| | Nouvelle Génération | |
| | Auteur | Message |
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absolut bastia Raaaaaaaaaaleur
Nombre de messages : 7718 Age : 58 Localisation : dans mon bunker en 1ère ligne Date d'inscription : 18/11/2004
| | | | Pampasgiolu Jean-Christophe Debu
Nombre de messages : 3691 Age : 46 Localisation : Infernu tarraniu !! Date d'inscription : 17/09/2004
| Sujet: Re: Nouvelle Génération Sam 12 Jan - 13:17 | |
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| | | absolut bastia Raaaaaaaaaaleur
Nombre de messages : 7718 Age : 58 Localisation : dans mon bunker en 1ère ligne Date d'inscription : 18/11/2004
| Sujet: Re: Nouvelle Génération Sam 12 Jan - 14:24 | |
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| | | ghjattuvolpa sdinticatu
Nombre de messages : 3841 Age : 53 Localisation : Corsica Date d'inscription : 16/09/2004
| Sujet: Re: Nouvelle Génération Sam 12 Jan - 14:30 | |
| MM parlera à Edmond, je me charge de JG. Mais il faut des places sur la liste et un projet commun. Se réunir pour voter contre ne fait pas une bonne politique. | |
| | | absolut bastia Raaaaaaaaaaleur
Nombre de messages : 7718 Age : 58 Localisation : dans mon bunker en 1ère ligne Date d'inscription : 18/11/2004
| Sujet: Re: Nouvelle Génération Mar 15 Jan - 21:26 | |
| - Citation :
-
Emile Zuccarelli sera bel et bien candidat à sa propre succession
(Frédéric Bertocchini - Alta Frequenza) - Emile Zuccarelli sera bel et bien candidat à sa propre succession lors du prochain scrutin des élections municipales à Bastia. Battu lors des dernières législatives par son adversaire UMP, le maire de Bastia brigue ainsi un quatrième mandat dans la deuxième ville de Corse. Cette annonce sera faite aujourd’hui (mardi) lors d’un déjeuner de presse, auquel notre rédaction n’a pas été conviée.
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| | | Pampasgiolu Jean-Christophe Debu
Nombre de messages : 3691 Age : 46 Localisation : Infernu tarraniu !! Date d'inscription : 17/09/2004
| Sujet: Re: Nouvelle Génération Mer 16 Jan - 10:57 | |
| Sarebbe ora di mettelu à a ritirata u vechju Zuccarelli | |
| | | Pierfran Morfale
Nombre de messages : 8170 Age : 44 Localisation : Aix en Provence/Oletta Date d'inscription : 08/09/2004
| Sujet: Re: Nouvelle Génération Mer 16 Jan - 10:58 | |
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| | | absolut bastia Raaaaaaaaaaleur
Nombre de messages : 7718 Age : 58 Localisation : dans mon bunker en 1ère ligne Date d'inscription : 18/11/2004
| Sujet: Re: Nouvelle Génération Jeu 24 Jan - 14:44 | |
| - Citation :
UMP, l'heure du second choix
| | | C'est finalement Jean-Louis Albertini qui conduira la liste de droite aux prochaines municipales de Bastia. Au-delà du feuilleton ubuesque qui a conduit à cette désignation du bout des lèvres, c'est surtout l'état de capilotade dans lequel se trouve l'UMP bastiais qui interpelle.
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Jean-Louis Albertini ou l'homme providentiel. Une nouvelle fois, le neurologue bastiais vole au secours de l'UMP, pour mener les troupes à la conquête de la mairie, face à l'ogre Zuccarelli. Un tel scénario, on s'en doute, ravit Albertini. Et le désormais candidat de droite, qui décidément a le sens du sacrifice, le déroule à satiété à la presse depuis sa désignation officielle, le 18 décembre.
Mais du côté de l'UMP, en revanche, on ne croit plus aux contes de Noël depuis bien longtemps. Les circonstances houleuses de la précampagne pour les municipales laissent, apparemment, un arrière-goût amer aux militants. Quelques minutes après l'officialisation de la candidature d'Albertini, un vieux grognard chiraquien s'épanche : « On a déjà perdu trois fois d'affilée avec lui, ça fera quatre... on commence à être habitué ». « On avait un boulevard pour la mairie, et on a tout gâché », lâche, résignée, une élue du département.
