Ouvrez les Vannes..

Après un intermède pas si évident que ça en Coupe, le SCB renoue avec le championnat pour une rencontre inédite chez un promu qui fait bien mieux que se défendre..8ème place pour les bretons. On s'en contenterait à vrai dire.
Nous allons donc découvrir un nouvel environnement. Le stade de la Rabine..

7500 places 10 loges un PC sécurité Ce stade qui comportait auparavant une piste vélodrome, a été reconstruit en 2001, puis agrandi en 2006 pour débuter la seconde saison en National du club avec des structures aux normes imposées par la Fédération Française de Football (notamment un grillage autour du terrain). Adresse : Stade de La Rabine, Place Theodore DECKER 56000 VANNES

Fondé en 1998, ce club issu de la fusion de deux plus anciens, Vannes a vite gravi les échelons!

Saison	Niveau	Place	J	Pts	G	N	P	BP	BC	DIFF
2007/2008	National	1	38	69	20	9	9	47	31	+16
2006/2007	National	15	38	42	13	6	19	42	55	-13
2005/2006	National	12	38	49	11	16	11	44	45	-1
2004/2005	CFA	1	34	100	19	9	6	51	26	+25
2003/2004	CFA	5	34	88	14	12	8	48	36	+12
2002/2003	CFA	13	34	74	9	13	12	41	57	-16
2001/2002	CFA	5	34	82	14	7	12	40	45	-5
1999/2000	CFA	8	34	85	13	12	9	57	42	+15
1998/1999	CFA 2	2	30	93	19	6	5	56	37	+19

Vannes - L'EFFECTIF

NumJoueurPosteNationalitéÂgeTaillePoids

1	Christophe Revel	Gardien	Française	29	1,80	73
16	Mathieu Lailler	Gardien	Française	22	1.80	79
0	Ritchie Makuma	Défenseur	Française	23	1,85	87
4	Pierre Talmont	Défenseur	Française	31	1,78	70
14	Daouda Bamba	Défenseur	Ivoirienne	26	1,87	81
0	Benjamin Charlot	Défenseur	Française	24	180	72
13	Jean_sebastien Gomba	Défenseur	Française	28	1,85	76
3	Romain Poletti	Défenseur	Française	20	1.78	67
8	David Martot	Milieu	Française	27	1.76	71
21	Ulrick Chavas	Milieu	Française	28	1.74	64
8	Jerome Lebouc	Milieu	Francaise	28	1,79	75
27	Stephane Auvray	Milieu	Française	27	1,74	71
12	Fabrice Garin	Milieu	Française	32	1,81	79
20	Erwan Quintin	Milieu	Française	24	1,80	75
23	Willy Barru	Milieu	Française	23	1,79	73
5	Laurent Herve	Milieu	Française	32	1,85	75
18	Nicolas Diguiny	Milieu	Francaise	20
0	Moriba Bamba	Milieu	Ivoirienne	26	1.74	69
11	Frederic Sammaritano	Milieu	Française	22	1.60	62
0	Amine Karam	Milieu	Française	2007
11	Frederic Coquerel	Attaquant	Française	30	180	73
0	Moussa Sidibe	Attaquant	Malienne	27	1,76	70
9	Ghislain Gimbert	Attaquant	Française	23	1.83	75
29	Cedric Le_henaff	Attaquant	Française	24

Si on prend un but de Ghislain Gimber, je quitte ce forum

Actualité Vannes


mercredi 26 novembre 2008


« Pour le maintien, la moitié du chemin est fait »


Notre succès, nous le devons à notre travail et à la bonne ambiance qui règne au sein du club. C'est une formidable aventure humaine », estime Olivier Cloarec.

Olivier Cloarec est âgé de 35 ans. Directeur général du Vannes Olympique-club, il revientsur les belles performances de l'équipe de Ligue 2.

En quoi consiste votre poste de directeur général du Vannes Olympique-club ?

