la loi du silence

France 2 consacrait un reportage au magasin Franprix de Mahmed. Des images chocs.

ICI = Video du Franprix de Mahmed



7H15 : Le franprix de Saint Denis de nouveau attaqué hier après midi
Mahmed Abderrahmen a 54 ans, il est gérant du magasin Franprix du quartier du Franc Moisin à Mahmed Abderrahmen. Il ose briser la loi du silence

Racket et violence en France , Mahmed Abderrahmen devrait etre recu par la ministre de l'interieur , actuellement un soixantaine de CRS sont en "protection" devant le supermarché Franprix de St Denis (situé en face du Stade de France)

Citation :

30 août 15:33 - BOBIGNY (AFP) - Attaqué ou agressé trois fois en deux mois, le patron d'une supérette de Saint-Denis (Seine-Saint-Denis) qui envisageait de fermer boutique y a renoncé après avoir reçu des assurances au ministère de l'Intérieur, où il a été reçu jeudi.

La ministre de l'Intérieur Michèle Alliot-Marie (g) rencontre Mahmed Abderrahmen, le 19 juillet 2007 à Saint-Denis

Mahmed Abderrahmen va disposer d'une protection policière accrue, a-t-il annoncé après avoir été reçu par le directeur de cabinet du ministre de l'Intérieur Michèle Alliot-Marie, en déplacement à la Réunion jusqu'à vendredi.

"La police va tout faire pour m'aider et pour que la France reste un pays de droit", a-t-il déclaré devant le ministère, "fatigué" et boitant à la suite de sa dernière agression survenue mercredi.

Au ministère de l'Intérieur, on a confirmé que des "moyens de sécurisation renforcés sont mis en place" autour de la supérette et dans son quartier des Francs-Moisins, réputé sensible.

"Tout est mis en oeuvre pour que les enquêtes judiciaires", ouvertes à la suite des agressions, "débouchent rapidement", a-t-on ajouté, et un "effort" sur la vidéosurveillance va être entrepris. Michèle Alliot-Marie ira "revoir" M. Abderrahmen "à la première occasion".

Début juin Mahmed Abderrahmen a repris un supermarché "Franprix" aux Francs-Moisins, cible auparavant de "voyous" qui ont "ruiné", selon lui, son prédécesseur.

"Moi, j'ai toujours dit que je ne me laisserai pas faire" a-t-il confié jeudi matin à l'AFP. Mais très vite, à l'entendre, les agressions et tentatives de racket se sont multipliées.

Début juillet, il est blessé lors d'une première attaque. Le bras en écharpe, il interpelle Mme Alliot-Marie, en visite dans le quartier, qui lui promet de s'intéresser au dossier.

Le 27 août il est frappé aux jambes à coups de battes de base-balle, par surprise.

Mercredi, la supérette a été envahie par une vingtaine de jeunes gens ayant tenté de s'emparer d'une caisse enregistreuse.

Une source proche de l'enquête a qualifié cette intrusion d'"agression classique à but crapuleux" n'ayant pas "forcément de lien" avec les deux précédentes.

Après avoir demandé, lors d'interviews, à rencontrer le président Sarkozy, M. Abderrahmen, qui a menacé de fermer boutique, a finalement obtenu d'être reçu jeudi midi par l'Intérieur. Il y a renoncé après son entrevue.

"Ils ont attaqué hier (mercredi) avec des gaz", a dit le commerçant. "Tous les jours il y a la police, on ne peut plus travailler avec ces hors la loi".

"Ils veulent m'abattre (...) ma vie est en danger à cause de ces voyous", a-t-il poursuivi en exprimant sa "confiance dans la justice et la police de mon pays".

Selon le procureur de la République de Seine-Saint-Denis, "il y a eu une diminution conséquente, de l'ordre de 40% par rapport à l'année précédente, des vols à la portière sur ce secteur précis". La baisse de la délinquance a été confirmée par le ministère de l'Intérieur.