Habitué aux déroutes, l'UMP bastiais avait retrouvé des couleurs
C'est peu de dire que Jean-Louis Albertini n'était pas le premier choix de la fédération départementale. Habituée aux déroutes municipales, le mouvement avait retrouvé des couleurs dans le sillage de la victoire au finish de Gandolfi-Scheit aux législatives de juin dernier. Extatiques, les militants, au soir du résultat, scandaient « Jean-Louis à la mairie » devant un Zuccarelli mi-amusé, mi-dépité. Mais ce n'était pas Jean-Louis Albertini que les partisans de Sauveur portaient déjà rond-point Nogues, mais bien Jean-Louis Milani, suppléant bonhomme du nouveau député, et conseiller général à la solide assise bastiaise. Dans l'euphorie, les deux se tombaient d'ailleurs dans les bras devant les objectifs les photographes, jurant que la droite, enfin rassemblée, offrirait un front uni aux prochaines échéances électorales. Ah ! ces serments des soirs de liesse...
Une chose est sûre, le leader de l'UMP bastiaise est alors Jean-Louis Milani. Et le sondage commandé en septembre par les instances nationales du parti, à Paris, ne fait que le confirmer. Derrière un Zuccarelli bien moins moribond que certains veulent le croire, et crédité de plus de 40 % des intentions de vote, Milani sort deuxième, à 17 %, soit quatre points de mieux que Jean-Louis Albertini. L'investiture devait donc n'être qu'une formalité. Mais les chaleurs estivales ont semble-t-il fait fondre les sages résolutions. Le vice-président de l'Assemblée de Corse se verrait bien, une nouvelle fois, conduire sa liste, et ronge son frein. Le sondage va mettre au jour les premières dissonances, et donner l'occasion à Albertini de se livrer à un fort bel exercice d'absurdité réthorique, aux faux airs de chantage : « Le seul moyen pour la droite de l'emporter, c'est de faire bloc ; mais si ce n'est pas derrière moi, je ne m'interdis pas d'y aller de mon côté ». Comme le disent les Anglo-saxons, « My way or the highway ». « Moi ou le chaos », en somme.
La guerre des Jean-Louis
L'UMP de Haute-Corse n'en est qu'au début de ses déconvenues. En coulisse, les ténors locaux du parti s'agitent pour faire entendre raison au docteur. Et soutiennent à fond Jean-Louis Milani, qui monte même à Paris rencontrer Gaudin et Devedjian, les responsables nationaux des investitures UMP, qui l'accueillent d'un souriant « Voilà le nouveau maire de Bastia ». Et pourtant, le très populaire conseiller général du 1er canton n'annonce toujours pas officiellement sa candidature, et évite la presse, favorisant toutes les rumeurs, jusqu'au cafouillage (voir encadré), où il fait officiellement savoir que finalement, il se retire de la course ! La nouvelle fait l'effet d'un tremblement de terre à droite. D'autant que le peu d'éclaircissements donnés par Milani laisse place à toutes les interprétations : réticence à s'opposer à Albertini, pour qui il a une vraie sympathie ? Pressions plus ou moins souterraines de ce dernier pour l'écarter ? Craintes de voir deux listes concurrentes à droite ruiner les chances de l'UMP ? Peur du combat en première ligne, face à la forteresse Zuccarelli ? Ou tout simplement peut-être ces raisons familiales qu'il a invoquées, et qu'on se doit de respecter...
Toujours est-il que Milani sort très affaibli de cette ultime volte-face qui pourrait lui coûter cher lors des cantonales. Quant à l'UMP, elle se retrouve carrément sans candidat. D'autant qu'Albertini, du Québec où il se trouve depuis plusieurs semaines, affirme ne plus du tout être sûr d'y aller ! A l'UMP, on fulmine. « Il veut l'investiture, mais il part un mois au Québec ! c'est ici qu'il devrait être ! » entend-on lors de la réunion de crise qui se tient, fin novembre, dans les locaux de la permanence du parti, à Bastia. Certains y voient même l'exil boudeur d'un candidat qui veut se faire désirer.
