Mensah

Citation :: Le défenseur de l'Olympique Lyonnais, John Mensah, avait passé la nuit du dimanche 14 septembre en garde à vue après un contrôle de police qui avait dégénéré. Le Ghanéen, qui avait dès lors crié à l'injustice, s'explique ce mercredi matin dans le Parisien. Les policiers auraient soupçonné le joueur, qu'ils n'avaient pas reconnu, d'avoir volé son véhicule, avant de le mettre à terre, de le menoter et de le placer en garde à vue jusqu'au lundi 11h.

Mais Mensah ne veut pas entendre parler d'incompréhension : «Quelle incompréhension ? On ne m'a même pas demandé mes papiers. Je n'étais pas en situation d'excès de vitesse, ni rien d'autre. Je rentrais à mon hôtel pour manger. Les policiers m'ont arrêté et m'ont alors demandé de sortir de ma voiture. Je ne comprenais pas. Ils m'ont traîté comme un criminel avant de me placer en garde puis de me libérer. Depuis que je suis en France c'est le pire moment de ma vie. Les policiers qui pensaient que j'avais volé mon véhicule, se sont excusés aussi bien auprès de moi qu'auprès du président Aulas».

«En tant que chrétien je suis supposé pardonner. C'est ce que j'ai fait même si c'est dur. Toute la confiance et la concentration que j'avais accumulées s'étaient envolées avant le match de la Fiorentina. Je ne pouvais pas jouer. Même face au Havre samedi dernier, je ne me sentais pas spécialement bien. Au début, j'avais envie de porter plainte. Mais le club et mon conseiller m'ont incité à ne pas le faire».

Le défenseur, qui évolue en ce moment au poste de latéral gauche pour pallier l'absence de Fabio Grosso, blessé, a avoué se sentir un peu mieux mais reste très perturbé par ce qui lui est arrivé.

C'est bizarre, ce genre d'histoires n'arrivent qu'aux noirs ...

Plefu a écrit:

Citation :: Le défenseur de l'Olympique Lyonnais, John Mensah, avait passé la nuit du dimanche 14 septembre en garde à vue après un contrôle de police qui avait dégénéré. Le Ghanéen, qui avait dès lors crié à l'injustice, s'explique ce mercredi matin dans le Parisien. Les policiers auraient soupçonné le joueur, qu'ils n'avaient pas reconnu, d'avoir volé son véhicule, avant de le mettre à terre, de le menoter et de le placer en garde à vue jusqu'au lundi 11h.

Mais Mensah ne veut pas entendre parler d'incompréhension : «Quelle incompréhension ? On ne m'a même pas demandé mes papiers. Je n'étais pas en situation d'excès de vitesse, ni rien d'autre. Je rentrais à mon hôtel pour manger. Les policiers m'ont arrêté et m'ont alors demandé de sortir de ma voiture. Je ne comprenais pas. Ils m'ont traîté comme un criminel avant de me placer en garde puis de me libérer. Depuis que je suis en France c'est le pire moment de ma vie. Les policiers qui pensaient que j'avais volé mon véhicule, se sont excusés aussi bien auprès de moi qu'auprès du président Aulas».

«En tant que chrétien je suis supposé pardonner. C'est ce que j'ai fait même si c'est dur. Toute la confiance et la concentration que j'avais accumulées s'étaient envolées avant le match de la Fiorentina. Je ne pouvais pas jouer. Même face au Havre samedi dernier, je ne me sentais pas spécialement bien. Au début, j'avais envie de porter plainte. Mais le club et mon conseiller m'ont incité à ne pas le faire».

Le défenseur, qui évolue en ce moment au poste de latéral gauche pour pallier l'absence de Fabio Grosso, blessé, a avoué se sentir un peu mieux mais reste très perturbé par ce qui lui est arrivé.

C'est bizarre, ce genre d'histoires n'arrivent qu'aux noirs ...

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