Le magistrat a ajouté que le "sentiment d'insécurité" demeure fort aux Francs-Moisins.

ploumploum a écrit:

Le franprix de Saint Denis de nouveau attaqué hier après midi
Mahmed Abderrahmen a 54 ans, il est gérant du magasin Franprix du quartier du Franc Moisin à Mahmed Abderrahmen. Il ose briser la loi du silence

tout ça parce que le matin mème (hier) il a "parlé" sur RMC info chez Bourdin, témoignage poignant...... ça m'a touché d'entendre ça


Les 20 racailles du quartier , y a qu'à les prendre à coups de battes et leur éclater la tronche jusqu'à ce que leur mère ne puisse plus jamais les reconnaitre.... c'est la seule solution possible vu que ce sont des bètes irrécupérables pour la société quand on a entendu ce qu'ils font par Mahmed

basta l'angélisme

Citation :

SAINT-DENIS 31/08/07

Le gérant de la supérette de nouveau harcelé
I l avait pourtant a obtenu la veille une protection policière pour lui et son magasin. Mahmed Abderrahmen, le patron d'une supérette Franprix de Saint-Denis, agressé trois fois en deux mois, dit avoir été victime vendredi matin de menaces verbales près de son domicile, dans le Val-de-Marne. C'est une information RTL. Son récit n'est pas encore confirmé par des témoins. L'homme s'est réfugié à la caserne de pompiers de Rungis. Selon le parquet de Créteil, qui a ouvert une enquête, il n'y a eu ni coup de feu ni blessure.

Citation :

"Arrêtes tes conneries, sinon on te fume"

Mahmed Abderrahmen affirme qu'un homme en scooter l'aurait menacé vendredi (31 août) matin avec une arme de poing. Selon l'épicier des Francs-Moisins, l'agression aurait eu lieu dans le Val-de Marne, où il habite, dans une rue proche de Rungis. Le propriétaire du Franprix avait décidé de se rendre au Marché international de Rungis, pour faire des achats. Il s'y rendait en voiture à partir de son domicile, un pavillon cossu dans le Val-de-Marne. Il a raconté aux policiers qu'un homme à moto se serait arrêté à sa hauteur, alors qu'il était arrêté à un feu tricolore, sur la commune d'Orly.

Selon son récit, l'agresseur, porteur d'une arme de poing, lui aurait dit : "Il faut que tu arrêtes tes conneries, sinon on va te fumer". Mahmed Abderrahmen se serait alors enfui, et s'est alors réfugié à la caserne de pompiers de Rungis toute proche, à Chevilly-la-rue. Les pompiers racontent qu'ils ont bien vu arriver l'épicier, choqué mais pas blessé, disant : "On a voulu me tuer". Une équipe de pompiers l'a alors conduit à l'hôpital du Kremlin-Bicêtre, sous protection policière, tandis qu'une autre équipe se rendait sur le lieu de l'agression présumée, mais sans rien trouver.

Superbe protection qu'il a le gars

vince a écrit:

Superbe protection qu'il a le gars

L'epicier n'est pas aux bouts de ses peines , tu peux etre sur qu'a la premiere occaz , les autres vont pas le rater

Abbastanza guasi una cumpagnia di CRS per ellu solu...

Des villes comme ça faut les raser, ùn ci vole micca ponesi tante quistione.

L'artichjoccu a écrit:

Abbastanza guasi una cumpagnia di CRS per ellu solu...

Des villes comme ça faut les raser, ùn ci vole micca ponesi tante quistione.

Sauf que les CRS sont paraît il mauvais pour un certain commerce
Et qu'un certain milieu associatif est contre les discriminations même positive
Il faut souligné quand même que le cas de l'épicier de Saint Denis n'est pas un cas isolé

L'affare cuntinueghja...

lefigaro.fr a écrit:

Le commerçant agressé envoyé en psychiatrie
Publié le 01 septembre 2007

Le patron du Franprix du Franc-Moisin est suspecté de mettre de l'huile sur le feu.

ÉTONNANT rebondissement dans l'affaire Abderrahmen M'Hamed. Le patron du supermarché du quartier du Franc-Moisin, à Saint-Denis, attaqué à plusieurs reprises en deux mois et reçu jeudi par le bras droit du ministre de l'Intérieur, place Beauvau, a dû être conduit, hier midi, par trois policiers au service de psychiatrie légère de l'hôpital du Kremlin-Bicêtre. « Son état justifiait un examen psychologique », précisait-on, hier, à la Direction de la police nationale.

Plus tôt dans la journée, il avait affirmé avoir été menacé, près de son domicile aux environs de 7 h 30. « Avec, disait-il, un pistolet braqué sur (lui) ». Ce qui sous-entend qu'il ne bénéficiait pas alors de la protection policière promise par le ministère de l'Intérieur.