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Une nouvelle fois, le candidat de droite n'a pas sa carte UMP...
A l'absence d'Albertini, Ange Santini, dans un numéro d'équilibriste, apporte une réponse qui en dit long sur l'état de la fédération départementale : « Si Jean-Louis Albertini n'est pas là aujourd'hui, c'est tout simplement qu'il n'a pas été invité. Et s'il n'a pas été invité, c'est tout simplement qu'il ne fait pas partie du mouvement ». Pathétique et savoureux. Une nouvelle fois, le parti s'apprête à présenter une tête de liste qui n'a pas sa carte UMP. Voilà qui en dit long sur l'état de la fédération...
« A la seconde où on a su qu'il (Milani) ne se présentait pas, on a aussi su qu'on en reprenait pour quarante ans de galère » résume un cacique du parti. Ce que beaucoup pensent, c'est que Jean-Louis Milani ne s'est pas présenté surtout parce que l'UMP de Haute-Corse, un temps galvanisé par la miraculeuse victoire de Gandolfi-Scheit, est dans le désordre le plus total, et en aucun cas prêt à mener une campagne aussi longue et dure. « Rien n'est en ordre de marche, on n'a pas de gens qui réfléchissent, on n'a pas de base solide, aucune structure, et tout le monde se tire dans les pattes en permanence. De toute façon, on a déjà perdu. Essayons de ne pas être ridicules » commente un autre militant.
Au final, sans surprise, Jean-Louis Albertini, qui affirme avoir été prêt à se ranger derrière Milani, ce que confirment les plus hautes instances régionales, va donc conduire la droite aux prochaines municipales, « par devoir moral », et compte sur « l'enthousiasme des militants ». Vu l'engouement que sa candidature a provoqué à l'UMP, espérons qu'il ait d'autres atouts dans son sac. Une chose est sûre, du côté de la mairie, en attendant, les sourires ont resurgi sur tous les visages...
| | | Sébastien Bonifay
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| | | Swedish Tenimi Tchernia's addict
Nombre de messages : 3613 Age : 42 Localisation : Je sais plus trop là... Date d'inscription : 15/05/2006
| Sujet: Re: Nouvelle Génération Jeu 24 Jan - 15:27 | |
| Et ben c'est encore pas cette année que l'UMP fera partir Zuccarrelli... | |
| | | Pampasgiolu Jean-Christophe Debu
Nombre de messages : 3691 Age : 46 Localisation : Infernu tarraniu !! Date d'inscription : 17/09/2004
| Sujet: Re: Nouvelle Génération Jeu 24 Jan - 17:01 | |
| - Citation :
UMP, l'heure du second choix
| | | C'est finalement Jean-Louis Albertini qui conduira la liste de droite aux prochaines municipales de Bastia. Au-delà du feuilleton ubuesque qui a conduit à cette désignation du bout des lèvres, c'est surtout l'état de capilotade dans lequel se trouve l'UMP bastiais qui interpelle.
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Jean-Louis Albertini ou l'homme providentiel. Une nouvelle fois, le neurologue bastiais vole au secours de l'UMP, pour mener les troupes à la conquête de la mairie, face à l'ogre Zuccarelli. Un tel scénario, on s'en doute, ravit Albertini. Et le désormais candidat de droite, qui décidément a le sens du sacrifice, le déroule à satiété à la presse depuis sa désignation officielle, le 18 décembre.
Mais du côté de l'UMP, en revanche, on ne croit plus aux contes de Noël depuis bien longtemps. Les circonstances houleuses de la précampagne pour les municipales laissent, apparemment, un arrière-goût amer aux militants. Quelques minutes après l'officialisation de la candidature d'Albertini, un vieux grognard chiraquien s'épanche : « On a déjà perdu trois fois d'affilée avec lui, ça fera quatre... on commence à être habitué ». « On avait un boulevard pour la mairie, et on a tout gâché », lâche, résignée, une élue du département.