C'est appliquer les décisions prises par le président Michel Jestin. Quand il n'est pas à Vannes, c'est être son lien sur place.
Je coordonne le travail de toute l'équipe, c'est-à-dire 40 personnes avec les joueurs, le staff technique, les bénévoles...
Je ne suis donc pas tout seul, loin de là ! Cette réussite que le club connaît aujourd'hui est due à tout le monde.
Êtes-vous justement surpris par les bons résultats du Voc ?
Ce sont, effectivement, des résultats exceptionnels, que nous ne pensions pas atteindre au démarrage de la saison, l'été dernier. Il faut donc en profiter.
Avec nos moyens financiers (le plus petit budget de la Ligue 2), avoir 21 points au bout de quinze journées, être qualifié en quarts de finale de la coupe de la Ligue et être toujours en course en Coupe de France, c'est fantastique.
Mais si l'on veut durer, il faut avoir une bonne assise financière. Notre succès, nous le devons également à notre travail et à la bonne ambiance qui règne au sein du club. C'est une formidable aventure humaine.
Attention, quand même, à ne pas nous prendre pour ce que nous ne sommes pas ! Nous restons toujours humbles. Il nous faut 42 points pour nous maintenir. Nous avons fait la moitié du chemin.
Est-ce que Vannes est vraiment une ville de football ?
Des villes comme Guingamp ou Auxerre n'en étaient pas au départ. Elles le sont devenues. Vannes n'a rien du tout à leur envier. On est maintenant un club qui compte dans le foot français, un club qui surprend, un club qui intrigue.
En terme d'équipements, ce n'est quand même pas le top pour le club ?
Le Voc a effectué deux montées en l'espace de quatre années. C'est une ascension rapide. On a du retard, en effet, au niveau des équipements. Mais on fait tout pour le combler, en lien étroit avec la Ville.
Dans quelques semaines, avant la fin de l'année, nous bénéficierons enfin d'un vrai siège du Voc, de 250 m². Cette structure modulaire, que nous louerons, sera installée au Perenno. On y trouvera les locaux administratifs, la billetterie, le bureau de l'association...
Le vendredi 5 décembre, le Voc affrontera Brest sur la pelouse du stade Francis-Le Blé. Un moment fort pour vous et pour le président Michel Jestin. Tous les deux, vous arrivez tout droit de la cité du Ponant.
Effectivement. Revenir au stade Francis-Le Blé me fera forcément quelque chose. Mais je suis maintenant au Voc. Je défendrai donc les couleurs de Vannes. Il n'y a ici aucune ambiguïté.
Le quart de finale de coupe de la Ligue contre Metz, le mardi 13 janvier, à La Rabine : un autre moment fort, non ?
Cela marche déjà très fort. Le téléphone n'en finit pas de sonner. Mais la billetterie n'est pas encore ouverte. Elle le sera durant la deuxième quinzaine de décembre. Il faut patienter encore un peu.
Mais avant Metz, il y a Bastia vendredi prochain, puis Brest, Sedan, Nîmes et encore un match de la Coupe de France. Chaque chose en son temps !
L'accession de Vannes en Ligue 1, c'est possible un jour ?
Ce n'est pas pour tout de suite. Notre mission est d'abord de pérenniser le club en Ligue 2, de donner naissance à un centre de formation.
Si nous avons l'opportunité de monter en division supérieure un jour, bien sûr que nous saisirons cette chance.

Propos recueillis par
Yves-Marie ROBIN.

Pratique. 16^e journée. Vannes OC - SC Bastia, vendredi 28 novembre, à 20 h, stade de La Rabine à Vannes.

Ouest-France

Football : La défense centrale vannetaise devra faire sans son « Squale »


En l'absence de Pascal Delhommeau, suspendu, Pierre Talmont (ici au premier plan) devrait être aligné en charnière centrale aux côtés de Patrick Leugueun. : Gwénaël Mahé



++ Retrouvez toute l'actualité du Vannes OC dans notre dossier spécial



Pour la première fois de la saison en championnat, le nom de Pascal Delhommeau n'apparaîtra pas sur la feuille de match, ce soir face à Bastia. La tour de contrôle de la défense vannetaise, complément idéal de Patrick Leugueun, purgera en effet son match de suspension après avoir été averti à trois reprises sur les cinq derniers matches. La charnière centrale devra donc faire sans la vigilance de requin de son « Squale » (le surnom de Delhommeau).
Pour autant, le staff technique ne s'inquiète pas outre mesure de cette absence ponctuelle. Si la paire Leugueun-Delhommeau a été de loin la plus utilisée (13 matches et demi en championnat, deux en coupe, pour un total de quinze buts encaissés), Stéphane Le Mignan a eu l'occasion ou l'obligation d'offrir plusieurs visages à sa charnière centrale : Delhommeau-Talmont ont été ainsi alignés ensemble lors de trois rencontres (1 en championnat, 1 en coupe de la Ligue, une mi-temps en coupe de France pour 4 buts encaissés), Leugueun - Talmont lors d'une mi-temps en championnat à Metz (2 buts), Ekobo-Talmont lors de deux matches (1 en coupe de la Ligue, une mi-temps en coupe de France, 2 buts encaissés). Des solutions de rechange qui permettent au coach d'afficher une certaine sérénité avant l'échéance bastiaise. Même avec un sérieux client à contrer : « Avec ou sans Pascal, quand on a Pierre-Yves André en face il est important d'être performant dans cette zone. Sur ce que j'ai vu lors des tours de Coupe, nous avons les moyens de répondre présent. Lorsque Pascal n'avait pas joué (lors du 2^e tour de la coupe dela Ligue contre Amiens), nous avions été au niveau. Et puis, ce n'est pas seulement dans cette zone que nous devrons être bons face à Bastia », glisse malicieusement le coach morbihannais.