Mais son récit est confus. En l'espace d'une heure, il a livré au Figaro plusieurs versions de sa dernière agression. Sur la moto qui se serait approchée de lui, « il y avait un homme », assurait-il au départ, avant de corriger : « Il y en avait deux. » Il prétendait aussi avoir réussi à échapper à ses poursuivants alors qu'il était arrêté avec son véhicule au feu rouge. « J'ai grimpé avec ma voiture sur un trottoir et ils sont finalement partis », racontait-il dans ses premières déclarations, avant de rectifier : « J'ai grillé le feu rouge, j'ai foncé, j'ai pris un sens interdit et mes agresseurs sont restés bloqués derrière un camion. »


« Tendance à l'exagération »

Après avoir pris la fuite, selon lui, Abderrahmen M'Hamed se serait donc rendu à la caserne de pompiers de Chevilly-Larue. Il a ensuite été pris en charge par la police qui l'a transporté à l'hôpital, le trouvant en « état de choc ».

Le ministère de l'Intérieur ne masque son embarras dans cette affaire qui a pris des proportions insoupçonnées. Avant sa rencontre jeudi avec le directeur de cabinet de Michèle Alliot-Marie, le passé d'Abderrahmen M'Hamed avait été passé au crible. Des hauts fonctionnaires se sont interrogés sur le profil de cette victime que les rapports de la Sécurité publique décrivent comme « volubile » et ayant « tendance à l'exagération » pour « provoquer l'intervention de la police ».

Dès son arrivée au Franc-Moisin, le 6 juin dernier, il aurait déclaré ne pas vouloir embaucher des jeunes de la cité et les incidents se seraient multipliés avec les bandes qui rackettent les commerçants. On recense six déclarations d'agression de sa part entre le 4 juillet et le 29 août. Des faits que la police ne met pas en doute, même si elle s'étonne qu'il ait eu des altercations partout où il a exercé.

En 2005, son précédent magasin du quartier de la Plaine-du-Lys (Seine-et-Marne) avait fini par brûler. Celui de sa compagne a également été incendié à Orly. Les fichiers de police révèlent qu'Abderrahmen M'Hamed a fait l'objet d'une procédure pour « abus de biens sociaux et banqueroute » en 1993, puis pour « outrage, violence à agent de la force publique et menaces sous conditions » en 1999.

Un policier fait toutefois remarquer : « Ses propres turpitudes n'exonèrent en rien les voyous qui s'en sont pris à lui. » Il devrait bénéficier d'une surveillance rapprochée de la police. Et a reçu hier le soutien de la mairie de Saint-Denis, qui a appelé à une marche mardi « contre les violences et le droit à la tranquillité de chacun ».

c'est vrai qu'en Sarkoland, cette histoire fait désordre.

On envois vite la Pravda pour discréditer et déstabiliser celui qui est désormais assimilé à un mythomane

u tipu hè debule, un si pò fà nunda

une victime à la "broomberg", il se les crée lui même les emmerdes

encore un abruti qui s'est crée tout seul les ennuis

Citation :

PARIS (Reuters) - La ministre de l'Intérieur, Michèle Alliot-Marie, a modifié son programme officiel afin de se rendre à Epinay-sur-Seine (Seine-Saint-Denis), où un épicier a été tué de plusieurs coups de couteau, a-t-on appris dans son entourage.


La victime, Ali Zebboudj, était une figure du quartier populaire de la Source, où son épicerie servait de lieu d'échange et d'aide pour les SDF. Il avait été le personnage central d'un documentaire intitulé "Alimentation générale" sorti dans les salles à la fin de l'an dernier.

Le crime s'est produit peu après 08h00, heure de l'ouverture de son épicerie. Le suspect a frappé de plusieurs coups de couteaux Ali Zebboudj pour un mobile encore indéterminé, dit-on de source policière.

L'homme, âgé de 41 ans, a été arrêté et placé en garde à vue dans les locaux de la police judiciaire de Seine-Saint-Denis. Il est soupçonné d'avoir déjà menacé l'épicier à plusieurs reprises avant le crime.

de toute façon nous mourrons tous, alors comme ça ou autrement ça changera pas la face du monde

vince a écrit:

de toute façon nous mourrons tous, alors comme ça ou autrement ça changera pas la face du monde

perso je prefere mourir le plus tard possible sans souffrir et dans mon lit maintenant chacun ses gouts