Un stade à Bastia !

c'est pas une pétition, c'est une manifestation avec blocage qu'il faut faire et se pointer à chaque réunion de la CAB.

l un n empeche pas l autre

V a écrit:

c'est pas une pétition, c'est une manifestation avec blocage qu'il faut faire et se pointer à chaque réunion de la CAB.

On te laisse l'organiser

Ghjuvanni a écrit:

V a écrit:

c'est pas une pétition, c'est une manifestation avec blocage qu'il faut faire et se pointer à chaque réunion de la CAB.

On te laisse l'organiser

si je l'organise il n'y aura personne derrière malheureusement

Occupation de la CAB ce matin par Bastia 1905

Bravo à eux

Quand on sait que le cout de construction de la seule tribune Nord (dont on voit l'état avancé de délabrement) a couté a elle seule la globalité du cout de construction du stade de Sedan.

Quand on voit les appels d'offres et les réponses apportées.

Corruption, surfacturations, une seule entreprise sur l'ile capable de construire un stade et qui tient tout le marché du BTP, le constat est accablant.

acqua in bocca..il vaut mieux ne rien dire

On n'a vraiment rien à envier à Naples ou à la Calabre niveau corruption

sans parler de corruption parce que les choses se feraient, très cher, mais elles se feraient, je crois qu'on a affaire tout simplement à des gens très cupides

le prix du kilo d'acier est 2 fois plus élevé en corse que sur le continent!!!

y a pas que la CAB......

une petite visite à la mairie de Furiani et à la SNC V......... pourrait ètre sympa

Les supporters du SCB veulent un stade digne de ce nom


La manifestation organisée hier après-midi par les supporters du Sporting Club de Bastia fut un succès. Près de 200 personnes ont participé à ce rassemblement dont l'objectif essentiel était de réclamer la création d'un vrai stade à Furiani. Pour beaucoup, cette revendication est tout à fait légitime. Surtout, si l'on prend en compte que depuis le drame de Furiani, le 5 mai 1992, notre ville ne dispose toujours pas d'un stade de football digne de ce nom. Ce qui, avouons-le, est carrément inadmissible. En l'espace de seize ans, aucun élu n'a réussi à faire construire un véritable stade, accueillant et confortable. C'est pour cette (bonne) raison qu'a donc eu lieu la manifesattion d'hier. Aux côtés des supporters, passionnés mais très responsables de leurs actes, on notait la présence du président du SCB Charles Orlanducci, ainsi que plusieurs élus, notamment les conseillers municipaux « d'Inseme per Bastia » Gilles Simeoni, Fabienne Giovannini, Michel Castellani et Jean-Pierre Cristofari. Etait également présente la conseillère territoriale nationaliste Rosa Prosperi et, sur son fauteuil roulant, Paul Calassi, l'une des victimes de la catastrophe.

« Depuis trop longtemps, cette situation qui perdure est lamentable et honteuse, ont expliqué les supporters. Nous ne pouvons plus supporter cet état de fait. Nous souhaitons que nos élus fassent le nécessaire dans les plus brefs délais. Nous ne voulons plus attendre le bon vouloir des uns et des autres. La comédie, qui ne fait d'ailleurs rire personne, a assez duré. Les élus de la CTC, du conseil général de Haute-Corse, de la mairie et de la communauté d'agglomération de Bastia, tout particulièrement Emile Zuccarelli, doivent se mobiliser au plus vite. Quant aux entrepreneurs qui, paraît-il, surenchérissent à chaque appel d'offres, nous leur demandons d'arrêter de ne penser qu'aux gros sous. Qu'ils pensent un peu au sport, ça sera mieux pour tout le monde. Nous attendons aujourd'hui des réponses claires, précises et concrètes. Bastia doit avoir un stade et les travaux doivent débuter dans les prochaines semaines et non les prochains mois comme nous l'entendons un peu trop ces derniers jours. Nous resterons vigilants et mènerons, si besoin, d'autres actions d'envergure pour faire aboutir notre revendication ».
Hier, en fin d'après-midi, tout le monde comprenait la colère des supporters qui ont bloqué la circulation au rond-point Noguès et brulé une poubelle. Il faut savoir en effet qu'aucun élu n'a daigné les recevoir pour évoquer avec eux ce problème ô combien récurrent.