Meilleure défense à domicile

La paire Talmont-Leugueun, qui devrait être titularisée ce soir, pourra en effet compter sur l'abattage d'Eugène Ekobo, placé juste devant elle, et le travail de sape de Boudarène et Auvray qui disputera là son dernier match avec le Voc avant de prendre son envol vers la Jamaïque, samedi, pour rejoindre la sélection guadeloupéenne.

Meilleure défense de Ligue 2 à domicile, avec seulement deux buts encaissés, le Voc a pu compter jusque-là sur une imperméabilité qui lui a permis de préserver son invincibilité à La Rabine. Et même si un être manquera ce soir au rideau défensif vannetais, pas question pour autant que tout soit dépeuplé.

Ligue 2. Vannes - Bastia, demain (20 h) Martot : « Je suis un revanchard » Coupable sur le but de la victoire de Châteauroux (1-0) lors de la précédente journée, David Martot était sorti dès la 29 e minute. Le latéral droit a mis un peu de temps à digérer ce mauvais moment et ne demande aujourd’hui qu’à rebondir. David Martot, comment avez-vous vécu votre sortie prématurée à Châteauroux et les moments qui ont suivi ? « Il n’y a qu’un mot : difficilement. Je n’étais pas dedans dès le départ. Le coach a préféré me sortir. » Avez-vous compris la décision de votre entraîneur ? « Maintenant, oui, parce que j’ai eu une discussion avec lui. Mais c’est vrai que les 24 heures et même les 48 heures qui ont suivi le match, ça a été difficile. Le week-end n’a pas été évident. » Quelle attitude ont eu le coach et vos partenaires à votre égard ? « Le coach est venu me voir en début de semaine. Sur le coup, il était dans son match. A chaud, on peut s’énerver. On a discuté tranquillement, on a mis les choses à plat.




Il m’a expliqué que ce n’était pas une punition pour moi, que c’était un jour sans, comme tout footballeur peut avoir, et qu’il fallait se remettre au travail. C’est ce que je fais pour essayer d’oublier. Pour revenir aux joueurs, je les remercie parce qu’ils ont été autour de moi juste après le match. On parle d’une bonne ambiance au club et, dans ces moments-là, on voit si un groupe est solidaire et j’ai pu le constater. » Entre votre sortie du terrain et la fin du match, vous êtes-vous senti seul au monde ? « Oui, surtout à la mi-temps. Je suis resté tout seul dix minutes sur le banc pour essayer d’évacuer la colère que j’avais en moi. J’ai préféré rester tranquille, ne pas rentrer aussitôt dans les vestiaires. J’ai mis l’équipe dans la difficulté. Certes, on avait le temps de revenir mais quand on prend un but comme ça dès le départ, c’est toujours difficile. On aurait égalisé, fait match nul, je pense que j’aurais oublié plus facilement ce début de match. Vu qu’il nous rapporte zéro point, je me sens un peu coupable maintenant. Il y aura des jours meilleurs. Peut-être que la prochaine fois, je serai décisif, je marquerai deux buts ? » Se sent-on revanchard après un tel moment ? « Je suis quelqu’un de revanchard et, suite au but, j’aurais voulu rester au moins sur le terrain jusqu’à la mi-temps pour rattraper cette erreur et prouver que je pouvais peut-être apporter quelque chose, une passe qui aurait pu nous permettre d’égaliser. » Vous pensiez être suffisamment fort mentalement ou n’était-ce pas tout de même un peu la « gamberge » ? « Il y a un peu des deux. C’était une décision pas évidente, le coach me l’a dit. Il a certainement eu raison de me sortir. J’ai regardé Marseille - Lille dimanche et Zubar, qui a fait une très grosse faute, est resté tout le match. Il n’était finalement pas dedans. » Vous avez été écarté du groupe pour la Coupe de France. Comment l’avez-vous vécu ? « Je n’ai pas pris ça comme une sanction. Il ne faut pas penser qu’à soi et se dire qu’il y a aussi des joueurs qui ont envie de se montrer. C’est important de mobiliser tous les joueurs et la Coupe de France le permet. » Vous avez fait un très bon match samedi avec la réserve contre la CFA du Stade Rennais. C’était aussi un bon moyen de se relancer ? « Tout à fait. Ça m’a fait un énorme bien d’être retourné avec la réserve. J’ai joué milieu de terrain (NDLR : son poste de prédilection), j’ai touché beaucoup de ballons, je me suis fait plaisir. Avec ces derniers jours difficiles, je montre que je suis présent. De toute façon, je suis quelqu’un qui ne lâche pas. Il y a plus grave dans la vie, il faut relativiser. Mais c’est vrai que ce match-là m’a fait le plus grand bien dans ma tête. Ça m’a permis d’entamer la semaine avec confiance. Je suis passé à autre chose. Le plus important, aujourd’hui, c’est Bastia. »