Habitué aux déroutes, l'UMP bastiais avait retrouvé des couleurs
C'est peu de dire que Jean-Louis Albertini n'était pas le premier choix de la fédération départementale. Habituée aux déroutes municipales, le mouvement avait retrouvé des couleurs dans le sillage de la victoire au finish de Gandolfi-Scheit aux législatives de juin dernier. Extatiques, les militants, au soir du résultat, scandaient « Jean-Louis à la mairie » devant un Zuccarelli mi-amusé, mi-dépité. Mais ce n'était pas Jean-Louis Albertini que les partisans de Sauveur portaient déjà rond-point Nogues, mais bien Jean-Louis Milani, suppléant bonhomme du nouveau député, et conseiller général à la solide assise bastiaise. Dans l'euphorie, les deux se tombaient d'ailleurs dans les bras devant les objectifs les photographes, jurant que la droite, enfin rassemblée, offrirait un front uni aux prochaines échéances électorales. Ah ! ces serments des soirs de liesse...
Une chose est sûre, le leader de l'UMP bastiaise est alors Jean-Louis Milani. Et le sondage commandé en septembre par les instances nationales du parti, à Paris, ne fait que le confirmer. Derrière un Zuccarelli bien moins moribond que certains veulent le croire, et crédité de plus de 40 % des intentions de vote, Milani sort deuxième, à 17 %, soit quatre points de mieux que Jean-Louis Albertini. L'investiture devait donc n'être qu'une formalité. Mais les chaleurs estivales ont semble-t-il fait fondre les sages résolutions. Le vice-président de l'Assemblée de Corse se verrait bien, une nouvelle fois, conduire sa liste, et ronge son frein. Le sondage va mettre au jour les premières dissonances, et donner l'occasion à Albertini de se livrer à un fort bel exercice d'absurdité réthorique, aux faux airs de chantage : « Le seul moyen pour la droite de l'emporter, c'est de faire bloc ; mais si ce n'est pas derrière moi, je ne m'interdis pas d'y aller de mon côté ». Comme le disent les Anglo-saxons, « My way or the highway ». « Moi ou le chaos », en somme.
La guerre des Jean-Louis
L'UMP de Haute-Corse n'en est qu'au début de ses déconvenues. En coulisse, les ténors locaux du parti s'agitent pour faire entendre raison au docteur. Et soutiennent à fond Jean-Louis Milani, qui monte même à Paris rencontrer Gaudin et Devedjian, les responsables nationaux des investitures UMP, qui l'accueillent d'un souriant « Voilà le nouveau maire de Bastia ». Et pourtant, le très populaire conseiller général du 1er canton n'annonce toujours pas officiellement sa candidature, et évite la presse, favorisant toutes les rumeurs, jusqu'au cafouillage (voir encadré), où il fait officiellement savoir que finalement, il se retire de la course ! La nouvelle fait l'effet d'un tremblement de terre à droite. D'autant que le peu d'éclaircissements donnés par Milani laisse place à toutes les interprétations : réticence à s'opposer à Albertini, pour qui il a une vraie sympathie ? Pressions plus ou moins souterraines de ce dernier pour l'écarter ? Craintes de voir deux listes concurrentes à droite ruiner les chances de l'UMP ? Peur du combat en première ligne, face à la forteresse Zuccarelli ? Ou tout simplement peut-être ces raisons familiales qu'il a invoquées, et qu'on se doit de respecter...
Toujours est-il que Milani sort très affaibli de cette ultime volte-face qui pourrait lui coûter cher lors des cantonales. Quant à l'UMP, elle se retrouve carrément sans candidat. D'autant qu'Albertini, du Québec où il se trouve depuis plusieurs semaines, affirme ne plus du tout être sûr d'y aller ! A l'UMP, on fulmine. « Il veut l'investiture, mais il part un mois au Québec ! c'est ici qu'il devrait être ! » entend-on lors de la réunion de crise qui se tient, fin novembre, dans les locaux de la permanence du parti, à Bastia. Certains y voient même l'exil boudeur d'un candidat qui veut se faire désirer.
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Une nouvelle fois, le candidat de droite n'a pas sa carte UMP...
