Des nouvelles de Chaouki

Citation :

Chaouki Ben Saada, l'aigle de la Côte d'Azur


FOOT- Grâce à son succès contre
Grenoble samedi soir (2-1), l'OGC Nice a assuré son maintien à «99.9
%». Formé à Bastia, le milieu offensif du club Chaouki Ben Saada n'y
est pas pour rien...


Autrefois,
on l’appelait Roberto Baggio. Enfant il avait la même coiffure que son
idole, bouclettes et queue de cheval. «C’était marrant, on le chambrait
tout le temps avec ça», sourit Gregory Lorenzi son
ancien coéquipier à Bastia. Mais le timide Ben Saada n'a rien de
l'exubérant Italien. Lui n’a jamais fantasmé sur le Real Madrid, Manchester United
ou encore la Juventus de Turin. «Il n’a jamais rêvé de jouer dans un
club particulier, Chaouki comptait faire carrière à Bastia», confie
Pierre Molinelli qui a coaché le Tunisien depuis son plus jeune âge.
Celui qui a fait toutes ses classes au SC Bastia n’est
pas ambitieux. «C’est déjà une réelle satisfaction d’être arrivé où
j’en suis. Je suis trop discret pour avoir des ambitions». Deuxième
meilleur buteur de l’OGC Nice (après Loïc Rémy, 11 réalisations) avec 6
buts et 4 passes décisives, Chaouki Ben Saada
devient une figure éminente du onze niçois. Titularisé à 17 reprises
cette saison, le tunisien voit sa côte de popularité grimper. «Il a le
talent et le potentiel pour devenir une valeur sûre du championnat, je
pense qu’il est définitivement lancé», s’enthousiasme son ancien
acolyte à Bastia, Gregory Lorenzi.


«La Tunisie ? Le choix du cœur»



Champion du monde des -17 ans avec la France, il fait partie de cette
génération dorée qui n’a jamais brillé par la suite. Sans réelle grande
chance d’être appelé en Bleu, le natif de Bastia a vite opté pour la
tunique desAigles de Carthage.
«J’ai pesé le pour et le contre et je savais que la sélection
tunisienne pouvait m’offrir plus de choses, comme jouer la Coupe du
monde et la Coupe d’Afrique», confie Chaouki Ben Saada. «C’est le choix
du cœur. Ses parents sont d’origine tunisienne, c’est une fierté pour
lui», renchérit Christian Bacconi, le directeur du centre de formation
du SC Bastia. Lanterne rouge de Ligue 2, le club corse fonce tout
droit vers le National. Une situation qui affecte le milieu niçois. «Je
suis triste, ça me fait vraiment mal. Tous les vendredis je suis
attentivement les résultats, mais ce n’est pas fini, il faut garder
espoir». Papa d’une petite Naëlle de trois ans, le gamin de Bastia a
muri mais n'en perd pas son humour pour autant: «Je vous rassure ma
fille n’a pas la même coupe que Roberto.»

domage qu il n est pas veritablement decollé au sporting, pourtant tous les ans on l attendait ce decollage (supers matchs de preparations et plus rien pendant la saison)
je me rappelle juste d une saison ou il avait été pas mal
en tout cas tant mieux pour lui meme sil joue a nice...

C'est simple, on l'a vu bien plus fort qu'il n'était après son doublé contre Marseille, en oubliant qu'il n'avait que 18 ans... Or, à part quelques rares exceptions, les joueurs qui fréquent les catégories de jeunes du Sporting se révèlent plus autour de 22 ans. On l'a en quelque sorte grillé, heureusement qu'il n'a jamais lâché et qu'il a malgré tout continuer sa progression.

oui c est vrai aussi qu il a été lancé tres jeunes et presenté comme futur grand espoir quand il etait en internaional -17

Ghjuvanni a écrit:

C'est simple, on l'a vu bien plus fort qu'il n'était après son doublé contre Marseille, en oubliant qu'il n'avait que 18 ans...

et toute le stade qui scandait Runje Runje Runje aprés le dernier but de Chaouki, sacré retour à Furiani pour Barthez ce soir la