'Assemblée, le ministre de l'Economie, Pierre Moscovici, a invité députés et sénateurs à se rassembler « sur un texte d'intérêt général » pour prévenir la souscription de prêts toxiques. Dans l'attente de cette concertation, le député Christian Eckert proposera en séance un dispositif pour limiter l'accès des collectivités locales territoriales au crédit, pour le restreindre aux prêts les plus simples.
Quelle dynamique européenne ?
La France, le premier pays à engager une réforme de séparation des activités bancaires, espère donner le « la » en Europe. « C'est bien que l'Allemagne lance également sa réforme car le sujet est difficilement réglable par un pays tout seul. Alors que le Royaume-Uni freine, le fait que la France et l'Allemagne bougent en même temps crée une accélération formidable du processus », estime Karine Berger. La transposition de la future directive européenne Liikanen n'interviendra pas avant 2015, année prévue de la mise en application de la loi bancaire française.
VÉRONIQUE CHOCRON
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vince
Nebosja Krupnikovic
vince


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MessageSujet: Re: Banquons maintenant !   Banquons maintenant ! EmptySam 16 Fév - 22:59

On est foutu ...

Retiens bien ce que je vais te dire tu vas pouvoir vérifier d'ici deux ans que ce n'est pas une invention. Recherche sur ce site j'avais annoncé plusieurs mois en avance la crise financière.

Taux de pauvreté à venir 25%, taux de chômage réelle entre 20 et 30 %, baisse des salaire et/ou du pouvoir d'achat 30%. Remboursement de la dette publique 0%. Baisse du PIB 3% cette année le phénomène devrait s'amplifier. Explosion de la bulle immobilière, plusieurs centaines de milliers d'emploi vont disparaitre dans le bâtiment et les travaux public, malgré cela on va passer de 700 000 personnes ne pouvant accéder au logement à presque deux millions, des millions de retraités vont se retrouver avec des ressources insuffisantes et voir disparaitre leurs économie et leur patrimoine ..... Pire des pans entiers de l'industrie vont soit être coulé soit être délocalisé ( secteur automobile en premier lieu) Déficit historique de la Balance commerciale ....... Les banques vont être plus riche que jamais
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fabrice
Cédric Uras
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fabrice


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MessageSujet: Re: Banquons maintenant !   Banquons maintenant ! EmptyDim 17 Fév - 15:04

Hé ben ... t'es pas bien réjouissant dans tes propos amicu Vince.

J'espère qu'il n'y a pas de dépressif parmi les membres du forum, car sinon ils risquent de se tirer une balle arf



Wink
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vince
Nebosja Krupnikovic
vince


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MessageSujet: Re: Banquons maintenant !   Banquons maintenant ! EmptyLun 4 Mar - 22:48

Tel que cela ce présente, nous sommes simplement en retard sur la Grèce et l'Espagne. La situation Italienne qui est très mauvaise est meilleurs que la notre, eux sont détenteur de leur propre dette publique, ils ne peuvent que s'en sortir puisqu'ils se remboursent à eux même, tout l'inverse de ce qui se passe en France.

A mon avis si on rembourse la dette, avec les intérêts on va se retrouver dans la situation que je décris plus haut. Le seul moyen d'en sortir c'est de faire défaut, ont plonge plus vite mais moins profond et surtout moins longtemps, et au bout de deux ans l'économie repart plein pot. On a pas le choix, ils faut tout de même savoir que les grandes banques ont placé des administrateurs à eux pour encadrer le GVT .
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Pierfran
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Pierfran


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MessageSujet: Re: Banquons maintenant !   Banquons maintenant ! EmptyLun 4 Mar - 23:10

La crise est une pompe à fric qui tourne en rond...

Il n'y a plus d'investissement, de promotion au sens noble des termes. Toutes actions d'innovation consiste à repeindre en bleu ce qui était rouge. Toutes entreprises est en fait une enseigne, une franchise, un commerce. L'entreprise en tant que telle n'existe plus. Et si elle existe, son émergence est tellement dure que le temps de se développer, de grands groupes ont déjà fait main basse sur les brevets...

Enfin, où peut-on réellement trouver une banque aujourd'hui ? Si quelqu'un ici est susceptible de me dire où en trouver une qu'il me fasse signe.
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Elio
Reynald Pedros
Elio


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MessageSujet: Re: Banquons maintenant !   Banquons maintenant ! EmptyVen 8 Mar - 22:40

Pierfran a écrit:
Citation :
Loi bancaire : moins de frais pour les consommateurs
Par Les Echos | 12/02 | 07:00 | mis à jour à 07:52
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Le projet de loi de séparation et de régulation des activités bancaires est examiné cet après-midi en séance à l'Assemblée nationale.


