| | Nouveau Jeu | |
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Auteur | Message |
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ghjattuvolpa sdinticatu
Nombre de messages : 3841 Age : 53 Localisation : Corsica Date d'inscription : 16/09/2004
| Sujet: Nouveau Jeu Jeu 3 Mar - 13:56 | |
| Il s'agit de trouver une commune de Corse. Pour cela retrouver les personnes correspondant à la définition donnée et prenez la première lettre. Vous aurez alors le village. Cherchons la première lettre voulez vous?
1. À l'instar de François Boucher, ilest considéré comme le peintre de la frivolité, du Rococo. C'est un peu injuste puisqu'il a peint dans bien d'autres registres : grands paysages inspirés de peintres hollandais, peintures religieuses ou mythologiques, notamment. D'un trait virtuose, il savait montrer le tourbillonnement du monde par des gestes expressifs et gracieux ou des drapés pleins de vigueur. il est le dernier peintre d'une époque sur le déclin, ses scènes de genres seront bientôt rendues obsolètes par la dureté néo-classique de David, par la cruauté de la Révolution et celle de l'Empire. Les scènes de genre de X sont volontiers putassières comme par exemple Les hasards heureux de l’escarpolette, fantasme d'un commanditaire libidineux (M. de Saint-Julien, receveur général des biens du clergé) qui donna à l'artiste des conseils de mise en scène : Je désirerais que vous peignissiez Madame sur une escarpolette qu'un évêque mettrait en branle. Vous me placerez de façon, moi, que je sois à portée de voir les jambes de cette belle enfant et mieux même, si vous voulez égayer votre tableau. Mais même ces scènes effectivement frivoles peuvent être lues à un niveau différent, on peut y voir percer, souvent, une inquiétude, un sentiment de fin de fête parfois (et cela rappelle Watteau ou encore le roman Point de lendemain par Vivant-Denon), ou encore une menace diffuse : les couples dans l'intimité, les belles qui s'épouillent, les endormies, tout ce petit monde de grâce et de sympathie est observé par un peintre qui nous rappelle que la jeunesse ne dure pas et que les moments de tendresse lascive sont fugaces et rares. | |
| | | fabrice Cédric Uras
Nombre de messages : 10319 Age : 55 Localisation : Reims Date d'inscription : 03/09/2004
| Sujet: Re: Nouveau Jeu Jeu 3 Mar - 14:58 | |
| Pour le moment je ne peux pas participer, car je croule sous le travail.
Par contre, ce soir (à la maison) après 21h00, je tenterais de répondre à cette énigme, en espérant que personne n'aura la réponse d'ici là.
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| | | Antone Administrateur
Nombre de messages : 21049 Age : 66 Date d'inscription : 02/09/2004
| Sujet: Re: Nouveau Jeu Jeu 3 Mar - 15:39 | |
| si j'ai bien compris, nous n'avons là que la première lettre? | |
| | | ghjattuvolpa sdinticatu
Nombre de messages : 3841 Age : 53 Localisation : Corsica Date d'inscription : 16/09/2004
| Sujet: Re: Nouveau Jeu Jeu 3 Mar - 15:44 | |
| Exactly my dear. Les autres suivront après la réponse. Envoyez les moi en mp! | |
| | | ghjattuvolpa sdinticatu
Nombre de messages : 3841 Age : 53 Localisation : Corsica Date d'inscription : 16/09/2004
| Sujet: Re: Nouveau Jeu Jeu 3 Mar - 16:01 | |
| 2. C'est un des seuls peintre de la «Butte» à être né à Montmartre. Fils de Marie-Christine (Suzanne) Valadon, designer de mode et modèle pour Puvis de Chavanne, Berthe Morisot, Renoir, Toulouse-Lautrec, Edgar Degas. En dépit des belles relations de sa mère, le jeune X, fils illégitime d'un bohème qui était poète, peintre, chanteur mais surtout ivrogne, aurait pu mal tourner. Heureusement, sa mère réussit à lui enseigner la peinture, qui restera toujours sa seule thérapie jusqu'à sa mort. «Sans elle, il eut sombré tragiquement dans l'abîme.» (Francis Carcot, Grasset, 1928.) | |
| | | fabrice Cédric Uras
Nombre de messages : 10319 Age : 55 Localisation : Reims Date d'inscription : 03/09/2004
| Sujet: Re: Nouveau Jeu Jeu 3 Mar - 20:16 | |
| Cette 2° définition concerne-t-elle un autre peintre ou est ce un indice permettant de répondre à la 1° définition ?