A l'absence d'Albertini, Ange Santini, dans un numéro d'équilibriste, apporte une réponse qui en dit long sur l'état de la fédération départementale : « Si Jean-Louis Albertini n'est pas là aujourd'hui, c'est tout simplement qu'il n'a pas été invité. Et s'il n'a pas été invité, c'est tout simplement qu'il ne fait pas partie du mouvement ». Pathétique et savoureux. Une nouvelle fois, le parti s'apprête à présenter une tête de liste qui n'a pas sa carte UMP. Voilà qui en dit long sur l'état de la fédération...
« A la seconde où on a su qu'il (Milani) ne se présentait pas, on a aussi su qu'on en reprenait pour quarante ans de galère » résume un cacique du parti. Ce que beaucoup pensent, c'est que Jean-Louis Milani ne s'est pas présenté surtout parce que l'UMP de Haute-Corse, un temps galvanisé par la miraculeuse victoire de Gandolfi-Scheit, est dans le désordre le plus total, et en aucun cas prêt à mener une campagne aussi longue et dure. « Rien n'est en ordre de marche, on n'a pas de gens qui réfléchissent, on n'a pas de base solide, aucune structure, et tout le monde se tire dans les pattes en permanence. De toute façon, on a déjà perdu. Essayons de ne pas être ridicules » commente un autre militant.
Au final, sans surprise, Jean-Louis Albertini, qui affirme avoir été prêt à se ranger derrière Milani, ce que confirment les plus hautes instances régionales, va donc conduire la droite aux prochaines municipales, « par devoir moral », et compte sur « l'enthousiasme des militants ». Vu l'engouement que sa candidature a provoqué à l'UMP, espérons qu'il ait d'autres atouts dans son sac. Une chose est sûre, du côté de la mairie, en attendant, les sourires ont resurgi sur tous les visages...
| | | Sébastien Bonifay
|
Parechje cose.. Ghjà ùn hè micca Bonifay chì hà scrittu issu articulu ma unu chì ùn hà micca avutu u CURAGIU di mette u so nome... Dopu ùn hè micca partutu un mese in Quebec ma una settimana di nuvembre è una di dicembre..è micca per e vacanze nè per fassi curà cum'ellu si dice in Bastia...Face i so affari prufessiunali Dopu,sò cuntentu ch'ellu ùn appia mai pigliatu a so carta à l'UMP !! Per compie,hè vera chè l'UMP ùn hà micca una squadra cumpetente in Bastia,ma ùn hè micca què chì hà fattu fughje Milani...s'è vo vulete a verità circate à sapenne di più ma per avà nimu ùn l'hà detta o scritta !! | |
| | | absolut bastia Raaaaaaaaaaleur
Nombre de messages : 7718 Age : 58 Localisation : dans mon bunker en 1ère ligne Date d'inscription : 18/11/2004
| Sujet: Re: Nouvelle Génération Jeu 24 Jan - 19:00 | |
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| | | Pampasgiolu Jean-Christophe Debu
Nombre de messages : 3691 Age : 46 Localisation : Infernu tarraniu !! Date d'inscription : 17/09/2004
| Sujet: Re: Nouvelle Génération Ven 25 Jan - 7:54 | |
| Iè ma ùn hè micca Sebastien chì l'hà scrittu... | |
| | | Pampasgiolu Jean-Christophe Debu
Nombre de messages : 3691 Age : 46 Localisation : Infernu tarraniu !! Date d'inscription : 17/09/2004
| Sujet: Re: Nouvelle Génération Ven 25 Jan - 17:22 | |
| Cosa sò tutti st'avatar? | |
| | | absolut bastia Raaaaaaaaaaleur
Nombre de messages : 7718 Age : 58 Localisation : dans mon bunker en 1ère ligne Date d'inscription : 18/11/2004
| Sujet: Re: Nouvelle Génération Ven 25 Jan - 17:24 | |
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| | | Pampasgiolu Jean-Christophe Debu
Nombre de messages : 3691 Age : 46 Localisation : Infernu tarraniu !! Date d'inscription : 17/09/2004
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| Sujet: Re: Nouvelle Génération | |
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| | | | Nouvelle Génération | |
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