Aujourd'hui débutera à l'Assemblée nationale l'examen du projet de loi bancaire. - Photo Denis Allard/REA
Les députés ont sensiblement fait évoluer le projet de loi bancaire du gouvernement en commission des Finances, notamment sur la filialisation des activités spéculatives. D'autres amendements feront bouger les lignes lors de l'examen du texte en hémicycle, qui débute cet après-midi.
Moins de frais bancaires pour les consommateurs
Dans le texte initial, le gouvernement prévoyait de plafonner les commissions d'intervention facturées par les banques aux populations les plus fragiles. Ces frais sont prélevés lors d'un paiement, si la provision sur le compte est insuffisante (découvert non autorisé ou dépassement de découvert). Ils rémunèrent le service rendu par la banque, qui examine la situation financière du client avant d'accepter ou non le paiement. En séance, les députés devraient aller plus loin et généraliser à tous les ménages ce plafonnement des commissions d'intervention. Un amendement prévoit une double limite : un plafond par opération et un plafond mensuel total. « Après l'encadrement de la tenue de marché et les paradis fiscaux, c'est le troisième pilier de l'intervention du groupe PS dans le projet de loi », commente le député Laurent Baumel, chef de file des orateurs socialistes sur ce projet de loi. Les seuils ne seront pas fixés dans la loi, mais par voie réglementaire, et ils pourraient être progressifs. « Il faudrait pouvoir adapter ce plafond de manière pragmatique, par exemple que son niveau soit lié aux revenus des clients, explique Karine Berger, rapporteure du projet de loi à l'Assemblée, qui soutiendra cet amendement. Notre objectif, c'est de cibler les classes moyennes et populaires qui connaissent un coup dur. Mais nous serons très prudents : il faut éviter que les banques n'aient plus intérêt à intervenir. » Jean-Paul Chifflet, président de la Fédération bancaire française, a précisé hier qu'au Crédit Agricole, son groupe, les conseillers devaient examiner chaque année 200 millions d'opérations de paiement, soit « 100 arbitrages rendus par jour et par agence ». En cas de plafonnement de la rémunération de ce service, les banques préviennent qu'elles pourraient automatiser le traitement de ces dépassements. Ce qui provoquerait une hausse des incidents de paiement et menacerait l'emploi dans les réseaux d'agences bancaires. « Si on réduit les frais, les banques devront rééquilibrer avec plus de marges sur les crédits », ajoute Jean-Paul Chifflet.

Sécuriser davantage les crédits aux « hedge funds »
Le projet de loi prévoit qu'un groupe bancaire pourra poursuivre son activité de prêt aux « hedge funds » si l'exposition est sécurisée par un collatéral, un actif qui sert de sûreté. Mais que vaut cette garantie si la valeur du collatéral baisse ? Sans changer la nature du texte, on envisage donc à Bercy de demander à la future Autorité de contrôle prudentiel et de résolution (ACPR) de se montrer vigilante sur le collatéral.
Protéger les collectivités des emprunts toxiques
En commission des Finances de l'Assemblée, le ministre de l'Economie, Pierre Moscovici, a invité députés et sénateurs à se rassembler « sur un texte d'intérêt général » pour prévenir la souscription de prêts toxiques. Dans l'attente de cette concertation, le député Christian Eckert proposera en séance un dispositif pour limiter l'accès des collectivités locales territoriales au crédit, pour le restreindre aux prêts les plus simples.
Quelle dynamique européenne ?
La France, le premier pays à engager une réforme de séparation des activités bancaires, espère donner le « la » en Europe. « C'est bien que l'Allemagne lance également sa réforme car le sujet est difficilement réglable par un pays tout seul. Alors que le Royaume-Uni freine, le fait que la France et l'Allemagne bougent en même temps crée une accélération formidable du processus », estime Karine Berger. La transposition de la future directive européenne Liikanen n'interviendra pas avant 2015, année prévue de la mise en application de la loi bancaire française.
VÉRONIQUE CHOCRON

Il faut bien que quelqu'un bouche le trou que la Grèce a creusée dans les caisses de cette banque, alors ils font comme d'habitude ils font payer leurs clients et les autres font de même.

L'état lui a les taxes et les impots pour nous faire régler la note de la gestion calamiteuse de nos politiques ( tous bords confondus ) et les banques elles augmentent leurs tarifs, et si tu veux légiférer pour leur imposer des baisses ou règlementer leurs hausses elles te sortent toujours la menace licenciement et chomage.
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