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| | | Antone Administrateur
Nombre de messages : 21049 Age : 66 Date d'inscription : 02/09/2004
| Sujet: Re: Nouveau Jeu Ven 4 Mar - 7:39 | |
| c'est un deuxième peintre...dépêche toi Fabrice, j'ai déjà deux lettres | |
| | | fabrice Cédric Uras
Nombre de messages : 10319 Age : 55 Localisation : Reims Date d'inscription : 03/09/2004
| Sujet: Re: Nouveau Jeu Ven 4 Mar - 7:51 | |
| J'ai donné une réponse en message privé hier vers 21h15 et j'ai toujours pas de réponse !!!!! Mais que fait la police Dans la journée, je ne vais pas pouvoir participer, car trop de boulot. On a décroché le marché sur toute une région (tous les centres hospitalier) donc il y a du boulot. . | |
| | | ghjattuvolpa sdinticatu
Nombre de messages : 3841 Age : 53 Localisation : Corsica Date d'inscription : 16/09/2004
| Sujet: Re: Nouveau Jeu Ven 4 Mar - 8:25 | |
| 3. Fils du maître d'école d'une petite ville, il reçoit de ses lectures la révélation de ses goûts artistiques. Lorsque Gainsborough retourna à Londres, bien plus tard, il n'était pas encore connu; il arrivait de la province, qu'il n'avait point quittée, riche d'études faites sur nature; et déjà il avait visité l'Espagne, les côtes de la Méditerranée, l'Italie. Par un effort de volonté, il avait admiré, analysé, décomposé les procédés de Raphaël et ceux de Titien; il avait achevé, dans les galeries de Rome et de Venise, l'éducation commencée sur les bancs de l'école, dans le Traité de peinture de Richardson. Devant la plus élégante lady, devant le bébé le plus anglais, c'est-à-dire doué de la plus éblouissante fraîcheur, il n'oublie pas toujours les maîtres pour ne voir que son modèle: par exemple, dans l'Écolier, qui rappelle Murillo, dans le portrait de mistress Harley en bacchante, où l'artiste s'est trop souvenu de Léonard de Vinci et de Titien. De semblables réminiscences sont plus visibles encore dans le portrait allégorique de mistress Siddons et dans le tableau de Cymon et Iphigénie (sujet qui nous est tout à fait inconnu), souvenir affaibli de Titien. Ses portraits sont des tableaux, et il nous importe peu de connaître le personnage qu'ils représentent ils nous suffisent par eux-mêmes et comme œuvres d'art. Il a le secret de toutes les distinctions, de toutes les grâces de la femme et de l'enfant. Il rend, avec une aisance merveilleuse, les caprices les plus fugitifs de la mode, et sait leur donner le caractère éternel, celui de l'art. La chaste volupté des mères, la candeur et aussi la secrète ardeur des vierges, les étonnements, les naïves gaucheries, les révoltes, les câlineries de l'enfant et ses chairs fermes et roses, il a rendu tout cela sans maniérisme; il en a cueilli le charme, exprimé le parfum. Et de même pour l'homme: habituellement il le choisit jeune, élancé, toujours de grande race, et ne mentant point à son renom de perfection aristocratique et de hautaine élégance. Tous ses personnages, il les met dans leur milieu de vie active, nullement immobilisés, poursuivant le geste interrompu par l'arrivée du peintre. Là est le secret de l'intérêt durable de tant d'œuvres qui ne sont que des portraits. Mais quels portraits! et auquel s'arrêter de préférence! Lequel plutôt que tel autre nous retiendra davantage? Est-ce le noble et jeune marquis de Hastings, si naturellement à l'aise dans son uniforme rouge, l'épée au côté, le doigt aux lèvres, dans l'attitude d'une méditation vague, d'une sorte d'indécision qui va cesser et le rendre à l'action; — est-ce cette fillette effarée ou cette autre (l'Axe d'innocence), se laissant vivre, sans mouvement, au sein de la nature protectrice, — ou cette dernière, la petite princesse Sophia-Mathilda se roulant avec un griffon sur les épais gazons d'un parc? — N'est-ce pas plutôt la belle duchesse de Devonshire luttant du bout du doigt contre les attaques de sa fille à moitié nue, et levant sur sa mère une main qui va ravager l'harmonie de sa coiffure; — ou l'actrice Kitty Fischer, en Cléopâtre aux yeux langoureux, au nez relevé, aux lèvres amoureuses, déposant d'un geste plein d'adorable coquetterie une perle dans une coupe ciselée trop lourde pour sa main? | |
