Attention au chikungunya

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Lundi 20 Août dans l'après midi , Les habitants de la Trinité (06340 ) ont été prévenus par la DASS que dans la nuit du Lundi 20 au Mardi 21 au alentour de 4 h du matin serait "pratiqué" un l’épandage massif et répété de produits chimiques sur la commune et qu'il etait conseillé de garder fenêtres et portes fermées ........

Dans un premier temps j'ai cru a une macagna
Et pensant avoir affaire a un malfaisant plutôt qu'a un moustique , je me suis decidé a appeler la Gendarmerie , juste pour vérifier "l' information" et surtout en avoir le coeur net

Et bien malheureusement ces messieurs ont confirmés

Espérons que l'épandage ne se fasse pas dans les environs de Toulon, sinon va falloir déménager l'amicu A Zinzala



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fabrice a écrit:

Espérons que l'épandage ne se fasse pas dans les environs de Toulon, sinon va falloir déménager l'amicu A Zinzala



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Citation :

Édition du mardi 21 août 2007
Un cas suspect de dengue à La Trinité
Prévention, précaution ». Ces deux termes résonnaient en boucle, hier, pour qualifier l’opération de démoustication qui devait être menée ce matin à La Trinité. Opération décidée par la DDASS (direction départementale des affaires sanitaires et sociales) à la suite d’un cas suspect de dengue sur un Niçois tout juste rentré de Thaïlande.De retour le 12 août, celui-ci aurait séjourné chez des amis à La Trinité. Le 15, il a présenté des symptômes de type grippal (fièvres et douleurs articulaires), similaires à ceux qui caractérisent la maladie tropicale. Il est hospitalisé depuis le 16 août. Des examens complémentaires sont menés actuellement pour confirmer ou infirmer le diagnostic.La dengue est une infection virale courante sous les tropiques dont la forme hémorragique, très rare, peut être mortelle. Cette maladie se transmet par piqûre de moustiques dont l’Aedes albopictus, vecteur du Chikungunya à l’île de la Réunion. Ce fameux moustique-tigre est apparu en 2004 sur la Côte d’Azur, où son impact se limite à de très désagréables démangeaisons.« Pas d’affolement ! »Dès à présent, l’EID Méditerranée (entente interdépartementale de démoustication), missionnée par le conseil général, démoustique le périmètre fréquenté par le malade depuis son retour. Au programme : pulvérisations (nébulisations à froid plus précisément), puis inspection des habitations, afin d’éliminer les surfaces susceptibles d’abriter des larves d’insectes.Les résidents trinitaires de l’allée des Lucioles, du chemin de l’Arbre et du boulevard Général-Blanqui ont été prévenus hier. « Cela a suscité une certaine émotion mais pas d’affolement », rapporte Jean-Louis Scoffié, le maire de la commune.Car même si le diagnostic se confirmait, le risque de contagion, sans être nul, reste infime, selon les services de la DDASS. Dans un tel scénario, le malade aurait été piqué depuis son retour par le moustique-tigre qui, après avoir développé le virus, piquerait un autre résident azuréen. Des conditions « très improbables », selon la DDASS. D’autant qu’un tel cas ne s’est jamais produit dans les Alpes-Maritimes.Même minime, le risque est pris suffisamment au sérieux pour justifier l’opération de ce mardi. Mais elle devrait se limiter à ce quartier de la Trinité. Probablement parce que la dengue n’est susceptible de se transmettre qu’à l’endroit où le malade a séjourné.Depuis le 12 juillet, un « plan départemental de prévention, de surveillance et de lutte contre le moustique-tigre » est en vigueur dans les A.-M. Ses habitants sont appellés à éviter toutes les eaux stagnantes en balcon, terrasse ou jardin, là où se développent les larves. Infos sur www.albopictus.eid-med.org
Christophe CIRONE

Nice Matin