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 40 millions d'américains sous le seuil de pauvreté...

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CPP
Adam Smith
Adam Smith
CPP


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MessageSujet: 40 millions d'américains sous le seuil de pauvreté...   40 millions d'américains sous le seuil de pauvreté... EmptyMer 21 Sep - 11:49

... heureusement, notre cowboy préféré a trouvé LA solution...

40 millions d'américains sous le seuil de pauvreté... H_4_ill_690729_aldrin

YEAH FUCKIN' RIGHT! BRING'EM ON!

Citation :
Edito du Monde
La Lune avant Mars
LE MONDE | 20.09.05 | 14h32 • Mis à jour le 20.09.05 | 14h36


En présentant, lundi 19 septembre, un billet de retour vers la Lune pour 2018, la NASA offre un drôle de marché aux Américains. Elle leur propose d'alourdir de 104 milliards de dollars un budget déjà grevé par les dépenses du conflit irakien et les ravages du cyclone Katrina contre la promesse d'une échappée loin des désastres actuels. Du rêve pour oublier le cauchemar. Une nouvelle aventure qui aurait la douceur d'un fabuleux souvenir : Neil Armstrong, premier homme à marcher sur la Lune le 21 juillet 1969.

Cette première conquête trouvait alors sa justification dans la guerre froide, durant laquelle rien ne paraissait trop coûteux pour distancer, même symboliquement, l'ennemi soviétique. Aujourd'hui, en proie à des tourments multiformes, les Américains ­ et au premier chef leurs représentants qui votent les crédits de la NASA ­ vont-ils juger nécessaires ces nouveaux sacrifices ? La question n'est pas seulement posée aux dirigeants de l'agence spatiale américaine. Elle est adressée à George W. Bush, qui a précisément fixé la feuille de route d'un retour sur la Lune suivi d'une expédition humaine vers Mars avant 2030.

Si le président américain veut que la popularité de l'aventure spatiale, jusqu'ici jamais démentie, contribue à atténuer ses déboires actuels, il devra convaincre que la nouvelle mission lunaire n'est pas simplement une fuite en avant permettant à la NASA d'échapper à son grand échec des trente dernières années : la navette spatiale. Trop dangereux, trop coûteux, trop complexe, l'avion de l'espace, qui sera abandonné en 2010, a enfermé les vols habités, avec la station spatiale internationale (ISS), dans le piège de l'orbite basse autour de la Terre. Or celle-ci n'a jamais tenu ses promesses industrielles, et ne fait plus rêver personne.

Les trois jours de voyage vers la Lune suffiraient pour sortir de ce marasme tout en sauvegardant les entreprises et les emplois de ce secteur d'activité ­ car telle est aujourd'hui la principale raison de la conquête spatiale. Pour cela, il faudra aussi démontrer que les nouvelles missions ne se résument pas à un passage des images en noir et blanc des pionniers d'Apollo à la couleur. Or le projet présenté ressemble, par bien des aspects, à un décalque du design rétro des années 1960-1970.

La NASA va donc devoir souligner les différences pour mettre en valeur l'originalité de sa nouvelle mission. Et argumenter contre ceux qui considèrent le détour par la Lune comme une perte de temps sur l'itinéraire qui conduit à Mars. En planifiant la construction d'une base nécessaire à l'établissement d'une présence humaine de longue durée dans l'espace, les Américains cherchent à faire de notre satellite le premier jalon indispensable en vue des explorations futures. Un lieu où l'homme apprendra à maîtriser les multiples dangers de l'espace, avant de se risquer plus loin. Voilà un rêve prudent dont les initiateurs peuvent espérer tirer les bénéfices dans un avenir pas trop lointain.

Article paru dans l'édition du 21.09.05

Citation :
Billet retour pour la Lune à 104 milliards de dollars
LE MONDE | 20.09.05 | 14h36 • Mis à jour le 20.09.05 | 14h41

La suite de la conquête spatiale américaine va donc ressembler à un remake, le futur de la NASA à un souvenir. Près de cinquante années après avoir fait leurs adieux à la Lune, en 1972, des astronautes vont rejouer les grandes scènes du programme Apollo sur la surface de notre satellite. Cela se passera en 2018, si les délais du plan, rendu public lundi 19 septembre par la NASA, sont tenus.

La semaine dernière, cette "étude sur l'architecture des systèmes d'exploration", qui a déjà fait l'objet de nombreuses fuites dans la presse (Le Monde du 4 août), a franchi les toutes premières étapes de son périple au long cours. Elle a été présentée à des parlementaires et, surtout, la Maison Blanche lui a donné son accord. C'était bien le moins : le plan est la traduction concrète de la volonté exprimée par George Bush, en janvier 2004, de ramener les hommes sur la Lune puis de les lancer vers Mars, avant 2030.

Cette destination ultime, un voyage de cinq cents jours vers la Planète rouge, est à peine évoquée dans les documents publiés. Son calendrier n'est pas fixé. Michael Griffin, le nouveau patron de l'agence spatiale américaine chargé de mettre en musique les voeux présidentiels, a en effet des soucis bien plus immédiats. Dans un contexte budgétaire tendu, il lui faut s'assurer du financement d'un retour sur la Lune qu'il a lui-même évalué à 104 milliards de dollars. Cette somme revient à dépenser en treize ans, selon le patron de la NASA, "55 % du coût, en dollars constants, du programme Apollo" dont la préparation avait duré huit années.