| | | Antone Administrateur
Nombre de messages : 21049 Age : 66 Date d'inscription : 02/09/2004
| Sujet: Re: Nouveau Jeu Ven 4 Mar - 9:12 | |
| sacré Ghjattuvolpa pour mieux nous tromper, il met la solution dans l'énoncé!! Ca m' afait chercher un moment, avant que je comprenne que tu avais tout simplement oublié de neutraliser le patronyme du peintre en question dans les premières phrases. | |
| | | ghjattuvolpa sdinticatu
Nombre de messages : 3841 Age : 53 Localisation : Corsica Date d'inscription : 16/09/2004
| Sujet: Re: Nouveau Jeu Ven 4 Mar - 9:28 | |
| Il ne s'agit pas de Gainsborough, bien évidemment. Mais si ce nom apparaît c'est pas pour rien. OK la phrase est mal tournée mais elle n'est pas de moi | |
| | | ghjattuvolpa sdinticatu
Nombre de messages : 3841 Age : 53 Localisation : Corsica Date d'inscription : 16/09/2004
| Sujet: Re: Nouveau Jeu Ven 4 Mar - 9:28 | |
| Pour le prochain village pourquoi pas des musiciens, puis des sculpteurs, des architectes. | |
| | | ghjattuvolpa sdinticatu
Nombre de messages : 3841 Age : 53 Localisation : Corsica Date d'inscription : 16/09/2004
| Sujet: Re: Nouveau Jeu Ven 4 Mar - 10:48 | |
| Indice pour le 3. Moralité chargez des jpeg o zite | |
| | | ghjattuvolpa sdinticatu
Nombre de messages : 3841 Age : 53 Localisation : Corsica Date d'inscription : 16/09/2004
| Sujet: Re: Nouveau Jeu Ven 4 Mar - 12:13 | |
| 4. Marqué par l'enseignement de Jacques-Louis David dont il se détache cependant assez vite, il a surtout été influencé par Raphaël. On a d'ailleurs souvent décrit son style comme une double inspiration de ces deux maîtres.
L'élève de David
Né à Montauban, il est formé par son père sculpteur et peintre qui lui apprend le dessin ainsi que le violon. Entré à l'Académie royale de Toulouse en 1791, il fréquente à partir de 1797 l'atelier du peintre néoclassique Jacques-Louis David à Paris, avant de remporter le prix de Rome en 1801 pour les Ambassadeurs d'Agamemnon (école des beaux-arts, Paris).
Premier séjour à Rome
De 1806 à 1820, il séjourne à Rome, où s'affirment ses dons exceptionnels pour le dessin. C'est là qu'il s'imprègne de l'influence de Raphaël dont témoignent ses nombreux portraits à la mine de plomb. De cette période romaine date Jupiter et Thétis (1811, Musée d'Aix-en-Provence), œuvre très mal reçue par le public de l'époque, mais déjà caractéristique de son style.
Les trompettes de la renommée
En 1820, il quitte Rome pour Florence, où il reste quatre ans et travaille à une commande du gouvernement français : Vœu de Louis XIII (1820, cathédrale de Montauban). Présenté au Salon de 1824, son tableau connaît un véritable triomphe. Son retour à Paris est marqué par le succès ; il est promu par la critique chef de file du courant néoclassique qui s'oppose alors au jeune mouvement romantique mené par Eugène Delacroix et Théodore Géricault. Pendant dix années, il forme dans son atelier parisien de nombreux peintres (notamment Théodore Chassériau et Hippolyte Flandrin) et, parmi de nombreuses commandes, réalise l'Apothéose d'Homère (1827) pour le plafond de la salle Clarac du Louvre.