Recueilli par Anne Paulou

Retour aux choses sérieuses


Après une qualification en Coupe de France acquise à Luzenac samedi dernier, l’équipe bastiaise va effectuer un périlleux déplacement à Vannes vendredi, l’une des révélations du début de championnat.
Le temps presse pour Bastia
En remportant son match à Luzenac, Bastia s’est donné de l’air… sur le plan moral. Mais ne nous voilons pas la face, c’est au minimum un point qu’il faudra ramener de Bretagne pour s’extirper des profondeurs du classement et éviter l’alerte rouge. Car si le Sporting a retrouvé son football face aux lensois, il lui faudra sortir de bleu de chauffe pour marquer des points à Vannes, le temps commençant à presser a une semaine d’un derby face à l’ACA qui s’annonce chaud bouillant.
Une mission compliquée mais pas irréalisable pour les hommes de Bernard Casoni plus déterminés que jamais a l’heure de se rendre à Vannes. Un déplacement que n’effectueront pas Cherrad, Goda, Gaffory et Kambou qui sont blessés, alors que Ghisolfi reprendra ce week-end avec la réserve. Ils sont donc quatre à réintégrer le groupe : André, Camara, Niangbo et Dao, ce qui devrait permettre au coach bastiais de bâtir une équipe compétitive pour mener à bien sa mission et remettre sa formation sur les bons rails.
Le Mignan fidèle au poste
Dans le sillage de Denoueix et Gourcuff, l’entraîneur de Vannes s’affirme à son tour comme la valeur montante du grand Ouest. A seulement 34 ans, le jeune technicien breton qui a emmené son équipe du CFA à la Ligue 2 peut être fier de son parcours. Un véritable exploit, quand on sait que le club vannetais a longtemps joué avec le feu en se sauvant notamment in-extremis d’une relégation en CFA2 il y a cinq ans. Pourtant, à l’image de Boulogne cette saison, les durs moments vécus par le passé ont servi pour bâtir quelque chose de solide pour le futur. Avec l’aide de figures emblématiques comme Christophe Le Roux dans son effectif, Le Mignan a su trouver la bonne formule pour accéder au professionnalisme. Et aussi étonnant que cela puisse paraitre, Vannes est aujourd’hui la seule équipe invaincue à domicile avec Strasbourg. Ce qui lui permet de naviguer tranquillement dans la première partie de tableau avec quatre points de plus que le Sporting. Mais attention, le petit poucet breton est en perte de vitesse depuis quelques temps. Mis à part un succès probant contre Auxerre en Coupe de la Ligue, il reste sur trois rencontres sans victoire en championnat et une qualification acquise d’extrême justesse en Coupe de France face à Cherbourg. Une mauvaise série que les bretons voudront certainement clore à l’occasion de la venue du Sporting, mais qui devront faire sans leur capitaine Delhommeau qui purgera son match de suspension. Peut-être le bon moment pour les bastiais d’accrocher quelque chose…

Rédigé par JN le 26 novembre 2008

Mais en fait, c'est le seul club qui a un stade pire que le nôtre non ?

il est mieux..il y a des toilettes

Ah bah forcément, on peut plus s'aligner là...

A la décharge de Caso, Cahu est en reprise et Gomez fait un retour pas dégueulasse.
Bon ok après Jau, c'est inexplicable (et inextricable)

jamais apprécié Jau..l'ai toujours trouvé lymphatique