Mais de nombreuses contraintes menacent cette économie relative. La NASA doit accompagner la fin de vie de la dispendieuse navette spatiale, vouée à s'effacer en 2010, tout en continuant à assurer la construction de la station spatiale internationale (ISS). Et ses comptes souffriront certainement des conséquences du passage du cyclone Katrina sur la Louisiane, où se situent plusieurs de ses usines. "Le programme spatial est un investissement de longue durée qui ne peut être remis en cause par nos difficultés de court terme" , a assuré, lundi, M. Griffin. Pour que son projet ne pâtisse pas de ce contexte douloureux, le patron de la NASA a bien précisé qu'il n'impliquait pas de dépassement de l'enveloppe annuelle allouée à son agence. Vendredi, les sénateurs n'en ont pas moins voté un budget spatial 2006 à 16,4 milliards de dollars, doté d'une rallonge de 200 millions par rapport à l'exercice précédent pour couvrir les premières dépenses de ce nouveau programme.

Le souci d'économie a largement influé sur la physionomie de ce plan. Les recettes éprouvées d'Apollo ont été préférées aux visions futuristes risquées. Les investissements faramineux consentis en faveur des navettes seront un peu mieux amortis grâce au démembrement des avions spatiaux, dont les meilleures pièces seront réutilisées. Leurs fusées d'appoint à poudre (solid rocket booster ) serviront à propulser la clef de voûte du projet, le véhicule d'exploration avec équipage (crew exploration vehicle , CEV). Celui-ci transportera quatre personnes sur la surface de la Lune, qui pourront, dans un premier temps, y demeurer sept jours. Le CEV sera aussi conçu pour emmener six personnes vers Mars, ou plus près de nous, vers l'ISS.

UNE BASE PERMANENTE

Pour cette mission, M. Griffin espérait disposer du nouveau véhicule, dès 2011, soit un an après la retraite des navettes. Les contraintes budgétaires l'ont obligé, lundi, à annoncer une entrée en service en 2012, voire à évoquer l'éventualité d'un report en 2014. Dans ce cas, les Etats-Unis devraient se passer, pour la première fois depuis des décennies, de toute porte d'accès aux vols spatiaux habités. Pendant plusieurs années, ils dépendraient ainsi des vaisseaux russes. Pour les mêmes raisons d'étalement de l'effort financier, le premier départ vers la Lune pourrait être repoussé de deux années, jusqu'en 2020.

Entre-temps, la NASA aura construit son lanceur lourd, dérivé de l'ensemble des moyens de propulsion de la navette. En vertu du principe de séparation du lancement du matériel et des hommes, cette fusée emmènera les charges nécessaires à l'exploration lunaire. Puis, en orbite terrestre, le CEV, lancé de son côté, viendra s'arrimer au sommet du mastodonte avant de voguer vers notre satellite. Là, aucun astronaute n'attendra en orbite, comme au temps d'Apollo, pendant que les autres gambaderont dans la poussière. Tous descendront grâce à un "alunisseur". Puis tous rentreront vers la Terre dans le CEV, qui pénétrera dans l'atmosphère, en se balançant au bout d'un parachute. La capsule se posera de préférence sur Terre, près de la base Edwards (Californie), alors que celles d'Apollo touchaient l'océan.

Hors ces quelques détails, les nouvelles expéditions se différencieront surtout de leurs modèles par leurs activités lunaires. Le progrès technique permettra de se poser partout sur la Lune, et non plus seulement sous l'équateur. Les nouveaux moyens de locomotion permettront de se lancer dans des explorations bien plus complètes. Surtout, une base permanente, sans doute vers le pôle Sud, sera établie lorsque les premières missions d'une semaine, à raison de deux par an, auront acheminé suffisamment de matériel. Les astronautes pourront y demeurer six mois, comme dans les bases de l'Antarctique. Ils apprendront à y dompter ces calamités des séjours de longue durée : la poussière, les radiations et les éventuels troubles psychologiques. Ils testeront la possibilité d'extraire du sol oxygène et énergie, pour accéder à l'autonomie. La Lune sera alors devenue le lieu de répétition, voire de départ des futurs vols habités vers Mars et au-delà.

Jérôme Fenoglio
Article paru dans l'édition du 21.09.05
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Antone
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MessageSujet: Re: 40 millions d'américains sous le seuil de pauvreté...   40 millions d'américains sous le seuil de pauvreté... EmptyMer 21 Sep - 12:04

Mr.Red STP CPP, trouve moi un sujet où on puisse ne pas être d'accord.
Les USA sont devenues l'épouvantail du système qu'ils prônent. Là c'est de la communication érigée en méthode de gouvernement. La Lune n'est pas un enjeu de la conquête spatiale. 104 milliards de $, de quoi éradiquer y compris sur place, si on veut être cartieriste (mais qui se souvient de Cartier?) la pauvreté, la maladie et pas mal de choses encore.
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Pierfran
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MessageSujet: Re: 40 millions d'américains sous le seuil de pauvreté...   40 millions d'américains sous le seuil de pauvreté... EmptyMer 21 Sep - 14:13

Ridicule, mais on le savait déjà... Confused Confused

104 milliards de dollars, on renfloue la SNCM ou il manque encore qqch?? What the fuck ?!? Mr.Red Mr.Red
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