Merci PJ LUCCIONI

Citation :

"La croisière s'amuse s'est transformée en Apocalypse Now." L'un des trois journalistes ayant réussi à monter à bord du Pascal-Paoli a vécu les minutes précédant l'assaut du GIGN "comme au cinéma, en passant d'une ambiance de croisière bon enfant à celle d'un film de guerre, avec les hélicoptères rasant la mer dans le soleil levant". Dans la nuit du mardi 27 au mercredi 28 septembre, alors que le navire détourné vient de jeter l'ancre près du port de Bastia, une équipe de télévision de France 3 Corse et un rédacteur de Corse-Matin gagnent le bord du Pascal-Paoli au moyen d'une vedette "empruntée" aux autorités portuaires.

Dans l'atmosphère surréaliste d'un navire aux coursives désertes, l'ambiance est très détendue, les marins échangent des plaisanteries et se montrent très satisfaits d'avoir "réussi le coup sans verser une seule goutte de sang". Vers 2 heures du matin, tandis que journalistes et grévistes gagnent leurs couchettes, un quart est établi pour assurer la surveillance des deux bâtiments de la marine nationale qui croisent dans le périmètre du navire.

Quatre heures plus tard, la nouvelle tombe : des membres des forces spéciales ont été acheminés dans la nuit à l'aéroport de Bastia-Poretta. Un contact téléphonique est immédiatement établi avec le préfet de Corse, qui exige du responsable des marins du Syndicat des travailleurs corses (STC) qu'il désigne cinq personnes pour être transférées, en Zodiac, sur l'un des navires militaires.

Les syndicalistes lui opposent une fin de non-recevoir et décident, en dépit de l'interdiction de la capitainerie, d'accoster au quai n° 8 du port de Bastia. Moins de 3 minutes plus tard, le ciel vrombit du vol de cinq hélicoptères et les premiers gendarmes font leur apparition sur le pont.

Figure incontournable de la télévision régionale, Pierre-Jean Luccioni n'en revient toujours pas : "Lorsque les types du GIGN sont descendus le long des filins, les marins les ont longuement applaudis, puis leur ont tendu spontanément les poignets pour être menottés. On se serait cru au beau milieu d'un film !" Les images montrant des marins hilares face aux hommes du GIGN ont fait le tour des rédactions de télévision. Elles ont pourtant failli ne jamais être diffusées : en prévision d'une éventuelle confiscation, M. Luccioni avait glissé l'enregistrement dans son pantalon. Au moment précis où un membre du GIGN allait le fouiller, le colonel de la brigade locale a permis aux journalistes de regagner la terre ferme.
Antoine Albertini

Figure incontournable...

Pour CEUX qui ont la télévision régionale...

Tu crois quoi ??? Tu n'étais pas encore né que je mangeais à côté de lui au grain de café...

Qui ne se rappelle pas de ses mythiques commentaires de match avec l'antique Bastianesi...

c'est fou ça et ce journaliste n'est pas en prison et tous ces marins embastillés? La France n'est plus ce qu'elle était!

Pierfran a écrit:

Tu crois quoi ???

Que tu es aussi parano qu'Antone

Je parle de Moi Mème ( ),victime de l'acculturation via la cable qui impose France 3 National

Misgiu a écrit:

Pierfran a écrit:

Tu crois quoi ???

Que tu es aussi parano qu'Antone

Je parle de Moi Mème ( ),victime de l'acculturation via la cable qui impose France 3 National

Autant pour moi... mais quand même...

vous avez le cable ?
Waouw, moi qui croyait que c'était le Chiapas avec même pas l'eau courante!

Le cable et mème l'eau courante...et bientot je pense qu'on pourra prétendre à avoir de l'essence et des bateaux pour voyager à travers le monde..

de l'essence, ne me dis pas que vous avez des voitures!
Sans déconner, ça le fait pas pour un peuple opprimé.

Ca fait un moment qu'en Corse les Audi A3 roulent au Colza... Des champs à perte de vue en on fait la première puissance agricole au MONDE!!!

Audi A3....ne ris pas avec ça malheureux..

Antone a écrit:

Audi A3....ne ris pas avec ça malheureux..

Tu as raison, Pajero...

Mais j'ai aussi un Pajero...celui de mon papa en fait...

Bateau alors...