Très amer au lendemain du mauvais accueil que reçoit son Martyre de saint Symphorien (1834, cathédrale d'Autun), il repart pour l'Italie et accepte en 1835 la direction de l'Académie de France (villa Médicis) à Rome. à l'issue de son mandat de sept ans, conduit avec une irréprochable rigueur, il revient à Paris où il est adulé par la critique. Sa double position de peintre et de porte-parole officiel de l'art académique contre le romantisme se renforce et il est promu commandeur de la Légion d'honneur en 1845. Lors de l'Exposition universelle de 1855, il se voit décerner une médaille d'or, au même titre que son principal rival, Delacroix.
Un grand portraitiste
Outre ses nombreuses peintures décoratives, ou encore ses cartons de vitraux pour la chapelle royale de Dreux, ses portraits marquent particulièrement l'évolution du genre. Ses qualités de dessinateur et son acuité psychologique alliées à la précision du trait en font en effet un portraitiste de grand talent. M. Bertin (1832, Musée du Louvre, Paris), Mme Moitessier (1851, National Gallery of Art, Washington) etla Comtesse d'Haussonville (1845, Frick Collection, New York) sont à cet égard des exemples très représentatifs. Davantage que la représentation fidèle du modèle, c'est le trait distinctif qu'il recherche et sur lequel il met l'accent.
La vieillesse n'entame en rien sa productivité : il livre, à l'âge de quatre-vingt-deux ans, le célèbre Bain turc (1862, Musée du Louvre, Paris), sommet de sa maîtrise du nu féminin. à sa mort en 1867, il lègue la majeure partie de son œuvre à la ville de Montauban. Par-delà son appartenance au mouvement néoclassique qui parfois ne le reconnaît pas, il est plus difficilement classable que ne l'ont cru ses contemporains. Il est en réalité l'initiateur d'un courant artistique dont les répercussions dépassent de beaucoup son siècle et que l'on a nommé après lui (rêvez pas vous n'aurez pas le nom). De nombreux artistes, parmi lesquels Edgar Degas et Pierre-Auguste Renoir dans la seconde moitié du XIXe siècle, puis Henri Matisse et Pablo Picasso au XXe siècle, se sont réclamé en effet de son œuvre. | |
| | | fabrice Cédric Uras
Nombre de messages : 10319 Age : 55 Localisation : Reims Date d'inscription : 03/09/2004
| Sujet: Re: Nouveau Jeu Ven 4 Mar - 12:37 | |
| Tu me dis si j'ai bon, car je dois reprendre le boulot . | |
| | | ghjattuvolpa sdinticatu
Nombre de messages : 3841 Age : 53 Localisation : Corsica Date d'inscription : 16/09/2004
| Sujet: Re: Nouveau Jeu Ven 4 Mar - 13:35 | |
| 5. Né à Milan, cet aristocrate milanais commence sa carrière comme dessinateur de cartons de tapisseries et comme maître verrier — travaillant notamment avec son père sur les vitraux du dôme de la cathédrale de Milan —, avant de mettre ses talents au service des princes de Habsbourg, à la cour de Vienne, entre 1562 et 1587, où ses œuvres viennent enrichir la Wunderkammer (cabinet de curiosités) de l'empereur Rodolphe II.
Spécialisée dans les « caprices », sa pratique picturale se caractérise par l'élaboration de portraits allégoriques juxtaposant végétaux ou minéraux, animaux ou objets : les « têtes composées », qui montrent des formes humaines symbolisant les saisons (série des quatre saisons du Louvre, dont l'Automne daté de 1573) et les éléments (le Feu et l'Eau, 1572, Kunsthistorisches Museum, Vienne) ou personnification des métiers (le Bibliothécaire, le Jardinier).
Parfois satiriques, peut-être métaphysiques mais toujours très décoratifs, ses tableaux à la fois ludiques et étranges, ont été considérés comme de véritables curiosités, bien que reconnus fort tard, à la faveur de la redécouverte par les surréalistes du jeu de mots visuel. | |
| | | fabrice Cédric Uras
Nombre de messages : 10319 Age : 55 Localisation : Reims Date d'inscription : 03/09/2004
| Sujet: Re: Nouveau Jeu Ven 4 Mar - 13:39 | |
| J'ai trouvé le nom du village après 4 énigmes (le tout entre 12h30 et 13h30).
Je ne donne pas la réponse pour permettre à Antone de continuer à chercher.
. | |
| | | Antone Administrateur
Nombre de messages : 21049 Age : 66 Date d'inscription : 02/09/2004
| Sujet: Re: Nouveau Jeu Ven 4 Mar - 13:45 | |
| ben je pense avoir trouvé aussi | |
| | | ghjattuvolpa sdinticatu
Nombre de messages : 3841 Age : 53 Localisation : Corsica Date d'inscription : 16/09/2004
| Sujet: Re: Nouveau Jeu Ven 4 Mar - 13:53 | |
| Fragonard Utrillo Reynolds Ingres Arcimboldo Nattier Ivanov
Le tout est une oeuvre de Peyo. Vous aurez tous reconnu Furiani où jouen les petits hommes bleus | |
| | | fabrice Cédric Uras
Nombre de messages : 10319 Age : 55 Localisation : Reims Date d'inscription : 03/09/2004
| Sujet: Re: Nouveau Jeu Ven 4 Mar - 14:05 | |
| Tu sembles aimer la peinture.
Connais-tu Bernard Peltriaux ?
C'était un artiste Rémois qui à fait des huiles et également des lithographies.
. | |
| | | ghjattuvolpa sdinticatu
Nombre de messages : 3841 Age : 53 Localisation : Corsica Date d'inscription : 16/09/2004
| Sujet: Re: Nouveau Jeu Ven 4 Mar - 14:13 | |
| Noooooooooooooooooooooooooon Tu connais Jean Le Garignon ce grand peintre de la Corse? | |
| | | Antone Administrateur
Nombre de messages : 21049 Age : 66 Date d'inscription : 02/09/2004
| Sujet: Re: Nouveau Jeu Ven 4 Mar - 14:18 | |
| avec un nom pareil, l'aurait mieux fait d'aller peindre en Bretagne | |
| | | FILIPPUNIULINCU Pascal Chimbonda
Nombre de messages : 8618 Age : 64 Localisation : cu u fucile Date d'inscription : 07/09/2004
| Sujet: Re: Nouveau Jeu Ven 4 Mar - 14:52 | |
| J'ai tout lu en 20 minutes, et maintenant j'ai mal à la tête Et puis de toutes façons la peinture et moi, ça fait 2 Je n'ai jamais réussi à comprendre (comme on dit) une peinture et ce n'est pas demain la veille que ça commencera Encore que j'ai bien un nom mais ce n'est pas qu'un peintre : C'est Vasarely, j'ai bien aimé le musée qui lui est consacré et que j'ai visité à Aix en Provence
FORZA BASTIA PER SEMPRE FILIPPU | |
| | | Antone Administrateur
Nombre de messages : 21049 Age : 66 Date d'inscription : 02/09/2004
| Sujet: Re: Nouveau Jeu Ven 4 Mar - 14:55 | |
| comprendre la peinture n'a pas d'importance, il faut la ressentir, ça plait ou pas, ça ne s'explique pas..comme Ornella Muti, tu sais qu'elle est belle et tu ne cherches pas à nalyser les lignes de fuite, les courbes ou les intentions du créateur, tu es ému, c'est tout! | |
| | | fabrice Cédric Uras
Nombre de messages : 10319 Age : 55 Localisation : Reims Date d'inscription : 03/09/2004
| Sujet: Re: Nouveau Jeu Ven 4 Mar - 15:00 | |
| - ghjattuvolpa a écrit:
- Noooooooooooooooooooooooooon
Tu connais Jean Le Garignon ce grand peintre de la Corse? Non également. Par contre j'ai à la maison un tableau de O.P. Giovanoni (orthographe non garantie). C'est un héritage de ma grand mère. . | |
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